Les attentats qui ont eu lieu à Paris le 7 janvier contre Charlie Hebdo faisant 12 morts dont des personnalités célèbres du monde de la caricature, le 8 janvier avec l'assassinat d'une policière à Montrouge et enfin et le 9 janvier dans un supermarché hypercacher entraînant la mort de quatre otages ont été attribués aux frères Kouachi et à Amédy Coulibaly, ces trois derniers ayant été tués par la police. Pourtant de nombreuses questions demeurent sans réponses depuis le début de l'affaire qui mériteraient quelques éclaircissements. Les médias traditionnelles les balayent d'un revers de mains et les qualifient de complotistes mais dans une société qui se veut démocratique, transparente et exemplaire en matière de liberté d'expression et d'information, on pourrait s'attendre à ce que ces questions soient posées pour éviter de prendre pour argent comptant la vision donner par les autorités politico-policières du pays.
Voici les quatre questions les plus fréquentes répertoriées.
1. Comment le policier Ahmed Merabet a-t-il été tué ? Et de quoi est-il mort ?
La vidéo ci-dessous censurée sur tous les journaux télévisés français a posé de nombreuses questions. (les médias ayant probablement refusé de diffuser la mort d'un policier par un présumé terroriste). ATTENTION TOUTES LES VIDEOS DE CET ARTICLE COMPORTENT DES SCENES TRES VIOLENTES ET SONT DONC CHOQUANTES !!!!
On y voit un policier gisant à terre et implorant la clémence de ses assaillants implorer tandis qu'un des agresseurs lui tire dessus à bout portant. La victime gît alors immobile sur le trottoir. Dès lors les questions ont fusé sur internet. Comment quelqu'un tué à bout portant par une Kalachnikov peut ne pas présenter de sang, ni avoir la moindre séquelle, ni avoir son corps secoué par l'impact de tir ? S'agissait-il de cartouches à blanc ? L'impact de tir était-il dans le corps du policier ou bien devant lui sur le trottoir ? Jonathan Coook a repris toutes ces questions dans une vidéo ci-dessous. La question se pose de savoir si il est mort des tirs des balles, ou bien d'une crise cardiaque après la détonation à bout portant. Les éléments de réponse de l'autopsie pourrait être des points importants apportés à ces questions si toutefois autopsie il y a eu.
2. Comment des présumés terroristes que l'on nous présente comme si aguerris et si professionnels ont-ils pu oublié leur carte nationale d'identité (CNI) dans la voiture permettant à la police de les reconnaître et de les poursuivre ?
Certains ont fait le rapprochement avec les attentats du 11 septembre où on avait retrouvé la CNI intacte d'un des pirates. Aussitôt les accusations d'opération sous fausse bannière ont fusé. Ainsi, le Dr Paul Craig Roberts, qui était secrétaire adjoint du département étatsunien du Trésor dans l'administration Reagan et rédacteur en chef adjoint du Wall Street Journal, a évoqué la possibilité d'une deuxième équipe de professionnels proche des services secrets qui auraient pu effectuer l'opération criminelle dans les locaux de Charlie Hebdo avant de s'enfuir et de laisser la CNI d'un des frères Kouachi dans la voiture. Celui-ci a même mis en cause la CIA : Selon Paul Craig Roberts, les attaques terroristes à Paris ont été conçues par la CIA pour renforcer le statut de vassal de la France envers les Etats-Unis (Press TV)
3. Comment est mort Amédy Coulibaly ?
Lors de sa conférence de presse, le Procureur de Paris a spécifié la manière dont les frères Kouachi étaient morts (en attaquant les forces de police armes à la main) mais n'a rien dit concernant la manière dont Coulibally a été tué. Une vidéo diffusée sur France 3 dans son entièreté montre un homme avec des armes foncer sur la police et se faire abattre par les forces de l'ordre (voir ci-dessous).
En analysant ces images, certains dont l'Agence Info libre y ont vu que l'homme qui se lançait sur la police avait les mains noués. Cette vidéo a ensuite été retirée ou censurée sur You Tube puis une autre vidéo de Militantvibe est apparue montrant le contraire mais cette dernière a été aussi retirée ou censurée sur le web. Il nous reste cette capture d'écran qui pose de nombreuses questions.
4. Qu'est ce qui a poussé le commissaire de police en charge de l'enquête sur Charlie Hebdo à se suicider ?
En effet, Helric Fredou, numéro 2 de la police judiciaire régional de Haute-Vienne a été retrouvé mort dans son bureau au commissariat dans la nuit de mercredi à jeudi à 1h du matin précisément. L'information a été peu couverte par les mass medias. il se serait suicidé d'une balle dans la tête. Aussitôt des sources policières ont déclaré à la presse que Fredou était «déprimé et surchargé de travail». La soeur dément ces informations quant à son état psychologique et apporte des éléments allant dans le sens contraire.
