7 jours après les attentats du 13 novembre, le quotidien britannique The Daily Mail avait publié en exclusivité le témoignage de deux "miraculées" : Sophia Bejali et Barbara Serpentini {http://panamza.com/bkx}.
Ces deux amies apparaissent dans les images de vidéosurveillance du restaurant Casa Nostra qui fut ciblé par les 3 terroristes du "commando des terrasses" : l'un d'entre eux pointe son arme dans leur direction sans (pouvoir?) tirer.
On les aperçoit ensuite se relever et prendre la fuite {https://youtu.be/
Sophia Bejali, présentée comme une employée d'un cabinet juridique, fut celle qui a observé le tireur depuis sa descente de voiture. Barbara Serpentini, étudiante italienne en sciences politiques qui fut également cachée sous une table en terrasse, affirme n'avoir pas vu son visage.
Étrangement, AUCUN média français n'a diffusé d'entretien avec l'une ou l'autre, pourtant témoin de premier plan -notamment Sophia Bejali- des attentats.
Double rappel :
* L'état d'urgence inclut le "contrôle de la presse" par les autorités {http://panamza.com/bky}.
* Le tireur que l'on aperçoit dans les images de vidéosurveillance (brun, plutôt blanc de peau, coupe au carré, épaules larges) ne correspond pas à la physionomie des trois terroristes désignés par les autorités : Abdelhamid Abaaoud, Chakib Akrouh, Brahim Abdeslam {https://youtu.be/
De deux choses l'une :
* Soit Sophia Bejali et Barbara Serpentini ont décidé de n'accorder qu'un seul témoignage (en l'occurrence, pour un quotidien britannique).
* Soit les autorités leur ont imposé le silence sous le prétexte fallacieux du "secret de l'instruction".
Un détail à souligner : Sophia Bejali avait tenu une déclaration intriguante dans son unique interview.
Extrait : "Je l'ai vu sortir de voiture mais mon cerveau ne m'autorise pas à me rappeler à ce qui s'est passé ensuite. Tout cela est très vague".