La tête d’une femme de l’ère sumérienne, datant de 3 000 à 2 900 avant J-C, restituée à l’Irak par les États-Unis après son pillage vol (MEE/Tom Westcott)
Les autorités qui mènent le combat pour le retour des antiquités volées affirment que les dommages causés par l’État islamique ne représentent qu’une fraction des pillages pharamineux dont l’Irak a été victime depuis l’invasion américaine en 2003...