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Décès post-vaccinaux. Près de 1000 morts en France selon l'ANSM, plus de 1500 en Grande-Bretagne selon la MHRA, près de 12.000 aux USA selon la VAERS et 9000 en Europe rien que pour le vaccin Pfizer selon la pharmacovigilance européenne

par SLT 3 Août 2021, 22:18 Vaccin Décès ANSM MHRA VAERS EMA Coronavirus Analyse Articles de Sam La Touch

Les derniers chiffres de l'ANSM concernant les décès post-vaccinaux (décès survenus après vaccination sans présumer de leur cause) en France montrent qu'il y a eu près de 1000 morts en France sur plus de 6 mois.



En voici une analyse plus détaillée par un collectif de chercheurs pharmaciens, médecins et sociologues :

Enfin, si l’on additionne les conséquences les plus graves, mentionnés précédemment pour chacun des 4 vaccins, l’on parvient au tableau ci-dessous qui livre le constat de plus de 15 000 événements indésirables graves, parmi lesquels près de 1 800 hospitalisations, plus de 2 800 mises en jeu du pronostic vital et près de 1 000 morts potentiellement liés à la vaccination anti-covid. Le tout en seulement 6 mois. 

 

comparaison-des-4-vaccins-en-france

Source : - La vaccination Covid à l’épreuve des faits. 2ème partie : une mortalité inédite (Blog de Laurent Mucchielli)

En Grande-Bretagne selon la MHRA à partir du système de Yellow Card, il est relevé au 23.07.21 plus de 1500 morts depuis le début de la vaccination.

COVID-19 Vaccine Analysis Overview

Report run date: 22/07/2021
Data lock date: 21/07/2021

Manufacturer Total reports Total reactions Total fatalities
AstraZeneca 224,252 800,934 1,018
Moderna 10,990 32,454 8
Pfizer 95,040 266,000 466
Unspecified 958 2,840 25
Totals 331,240 1,102,228 1,517



Source : MHRA

En Europe, selon un collectif de chercheurs, il serait de 9000 morts rien que pour le vaccin Pfizer

En Europe, le site de pharmacovigilance de l’Agence européenne du médicament est particulièrement difficile à manier informatiquement, le chargement des données concernant les vaccins anti-Covid est compliqué à trouver et extrêmement long à réaliser, quand il fonctionne. Deux chercheurs français les ont cependant étudiées patiemment à la fin du mois de juin et présenté dans cette vidéo. A la fin du mois de juin, la pharmacovigilance européenne avait déjà enregistré environ 9 000 décès liés à la vaccination uniquement pour le vaccin de Pfizer, notamment du fait de complications cardiaques, pulmonaires ou cérébro-vasculaires, inclues des morts par Covid (un comble pour les vaccins anti-covid…). Par ailleurs, ces données livrent également un deuxième constat très préoccupant, qui est le fait que ces risques d’effets indésirables graves concernent non seulement les personnes âgées de plus de 65 ans, mais aussi les nourrissons et les adolescents (12-17 ans). En d’autres termes, les vaccins génétiques anti-covid utilisés en Europe présentent des risques d’effets indésirables graves (pouvant aller jusqu’à la mort) dans des catégories de la population qui ne sont nullement menacées par la Covid. Les professionnels de santé du collectif ReinfoCovid et de la Coordination Santé Libre ont ainsi montré que, en dessous de l’âge de 45 ans, la balance bénéfice/risque est très défavorable à la vaccination génétique anti-covid. Concernant les enfants et les adolescents, elle relève même d’une forme de violence sur mineurs qu’il serait par conséquent criminel de généraliser. C'est du reste l'occasion de rappeler que l'OMS elle-même déconseille la vaccination des jeunes, n'en déplaise au gouvernement français et à ses serviteurs (parmi lesquels l'Académie de médecine dont on se souvient du communiqué du 25 mai 2021).

Source : La vaccination Covid à l’épreuve des faits. 2ème partie : une mortalité inédite (Blog de Laurent Mucchielli)

Aux Etats-Unis, le nombre de décès post-vaccinaux avoisine les 12.000 selon le VAERS. Le Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) est un programme étatsunien pour la sécurité des vaccins, cogéré par les U.S. Centers for Disease Control and Prevention et la Food and Drug Administration.

Sachant que bon nombre de ces décès pourraient être attribués aux vaccins contrairement aux allégations des agences sanitaires et sachant que seulement 1% à 10% des effets secondaires sont rapportés, le nombre total de décès post-vaccinaux pourrait être d'une ampleur beaucoup plus importante.
 Selon une étude britannique préliminaire analysant les données de la VAERS, seulement 14% des décès post-vaccinaux pourraient ne pas être attribuables aux effets du vaccin contre la Covid (Researchgate)

Selon un rapport commandé par le NIH en Grande-Bretagne, les décès signalés par la VAERS (l'équivalent de l'ANSM aux Etats-Unis) et les déclarations d’événements indésirables dans la VAERS sont susceptibles d’être sous-évalués d’au moins 4,5 et peut-être de 15x ou plus.  Il est notamment écrit dans ce rapport : ..."moins de 1 % des effets indésirables du vaccin sont signalés. Les faibles taux de déclaration empêchent ou ralentissent l’identification des médicaments et des vaccins « problématiques » qui mettent en danger la santé publique. De nouvelles méthodes de surveillance des effets indésirables des médicaments et des vaccins sont nécessaires".
 


