[Vidéo] Les avocats de Trump allèguent d'une fraude électorale "MASSIVE" et font état de déclarations sous serment et d'efforts pour les menacer et les réduire au silence (RT)

Les avocats de Trump allèguent d'une fraude électorale "MASSIVE" et font état de déclarations sous serment et d'efforts pour les menacer et les réduire au silence (VIDEO)
Article originel : Trump lawyers allege ‘MASSIVE’ election fraud, point to sworn statements & efforts to threaten and silence them (VIDEO)
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Donald J. Trump for President Inc hosts a press conference with Rudy Giuliani and Jenna Ellis

 Citant des déclarations sous serment de témoins, Rudy Giuliani et Sidney Powell ont fait valoir que la fraude électorale était endémique dans plusieurs bastions démocrates et que c'est le président Donald Trump, et non Joe Biden, qui a remporté l'élection si les votes illégaux sont rejetés.

"Je connais les crimes, je peux les sentir. Mais je n'ai pas à les sentir - je peux vous le prouver de 18 manières différentes", a déclaré jeudi aux journalistes Giuliani, ancien procureur fédéral avant d'être maire de New York.

    Ce que je vous décris est une fraude massive.

Il a parlé de 682 770 bulletins de vote par correspondance qui, selon des témoins, n'ont pas été correctement inspectés en Pennsylvanie. Il y avait également un travailleur à Detroit, Michigan, qui a signalé un comportement illégal endémique - y compris l'antidatage des bulletins de vote par correspondance - dans une déclaration sous serment, a-t-il dit.

Enfin et surtout, certains votes auraient été traités plusieurs fois, et certains bureaux de vote ont enregistré entre 150 et 350 % de participation, ce qui constitue une "preuve circonstancielle évidente" de fraude, selon Giuliani.

La divergence entre les circonscriptions a été citée par les responsables électoraux républicains du comté de Wayne, dans le Michigan, qui ont refusé de certifier les résultats - pour ensuite changer d'avis mercredi, puis jeudi, en disant qu'ils avaient été contraints de certifier les résultats par des menaces contre eux et leurs familles.

Dans de nombreux endroits où Trump a mené le soir des élections mais où Biden a pris de l'avance grâce aux bulletins de vote par correspondance comptés plus tard, les observateurs républicains n'ont pas été autorisés à être présents lors de l'ouverture des enveloppes, rendant ainsi impossible la vérification de leur validité, a soutenu Giuliani. A Pittsburgh et Philadelphie, les démocrates qui ont envoyé des bulletins de vote défectueux ont eu la possibilité de les "soigner", mais pas les républicains, a-t-il ajouté.

Dans le Wisconsin, il a déclaré que la campagne avait trouvé quelque 100 000 bulletins de vote par correspondance qui n'avaient pas été demandés dans les États de Madison et de Milwaukee, où les démocrates sont très nombreux, ce qui serait contraire à la loi de l'État.

Sidney Powell, plus connu pour avoir représenté l'ancien assistant de Trump, le général Michael Flynn, a affirmé que Dominion Voting Systems et le logiciel Smartmatic étaient impliqués dans la suppression des votes de Trump et l'"injection" de votes pour Biden, alléguant qu'ils traitaient les votes en Allemagne et en Espagne et qu'ils étaient liés au Venezuela, à Cuba et à la Chine.

L'assistante juridique de la campagne Trump, Jenna Ellis, a déclaré aux journalistes que les élections dans plusieurs comtés contestés étaient "irrémédiablement compromises" et que cela serait démontré devant la cour de justice - et non devant le tribunal de l'opinion publique, où elle a déclaré que les membres de la presse seraient tous rayés du jury comme étant trop partiaux.

L'objectif de la campagne n'était pas de renverser l'élection en tant que telle, mais de s'assurer que les États-Unis aient des élections libres et équitables à l'avenir, a soutenu Ellis. Si la fraude réussit, "aucune élection ne sera plus sûre à partir de maintenant".

Ellis n'a pas été la seule à s'opposer aux journalistes. Giuliani a déclaré que l'objectif de la conférence était de "contourner le rideau de fer de la censure" dans les médias traditionnels et sociaux, en accusant la presse de ne pas couvrir correctement les procès et les allégations et de mentir carrément à leur sujet.

En réponse à une question sur le rejet de plusieurs procès, il a déclaré que la campagne n'en avait en fait que trois à l'heure actuelle et qu'elle venait d'abandonner celui du Michigan parce qu'elle avait obtenu le redressement qu'elle demandait.

Quant aux avocats "tombant comme des mouches", comme l'a dit un journaliste, c'est parce qu'ils recevaient, eux et leurs familles, des menaces de mort, a déclaré Giuliani.

"Nous nous dirigeons vers un très mauvais endroit", a averti l'ancien maire de New York, en faisant remarquer que la "presse vicieuse" a intimidé des témoins ainsi que des avocats, et que la "censure de Big Tech et de Big Media est presque aussi mauvaise" que la fraude électorale présumée.

Les démocrates ont insisté sur le fait qu'il n'y avait pas de fraude "généralisée" et que l'équipe juridique de Trump n'avait aucune preuve de l'existence d'une telle fraude. Alors que Trump a refusé de céder, les grands médias ont annoncé l'élection de Biden. Toute affirmation en désaccord avec cela a été qualifiée de "contestée" par les plateformes de médias sociaux.

Traduction SLT

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