Une avocate ayant assisté à une audience du Conseil d'Etat déclare qu'Olivier Veran a reconnu que les "vaccins ARN peuvent entraîner des effets secondaires potentiellement graves" à hauteur de 24% des effets secondaires constatés (Vidéo)

Une avocate en droit publique et droit de la santé et membre du jury des épreuves du CAPA fait un petit compte-rendu de l'audience de référé de ce matin au Conseil d'Etat sur les effets secondaires graves survenant après injection d'une dose rappel.

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"L'audience du conseil d'Etat portait sur le décret 3ème dose du 13 janvier 2022. Les débats se sont essentiellement concentrés sur un point spécifique, celui de la contre-indication à l'administration d'une nouvelle dose de vaccin. Le cas qui a été abordé ce matin est celui d'une personne qui a déjà reçu deux injections de vaccin ARN et qui a l'issu de cette 2ème injection a développé des effets secondaires graves. Premier enseignement de cette audience : Le ministre de la solidarité et de la santé reconnait que les vaccins ARNm peuvent entraîner des effets secondaires et que ces effets secondaires sont potentiellement graves. Nous nous sommes accordés sur un pourcentage qui est celui de l'agence nationale de sécurité des médicaments qui veut que en moyenne 24% des effets secondaires constatés sont graves. Qu'entend on par effets secondaires graves c'est simple, c'est soit un décès soit la mise en jeu du pronostic vital soit une hospitalisation ou encore une infection sévère qui va obérée votre quotidien pendant plusieurs semaines voire plusieurs mois. A partir du moment où vous avez un gouvernement qui reconnaît que des vaccins peuvent déteriorer la santé de ses citoyens, je considère et c'est en ce sens que j'ai plaidé ce matin, que on ne peut pas imposer l'administration d'une dose de rappel..."

A écouter , rapport du conseil d’état ce matin !
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— BAN 🎖🎖🎖 (@B