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FlashinfoJ40. Mariupol: nouveau maire autoproclamé pro-russe/+30 enfants ukrainiens disparu en Espagne/+1400 civils tués depuis le début/ Des FAR ont exécuté des prisonniers de guerre russes/ Kharkiv:+7 personnes tuées dans une frappe russe hier/Butcha: Londres a refusé la réunion du Conseil de sécurité de l'ONU/France: expulsion de diplomates russes/ Mykolaïv:+11 civils tué ds bombardement russe

par SLT 4 Avril 2022, 20:44 Flash Ukraine Guerre Russie Articles de Sam La Touch

--- Le flash info a été bloqué à plusieurs reprises notamment mardi 1.03.22 où les infos après 14h ont été impubliables.  Néanmoins depuis lors, nous n'avons pas eu de souci. Nous espérons pouvoir continuer à alimenter ce flash sur la guerre en Ukraine avec des sources d'information diversifiées atlantistes, russes et autres... A noter que depuis le 3.03.22, nous n'avons plus accès à RT ou TASS ou bien à Sputniknews. Nous avions perdu SF le 10.03.22 que nous avons finalement retrouvé...En effet, le 9 mars, l'hébergeur allemand Hetzner a retiré SF de son réseau et a suspendu leur IP.

Note de SLT : L'objectif de ces flash infos est de rapporter les évènements se déroulant en Ukraine depuis l'attaque russe du 24.02.22 en s'appuyant sur plusieurs sources atlantistes et russes sans prendre parti. Nous ne manquerons pas non plus de vous donner des infos provenant de sources médiatiques de pays externes au conflit OTAN/Russie. Côté atlantiste nous avons l'AFP, Reuters, CNN, Le Monde, The Guardian ..., côté russe ou pro-russe nous avons RT, Sputniknews,TASS,  Southfront... En sachant que chaque camp tend à dérouler la propagande de ses autorités avec ses lots de Fake news ou de fausses informations, c'est selon. A vous de vous faire une opinion et prudence ! Toutefois, il va être de plus en plus difficile de donner les infos en provenance du côté russe car l'UE a annoncé le 27.02.22 qu'elle bannissait RT et Sputniknews. Le récit narratif sur la guerre en Ukraine dans l'UE risque d'être perçue en Europe sous le prisme des atlantistes et de leur propagande. A suivre...
A ce sujet, lire :

