On savait que ce philosophe anti-sartrien de par son engagement idéologique et son militantisme pro-colonialiste, ne faisait pas dans la demi-mesure. Ce pion botulien de l'oligarchie, petit propagandiste qui a voulu donner bonne conscience et légitimité morale aux criminels de ce monde pour détruire la Libye puis armer des supplétifs en Syrie vient de montrer l'ampleur de sa conception sélective des droits de l'homme en mettant sur le même plan les génocidaires de l'Etat islamique et Bachar Al Assad. Tout comme "l'ex"-parti socialiste d'ailleurs qui avait refusé de voter à l'Assemblée nationale le caractère génocidaire de l'Etat islamique contrairement aux autres partis de la République. (Les Républicains, l'UDI et le Front de Gauche votent le caractère génocidaire de l'Etat islamique, les Socialistes s'abstiennent !)
La rhétorique et la conception des droits de l'homme bhélienne à géométrie variable est paradigmatique de son parcours, lui qui s'est vanté de la guerre en Libye menée par le quatuor Sarkozy-Obama-Clinton-Cameron et s'est toujours tu sur les massacres à caractère génocidaire commis sur les populations noires par les rebelles qu'il soutenait en Libye. Si c'est un homme...
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