Il Corriere dela Serra a mis en cause, dans un article intitulé
Un agente francese dietro la morte di Gheddafi, les services français dans l'assassinat du leader panafricain Mouammar Kadhafi. Le Corriere della Sera s’appuie sur les déclarations de Mahmoud Jibril, ex-président du conseil exécutif du Conseil national de transition libyen (CNT), aux micros de la télévision égyptienne Dream TV, le samedi 28 septembre : « Un service de renseignement que je ne connais pas avait intérêt à ce que Kaddafi se taise à jamais, car il a eu plusieurs secrets et a noué d’étroites relations avec de nombreux régimes internationaux ». « Un agent étranger était infiltré avec les brigades révolutionnaires pour tuer le colonel Kaddafi » a-t-il ajouté. Le quotidien britannique Daily Telegraph poursuit l'enquête et interroge le lendemain Rami el-Obeidi, l'ancien responsable des relations avec les agences de renseignement étrangères pour le CNT, qui affirme sans détour que "les services secrets français ont joué un rôle direct dans la mort de Kadhafi". Celui-ci aurait été assassiné par balles, par un agent des services français, dans l'ambulance qui l'emmenait à Misrata.
Répondant aux questions de Mediapart, Rami El Obeidi, ex-coordinateur du renseignement extérieur auprès du Conseil national de transition (CNT) libyen, assure que « des agents français ont directement exécuté Kadhafi ». Selon lui, l’exécution du chef d’État libyen est consécutive à ses menaces de révéler, peu avant le déclenchement de la guerre, les financements occultes de Nicolas Sarkozy en 2007. « La menace d’une révélation d’un financement de Sarkozy en 2006-2007 a été suffisamment prise au sérieux pour que quiconque à l’Élysée veuille la mort de Kadhafi très rapidement », souligne-t-il, évoquant de manière sibylline les « voyages de Cécilia Sarkozy » en Libye. Contactée, celle-ci a réagi : « Ce monsieur dit ce qu'il veut. Je ne suis absolument pas au courant de ce genre de choses. » (Cameroon Voice)
Selon des mercernaires sud-africains, des "puissances occidentales" avaient donné leur accord pour extraire Kadhafi de son pays et ces mercenaires devaient accompagner Kadhafi. Le tir d'un missile Hellfire largué d'un Reaper américain et l'envoi de deux bombes françaises larguées de Mirage 2000 ont semble-t-il anéanti leur mission. Kadhafi ne devait pas mourir ce jour-là : il devait clairement s'échapper, avec l'accord de la rebellion et de certains pays engagés pourtant dans le conflit. (Les terribles révélations sur la mort de Kadhafi). Version qui va à l'encontre de la version officielle retracée par la vidéo de Paris Match (voir ci-dessous).
Dans le Canard Enchaîné; Claude Angelli écrit "à l’Élysée, on savait depuis la mi-octobre que Kadhafi et l’un de ses fils s’étaient réfugié à Syrte, avec gardes corps et mercenaires. Et Sarko avait chargé le général Benoit Puga, son chef d’état-major particulier, de superviser la chasse à l’ancien dictateur. Ce qu’il a fait en relation avec la « Cuve », le bunker souterrain où des officiers du CPCO sont en contact permanent avec tous les militaires engagés à l’étranger et les services barbouzards. À la DGSE comme à la DRM on ne se gêne pas d’ailleurs pour évoquer l’ « élimination physique » du chef libyen, à la différence des formules bien plus convenables employées par l’Élysée, s’il faut en croire un conseiller du Président....Des forces spéciales françaises sont alors présentes sur les lieux. L’histoire ne dit pas à quelle distance de ce qui va survenir, et que raconte avec abondance de détails un officier des services militaires de renseignements : « Il est capturé vivant par des combattants surexcités. La foule scande ῞Allah Akbarˮ à pleine poumons, le menace de ses armes et se met à le tabasser pendant que d’autres combattants qui peinent à prendre le dessus, crient de le maintenir en vie".
Kadhafi a été lâché par Bachar el Assad qui a balancé aux services français son numéro de téléphone satellitaire en espérant avoir quelques ménagements de la part des forces atlantistes qui organisaient sur son territoire le "printemps syrien".
En échange de cette information, Assad a obtenu la promesse d’une grâce de la part des Français et moins de pression politique sur le régime - et c’est ce qui s’est passé. Pourtant, en novembre 2011, alors que la contestation contre le régime de Bachar al-Assad gronde depuis huit mois, la France a pris ses distances avec Damas, qualifiant notamment le Conseil national syrien d'"'interlocuteur légitime" et en rappelant son ambassadeur. Il aura appris à ses dépens que la traitrise ne paie pas !
Quant aux Russes et aux Chinois, ils se sont laissé aveugler au conseil de sécurité de l'ONU et depuis leurs entreprises (surtout chinoises massivement implantées en Libye) et leurs ressortissants ont été obligés de fuir la Libye et la sous-région riche en ressources minières (uranium, gaz, pétrole, or, ...) en passe d'être reconquise par les forces atlantistes sous l'égide franco-états-unienne(Mali, ...).
Si Kadhafi n'a pas été égorgé, il a été lynché (touffes de cheveux arrachés, tabassé à coups de pied et de poings en plein visage et dans le corps puis poignardés par des rebelles supplétifs des forces de l'OTAN). Une analyse de la vidéo obtenue par Global Post d’un combattant rebelle qui a filmé le moment où le colonel Kadhafi a été capturé, confirme qu’un autre combattant rebelle dont l’identité n’est pas connue a sodomisé l’ex-leader alors qu’on l’extrayait en le traînant hors de la canalisation où il avait trouvé refuge. Une analyse image par image de cette vidéo exclusive de Global Post montre clairement le rebelle tentant d’introduire une espèce de bâton dans le rectum de Kadhafi (Sodomized By NATO Supported Rebels Video shows abuse frame by frame (GRAPHIC). Le leader panafricaniste aurait été achevé d'une balle dans la tête pendant son évacuation dans l'ambulance vers Misrata.
Lire dans le Corriere della Serra Un agente francese dietro la morte di Gheddafi
Il merito della cattura del rais sarebbe stato dei servizi di Parigi. Il Colonnello «venduto» all'Occidente da Assad.
Hillary Clinton : "nous sommes venus, nous avons vu, il est mort...ahahah" (gloussements et rires).