Les Etatsuniens ont subi un lavage de cerveau pour accepter la guerre sans poser de questions (SHTF)

Les Etatsuniens ont subi un lavage de cerveau pour accepter la guerre sans poser de questions
Article originel : Americans Have Been Brainwashed To Accept War Without Question
Par Marc Slavo
SHTF

Alors que les États-Unis semblaient être au bord d'une nouvelle guerre, cette fois avec l'Iran, la plus grande préoccupation était de savoir dans quelle mesure le gouvernement soutenait ses plans d'assassinat de masse. Mais les psychologues disent que ce n'est pas une erreur.  En tant qu'Etatsuniens (tous commme les Français, ndt), nous avons été conditionnés à la guerre toute notre vie.

Les Etatsuniens ont été programmés pour accepter la violence et la domination avec la conviction que les meurtres de masse sont faits pour une sorte de "bien". La propagande a été largement utilisée en même temps que les images patriotiques pour faire en sorte que même ceux qui se considèrent comme pacifiques applaudissent à la mort, à la violence et à la destruction.

    On apprend aux Etatsuniens dès leur plus jeune âge à accepter le militarisme de leur pays sans poser de questions. Ce conditionnement a de nombreux ingrédients. Les thèmes du nationalisme et du militarisme sont fréquemment injectés dans la vie publique par les médias et d'autres institutions, par exemple, tout comme le sens de la droiture, une croyance rarement remise en question selon laquelle le pays est presque toujours une force du bien. -Psychologie Today

La peur est également un élément majeur dans le conditionnement des esprits à la guerre. Les Etatsuniens de tous âges se voient souvent rappeler, par leur gouvernement et les médias, que les ennemis présumés représentent un danger constant. La menace soviétique a été utilisée pour justifier les dépenses militaires et l'aventurisme dans le monde pendant une grande partie de la fin du XXe siècle, validant ainsi l'avertissement donné par le président Eisenhower dans son discours d'adieu de 1961 sur l'influence croissante du " complexe militaro-industriel ".

Plus récemment, par le rappel constant de la " guerre contre le terrorisme ", les Etatsuniens sont effectivement conditionnés à voir les malfaiteurs comme toujours menaçants. Il y a peu ou pas de débat sur la question de savoir si le fait de massacrer des gens et d'en tuer d'autres à des milliers de kilomètres de là est bien ou mal.  Le militarisme et la force par le meurtre de masse est toujours la conclusion choisie par la plupart des Etatsuniens.

     L'anti-intellectualisme semble être un ingrédient important pour conditionner la mentalité étatsunienne à la guerre, le système s'appuyant sur une population motivée par la peur et renonçant à la pensée critique. Nous pouvons voir cet anti-intellectualisme prendre forme même dans la façon dont la société façonne les jeunes esprits. Les États-Unis sont le seul pays développé qui s'attend à ce que les écoles prêtent régulièrement un serment de fidélité (un " Serment d'allégeance "). Ce genre d'exercice ne favorise pas la pensée critique ni la compréhension des complexités de la géopolitique contemporaine, mais il peut aller loin dans la consolidation d'un sentiment de grandeur nationale qui peut ensuite être utilisé pour dépeindre l'agression comme étant justifiée.

    Le fait que ceux qui remettent en question le militarisme étatsunien sont considérés par beaucoup comme des fauteurs de troubles est une preuve supplémentaire de la façon dont la mentalité nationale a été conditionnée pour la guerre. - Psychology Today

Le signe le plus sûr d'un conditionnement réussi est une population qui non seulement se conforme au résultat souhaité mais le fait sans poser de questions. Nous le constatons chaque fois qu'un nouveau président est élu.  Que les lois soient " bonnes " ou " mauvaises " sur le plan moral, les Etatsuniens les considéreront, dans l'ensemble, comme morales et acceptables si leur maître était choisi pour diriger les esclaves.  La moralité n'est plus de mise.  On nous a appris à accepter que la classe dirigeante a autorité sur notre vie et nous avons deux choix : obéir ou faire usage de la violence contre vous.

Le pire, c'est qu'on nous a appris à glorifier le gouvernement et que ce n'est pas parce que les États-Unis ne sont pas aussi violents et tyranniques que la Corée du Nord, par exemple, que nous devons accepter notre destin d'esclaves de pouvoirs qui ne devraient pas l'être.

Commencez à penser par vous-même.  Posez-vous une question : qui vous aliène ?

H/T [Psychology Today, David Niose]

Larken Rose rend ce comportement plutôt apparent dans son livre, Most Dangerous Superstition. La principale menace pour la liberté et la justice n'est pas la cupidité, ni la haine, ni aucune des autres émotions ou défauts humains habituellement blâmés pour de telles choses. Au contraire, c'est une superstition omniprésente qui infecte l'esprit des gens de toutes les origines, religions et nationalités, qui trompe les personnes décentes et bien intentionnées en les amenant à soutenir et à prôner la violence et l'oppression. Même sans rendre les êtres humains un peu plus sages ou vertueux, la suppression de cette seule superstition éliminerait la grande majorité des injustices et des souffrances du monde.

Traduction SLT

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