Les médias officiels syriens ont accusé dimanche des groupes rebelles d'avoir utilisé du "gaz toxique" dans leur offensive à la périphérie ouest d'Alep, en rapportant 35 cas de suffocation dans un quartier tenu par le gouvernement.
De son côté, le directeur de l'hôpital universitaire d'Alep, Ibrahim Hadid, interrogé par la télévision publique syrienne, a confirmé 36 cas de suffocation "parmi les civils et les militaires", accusant lui aussi les "terroristes", terminologie utilisée par le régime de Damas pour parler des rebelles, d'avoir utilisé "du gaz de chlore toxique"...