Comme pour le Moyen-Orient, l’imposture atlantiste continue ses ravages en Afrique, et particulièrement au Burundi. Avec le concours de l’ONU, comme d’habitude. Après une tentative de révolution de couleur et un coup d’état raté, le Burundi, à l’instar de la Syrie, subit des assauts terroristes depuis plus d’un an.
Les méthodes atlantistes sont maintenant bien connues : fausses révolutions, coups d’état, fabrication de rebelles armés secondés ou dirigés par des mercenaires. Si cela ne donne rien immédiatement, l’ONU vient à la rescousse avec son Organisation des Droits de l’Homme chargée de comptabiliser le nombre de morts souvent presque entièrement causés par les rebelles-mercenaires. Il ne reste plus qu’à mettre ces morts sur le dos du gouvernement et à parler de génocide et de crimes contre l’humanité. Pendant ce temps, durant tout le processus, du premier manifestant aux accusations de génocide, la presse est aux avant-postes, chargée de mettre en forme l’éternelle histoire d’un président qui tue son peuple.
Au Burundi, nous en sommes maintenant à la phase du rapport de l’Organisation des Droits de l’Homme de l’ONU.