La grande supercherie des tests PCR, 90% des cas positifs ne sont pas malades ni contagieux
Par Peter El Baze
France Soir
90% des positifs ne sont pas malades.
Dans un test PCR il y a un facteur très important qui n’est pas mentionné dans les résultats, c’est le CT (Threshold Cycle). Il s’agit du coefficient d’amplification de l’ADN, du nombre de cycles d’amplification.
Le test ne détecte pas des virus entiers en état de marche, mais des morceaux de ce virus actifs ou non. Donc il peut détecter des petits morceaux de virus d’une infection qui date de plusieurs semaines, voir plus.
Dans les prélèvements il y a très très peu de morceaux d’ARN viral, donc ils ne peuvent pas être détectés tel quel. Il faut augmenter le nombre de morceaux de manière très importante pour pouvoir les détecter.
On transforme cet ARN viral en ADN puis on met un produit qui fait que tous les ADN du prélèvement sont dupliqués de nombreuses fois. On répète plusieurs fois cette opération.
Plus on la répète, plus on amplifie leur nombre, plus le CT est grand, plus on risque d’avoir des faux positifs.
Moins on la répète, moins on a de faux positifs, mais plus on peut avoir des faux négatifs.
Suivant les appareils et les laboratoires on peut aller à des valeurs de CT plus ou moins grandes de 20 à 45 !
CT = de 20 à 30 => charge virale importante, peu de faux positif, si positif on est certain qu’il y a bien infection à un des 5 coronavirus qui circulent. Mais risque de faux négatifs.
CT = 35 => compromis utilisé par l’IHU, mais des faux positifs.
CT = 40 ou plus => 90% de FAUX positifs = pas de virus COVID, les 10% restant ont une charge virale extrêmement faible, on n’est PAS contagieux (mais il n’y a pas de faux négatifs).
Les recommandations des scientifiques sont un CT comprit entre 20 et 30. Dans la pratique des laboratoires d’analyses le plus souvent CT à 40 ou plus !
Si votre test est positif, exigez de connaitre à quel CT et de refaire un autre test le lendemain pour confirmer...
*Docteur Peter EL BAZE est ex-Médecin Attaché des Hôpitaux du CHU de Nice, Ancien Chef de Service de Médecine Interne A1, Les Sources à Nice & Créateur des logiciels médicaux Megabaze et Oncobaze (chimiothérapies)