Voici la conclusion qu'en tire un collectif de scientifiques [Laurent MUCCHIELLI (sociologue, directeur de recherche au CNRS), Hélène BANOUN (pharmacien biologiste, PhD, ancienne chargée de recherches à l’INSERM), Emmanuelle DARLES (maîtresse de conférences en informatique à Aix-Marseille Université), Éric MENAT (docteur en médecine, médecin généraliste), Vincent PAVAN (maître de conférences en mathématique à Aix-Marseille Université) & Amine UMLIL (pharmacien des hôpitaux, praticien hospitalier, unité de « pharmacovigilance/CTIAP (centre territorial d’information indépendante et d’avis pharmaceutiques)/Coordination des vigilances sanitaires » du Centre hospitalier de Cholet)]:

"La question des effets indésirables graves des vaccins anti-covid fait l’objet d’un déni et d’un silence de la part du gouvernement et des principales agences sanitaires (Agence nationale de sécurité du médicament, Haute autorité de santé, Haut conseil de santé publique, etc.). Tout se passe comme s’il s’agissait d’un véritable tabou, en France comme dans la plupart des autres pays occidentaux. L’importance de ces effets apporte en effet une contradiction trop flagrante et dévastatrice pour l’idéologie de la vaccination intégrale qui guide des gouvernements ayant choisi de s’abandonner dans les bras de l’industrie pharmaceutique. Cette dernière est ainsi au cœur de toute la gestion d’une épidémie qui constitue pour elle une aubaine inédite dans l’histoire : quel produit commercial breveté a pour marché potentiel la totalité de l’humanité, renouvelable chaque année qui plus est ? Patrons et actionnaires de ces firmes pharmaceutiques et biotechnologiques sont en train de devenir immensément riches. Au vu de la façon dont ces industries ont travaillé (dans l’urgence, pour générer un maximum de profits, sans tester les personnes les plus à risque - âge et comorbidités -, à grand renfort de formules de type publicitaire), notamment aux États-Unis et en Angleterre, pour mettre au point ces nouveaux vaccins génétiques (ADN ou ARN), on pouvait ainsi dès le départ redouter que ces produits ne soient pas de très bonne qualité. Mais la réalité dépasse ces craintes et montre que ces vaccins ont davantage d’effets indésirables plus ou moins graves qu’aucun autre avant eux. Nous avons vu ainsi qu’aux Pays-Bas l’on parvient à un taux de 2,7 morts pour 100 000 vaccinés (16,5 millions de vaccinés, 448 morts). En France et aux États-Unis, ce taux monte à environ 3,7 morts pour 100 000 vaccinés. Et en Grande-Bretagne, ce taux grimpe même à 4,3 morts pour 100 000 vaccinés, très probablement en raison de la prépondérance du vaccin AstraZeneca que l’on sait depuis le mois de mars 2021 être le plus dangereux des quatre vaccins couramment utilisés en Occident (en particulier du fait des nombreuses thromboses qu’il provoque et qui commencent à être documentées dans la littérature scientifique médicale, voir par exemple ici et ), ce qui n’est guère surprenant lorsque l’on connaît les conditions dans lesquelles il a été fabriqué en Chine. Au passage, nous avons également signalé que ce fut le premier vaccin administré en France, dès février 2021, aux professionnels de santé. De là une des raisons rationnelles probables de la grande réticence à la vaccination anti-covid que manifestent une partie d’entre eux.

Cette mortalité vaccinale (qui n’est que la pointe émergée de l’iceberg des effets indésirables graves) est donc inédite, elle est particulièrement grave et sa dissimulation l’est plus encore. Soyons clair : dissimuler d’une façon ou d’une autre un tel danger est tout simplement criminel vis-à-vis de la population. Même réduite à ses plus élémentaires principes de déontologie (primum non nocere), l’approche de cette question en termes de santé publique devrait conduire à suspendre d’urgence la campagne vaccinale, à étudier beaucoup plus en détail les données de cette pharmacovigilance (en particulier selon les classes d’âge et en fonction des différents facteurs de risque) et, au terme d’une analyse bénéfices/risques méticuleuse, à déterminer à quelles catégories bien précises de la population il est possible de proposer la vaccination sans risque que les effets indésirables graves soient plus nombreux que les formes graves de la Covid dont elle est censée les protéger. Tout autre approche ne relève pas de la santé publique mais de postures idéologiques ou d’un marketing commercial. Et l’histoire a déjà montré (sur le tabac, sur les pesticides, sur la pollution aux hydrocarbures, etc.) que ces postures et ce marketing étaient responsables de véritables crimes contre les populations civiles. Qu'ils soient commis au nom du Bien ne devrait en aucun cas aveugler sur leur réalité et leur nature. Toutes celles et ceux qui s’y adonnent pourraient être désormais considérés comme complices de cette nouvelle mortalité vaccinale qui semble inédite dans l’histoire de la médecine moderne."

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- Rapport de l'IRSEM de novembre 2018. Comment l'armée française considère le blog de SLT et ...les autres

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