Mystérieux « suicide » du policier chargé de la connexion Charlie Hebdo-Jeannette Bougrab (Panamza)
"Sur le coup, je me suis dit c'est pas possible, quelqu'un l'a flingué mais on est pas dans un film" : la soeur refuse de croire en la possibilité angoissante d'un meurtre mais continue de s'interroger sur les circonstances exactes de la mort du policier.
- "Pas de courrier laissé ni de plaque sur son bureau" : Helric Fredou n'a laissé aucune lettre pour expliquer son geste. De même, il n'a pas déposé sa plaque de police en évidence comme le font parfois certains de ses collègues retrouvés suicidés.
- "C'était quelqu'un de calme, avec un grand esprit de discernement selon son formateur" : la soeur a plusieurs fois souligné le sang-froid du policier -tenu en estime par son formateur en raison de sa perspicacité- et le fait qu'il n'était ni violent ni impulsif.
- "On nous a enlevé les ordinateurs et son portable perso, on nous a tout pris, ça nous a choqués mais c'est la procédure, nous a-t-on dit" : dans l'après-midi du 8 janvier, les policiers ont fouillé le domicile du défunt, en présence de sa mère et de sa soeur, avant d'emporter son matériel informatique et son smartphone personnel.
- "Ma maman, qui était très fusionnelle avec lui, est retournée contre la terre entière : elle veut savoir comment il s’est tué. Il a un pansement sur le front. Sur le côté, c'est trépané à cause de l'autopsie. À l'arrière du crâne, il n'y a rien": informée vers 5 heures du matin du décès, la soeur rapporte avoir dû insister pour accéder au corps du défunt. C'est seulement en fin de journée qu'elle et sa mère ont été autorisées à voir le corps d'Helric Fredou.
- "Mon frère avait lui-même trouvé deux suicidés -dont l'un à Melun- et avait dit à maman 'je te ferai jamais un truc comme ça', à savoir me tuer et te laisser seule. Il n'était pas dépressif" : en novembre 2013, Helric Fredou avait effectivement été le policier qui avait découvert le corps de son collègue Christophe Rivieccio, retrouvé mort dans le même commissariat de Limoges.
- "Mon frère était chez lui ce soir-là et comme il était de permanence, ils l'ont appelé et il est venu au commissariat vers 23h30… La journée avait été très tendue selon ses collègues…. Des policiers de Paris étaient présents dans la soirée… Il devait rédiger un rapport mais il y a eu des frictions, je ne sais pas sur quoi… Il leur a dit qu'il devait passer de toute urgence un coup de téléphone et comme ils ont vu qu'il ne revenait pas, un collègue est allé le chercher à son bureau et l'a découvert mort" : ce mercredi soir, des policiers partis procéder à des vérifications de sécurité auprès d'une famille de victime de l'attentat ont été débriéfés par Helric Fredou. Le témoignage de sa soeur apporte deux éléments troublants : des "frictions" se seraient manifestées entre policiers au sujet du rapport (finalement jamais entamé) que devait rédiger Helrou; dans ce contexte tendu, l'homme a été retrouvé mort quelques minutes après avoir déclaré à ses collègues qu'il devait à tout prix téléphoner à quelqu'un de non identifié."
Le commissaire Helric Fredou faisait partie de l'équipe de police qui enquêtait sur les attaques terroristes ayant visé Charlie Hebdo. Les terroristes présumés, Cherif et Saïd Kouachi, qui ont été abattus par la police le 9 janvier, ont passé leurs années de lycée dans la région de Limoges. Nul doute que cela faisait partie de l'objet de l'enquête de police menée par Fredou. Pourtant, la police et les médias affirment que ce même mercredi, il a participé à une réunion avec la famille de l'une des victimes de Charlie Hebdo.Mercredi, dans le cadre de l'enquête sur l'attentat contre Charlie Hebdo, il a dépêché une équipe de fonctionnaires de police sous sa juridiction. Il aurait attendu le retour de son équipe pour un débriefing. Immédiatement après le débriefing, il préparait son rapport de police. Selon les informations données par les médias, il s'est suicidé à environ 1 heures du matin, le jeudi, quelques heures après le débriefing de la police. Il a utilisé son arme de police, un SIG-Sauer pour "se tirer une balle dans la tête". (Police Commissioner Involved in Charlie Hebdo Investigation “Commits Suicide”. Total News Blackout)