François Hollande mesure le risque de «dislocation» Par Lénaïg Bredoux Mediapart
François Hollande et son gouvernement redoutaient un nouvel attentat. Après Nice, une nouvelle onde de choc parcourt le pays. Au lendemain du 13-Novembre, le pouvoir craignait déjà une crise politique et une fracture du pays.
C’est le pire des scénarios envisagés par le pouvoir. Un nouvel attentat de masse, un jour symbolique, celui du 14-Juillet, visant un rassemblement populaire et festif. François Hollande et son gouvernement vont devoir répondre à la nouvelle onde de choc qui parcourt le pays. Au lendemain du 13-Novembre, déjà, ils craignaient une crise politique et un risque de « dislocation » du pays...