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Une ancienne directrice de recherche de l'Inserm, Alexandra Henrion-Caude, évoque l'hypothèse d'une origine artificielle du Covid-19 lors d'une interview (Vidéo)

par SLT 2 Août 2020, 15:05 Origine Coronavirus Alexandra Henrion-Claude Génétique Virus Articles de Sam La Touch

Elle évoque deux hypothèses :
1. - une origine naturelle par évolution naturelle du Virus de l'animal à l'homme
2. - une origine artificielle : en constatant la présence de matériel génomique spécifique dans le SRAS Cov-2. I y aurait selon la généticienne une séquence unique au SRAS Cov-2 "arrivée miraculeusement" entre la jonction des gènes codant pour la protéine S1 et S2. Elle se dit surprise de cette "mutation opportune". "Elle donne en plus une fonction d'être reconnue par la machinerie humaine et donc d'être répliquée" chez l'homme. "Ce qu'il y a de plus probable est une manipulation que l'homme aurait fait pour créer des fonctions", "En tous les cas il ne serait pas prix autrement".

Selon la généticienne, il pourrait s'agir d'un accident survenu dans le laboratoire P4 de Wuhan.
Puis elle blâme l'absence de transparence des autorités chinoises dans la gestion de la crise du Covid, chargeant la Chine d'avoir imposé des règles notamment en Italie de ne pas faire d'autopsies. Puis elle associe sur le fait que les traitements anti-inflammatoires n'ont pas été prescrits assez tôt. Elle semble charger les autorités chinoises comme l'avaient fait les autorités étatsuniennes ou la virologue dissidente chinoise ayant fui aux Etats-Unis mais se taît sur les programmes de manipulation virale organisée par les autorités étatsuniennes dans le laboratoire de Wuhan depuis 2013.

Lire à ce sujet :
- Projet R01AI110964. Le NIH étatsunien a déboursé 3,7 millions de dollars pour la recherche sur les Coronavirus en Chine (Armswatch)
- [Vidéo] L'unité A1266 du Pentagone étudie des agents de bioterrorisme au Kazakhstan (Armswatch)
- [Vidéo] Projet G-2101 : le biolab du Pentagone a découvert des coronavirus de type MERS et SRAS chez les chauves-souris (Armswatch)

Covid-19 : La généticienne Alexandra Henrion-Caude vous dit tout - Le Zoom - TVL

S'ensuit une discussion sur l'immunité et la prise en charge du Covid notamment l'efficacité de l'hydroxychloroquine sur le Covid-19, la fin de l'épidémie dans le monde. Selon Alexandra Henrion-Caude, il y aurait un effet de la température sur l'incidence de l'épidémie. Dans les pays du sud il y a eu beaucoup moins de morts. A Mayotte, ils ont confiné et cela a gréé beaucoup plus de morts selon la généticienne. Car le confinement dans une atmosphère chaude et humide aggrave la maladie et affaiblie les défenses immunitaires face au stress créé. Plus tard elle dira : "Le confinement a été une catastrophe à Mayotte". Elle poursuit en disant qu'il y a eu une surmortalité liée au confinement chez ceux qui souffraient de maladies chroniques cardiaques, cancéreuses... et qui ne sont pas allés se faire traiter mais qu'il y a eu aussi des protections par la diminution des accidents de la route et autres. Selon la généticienne, il n'y a pas eu de véritable surmortalité globale. Elle critique aussi l'idée d'une deuxième vague. Elle dit n'avoir jamais vu de deuxième épidémie après une première épidémie lorsque celle-ci a suivi une évolution en cloche. Selon la scientifique, on ne peut pas avoir de deuxième cloche après une première cloche, entendre : on ne peut pas avoir de deuxième épidémie après une épidémie qui s'est éteinte statistiquement. Elle considère donc que les masques ne sont pas utiles dans ce contexte et soutient l'idée d'une immunité collective. Elle parle de "folie collective" qui nous mène dans un gouffre économique abyssal.
Elle considère actuellement que les masques ne sont pas utiles, surtout chez des gens qui ne les utilisent pas correctement dans un contexte de fin d'épidémie et de saison estivale.

Elle se dit terrifiée par les vaccins qui vont être proposées aux gens pour lutter contre le Coronavirus. Selon elle, la surmotalité dans le nord de l'Italie pourrait être liée à la pollution, à la présence plus importante de personnes âgées...mais aussi à éa question d'une interférence immunitaire causée par la vaccination contre la grippe qui aurait pu favoriser l'emballement de la réaction immunitaire ("les orages cytokiniques"). Durant l'année 2019, la population des plus de 65 ans a été vaccinée massivement contre la grippe (octobre 2019) puis contre la méningite (janvier 2020) sur recommandation passée de l'OMS. Une étude de l'armée étatsunienne, montrerait que la vaccination augmente de près de 1.5 à 2 fois le risque d'avoir une infection respiratoire autre que la grippe et notamment par le Coronavirus. Enfin elle dénonce les tests de vaccination forcées en Afrique du sud. Le vaccin contre le Covid relève de l'abbération, selon l'ancienne directrice de recherche à l'Inserm, alors qu'il est conçu pour être fait en moins de 6 mois et sans connaître les effets secondaires. Selon elle, on a choisi arbitrairement l'Afrique du Sud pour tester les vaccins sur des cobayes humains sud-africains qui n'ont pas le choix. Enfin elle dénonce l'action du laboratoire Moderna qui s'est enrichie sur la crise avec l'envolée de son cours en bourse et son vaccin qui pourrait enztraîner des remaniements biologiques (et génétiques?) de l'individu.
Elle dénonce certains de ses collègues qui sont muselés par les laboratoires du fait de leurs conflits d'intérêts. Elle craint que nous allions vers une société où les vaccins seront imposés de force...

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