Situation militaire dans l'Est de l'Ukraine au 4.04.22

Situation militaire dans l'Est de l'Ukraine au 4.04.22

(c) Infographie Le Monde

(c) Infographie Le Monde

  • SF 4.04.22 Combats dans l'est de l'Ukraine le 4 avril 2022 (vidéos) Le 3 avril, une bataille de chars aurait eu lieu dans le village de Brazhkovka (au sud-ouest de Kamianka). Des chars du 13e régiment de la Première armée de chars russe ont fait face à une colonne de chars des FAU et ont détruit six chars des FAU dans une bataille rapide, perdant un de leurs propres chars. Pour l'instant, le village lui-même se trouve dans la zone grise. Un combat acharné est en cours pour le contrôle du village. Les unités de la RPL et de la Fédération de Russie continuent d'avancer dans Popasnoye. Un dépôt de locomotives a été occupé. Le 4 avril, le plus grand succès a été remporté par les unités de la RPD, qui ont réussi à capturer l'important centre de transport - le village de Novobakhmutovka. La prise de Novobakhmutovka par l'armée de la RPD, soutenue par les forces armées russes, a permis d'atteindre la route menant de Kostyantynivka à Avdeevka. Les combats pour ce village ont duré trois jours. Le ministère de la défense de la RPD a indiqué que jusqu'à une compagnie de la 25e brigade aéroportée des forces armées ukrainiennes a été détruite dans les combats. Les unités de la RPD ont également subi des pertes.
FlashinfoJ40. Mariupol: nouveau maire autoproclamé pro-russe/+30 enfants ukrainiens disparu en Espagne/+1400 civils tués depuis le début/ Des FAR ont exécuté des prisonniers de guerre russes/ Kharkiv:+7 personnes tuées dans une frappe russe hier/Butcha: Londres a refusé la réunion du Conseil de sécurité de l'ONU/France: expulsion de diplomates russes/ Mykolaïv:+11 civils tué ds bombardement russe
  • Le Monde 4.04.22 21h00 Onze civils tués dans des bombardements sur Mykolaïv.  Onze civils ont été tués et au moins 46 autres ont été blessés dans des bombardements sur Mykolaïv, dans le sud de l’Ukraine, a annoncé lundi son maire, Oleksandre Senkevitch. Une première frappe de l’armée russe à 6 heures, heure française, a fait « un mort et cinq blessés, dont deux graves », avant une deuxième, dans laquelle « ont été tuées 10 personnes et 41 autres blessées », a-t-il déclaré dans un message-vidéo, précisant que le nombre des victimes pouvait encore augmenter.
  • Le Monde 04.04.22 A Boutcha, les rues transformées en cimetière à ciel ouvert La Russie, avec l’appui de comptes pro-Poutine et de la complosphère, tente de diffuser l’idée que la découverte de corps de civils ukrainiens est une mise en scène.  Depuis que la découverte de dizaines de corps ukrainiens laissés à l’abandon, le 2 avril, à Boutcha (banlieue de Kiev), a suscité l’émoi de la communauté internationale, et que Volodymyr Zelensky dénonce un « génocide », la Russie rejette non seulement toute responsabilité, mais accuse également l’Ukraine de mise en scène. Quitte à s’appuyer sur des arguments qui ne reposent sur rien. Ceux-ci convoquent un reportage de la chaîne de télévision ukrainienne, Espreso TV, depuis largement diffusé sur les réseaux sociaux. Dans cette vidéo, des journalistes suivent des soldats ukrainiens qui patrouillent dans une rue de la ville de Boutcha au milieu de dizaines de cadavres gisant sur le sol ou le trottoir. Un document extrêmement choquant, qui pourrait être considéré comme une preuve de crime de guerre, mais qui, selon Moscou, relève de l’opération de manipulation. Des allégations non valides
    Trois arguments ont particulièrement été mis en avant par la Russie et ont été repris sur les réseaux sociaux par ses défenseurs. Le premier avance que, sur une vidéo de la ville de Boutcha, l’un des civils présenté comme mort lèverait la main au passage de la caméra – preuve qu’il ne serait pas mort, voire qu’il jouerait la comédie. L’analyse de la vidéo d’origine montre en réalité que le cadavre en question ne bouge pas le bras au passage de la caméra des journalistes de la télévision ukrainienne. Il s’agit d’un effet d’optique provoqué par une tâche, ou une goutte d’eau, présente sur le pare-brise du véhicule. Un second argument, toujours à partir de ce même reportage ukrainien, avance que l’on peut apercevoir sur le rétroviseur droit de la voiture un cadavre se relever après le passage des journalistes. Là encore, c’est mensonger. Il s’agit d’un mouvement causé par la déformation du verre du rétroviseur, comme l’ont démontré les comptes Twitter Hoax Eye, ou Debunkers des étoiles, spécialistes dans la vérification. Un troisième argument, qui ne prend pas sa source dans ces images, circule beaucoup : quatre jours se seraient écoulés entre la levée des troupes russes, le 30 mars, et la diffusion des images des corps, le 3 avril. Quatre jours durant lesquels les forces ukrainiennes auraient eu le temps de mettre en scène un charnier. Une chronologie contredite à ses deux extrémités : d’après les constatations du correspondant du Monde à Moscou, la télévision de l’armée russe, Zvezda, montrait encore des unités russes « contenant avec succès les forces adverses sur une ligne Hostomel-Boutcha-Ozera », le 1er avril. Or les premières vidéos de cadavres éparpillés dans les rues datent de ce même 1er avril et ont été diffusées sur un groupe Telegram d’habitants d’Irpine...
    Les relais complaisants de Moscou L’accusation de mise en scène a également circulé via des canaux moins officiels, et notamment un billet depuis supprimé sur South Front, site anglophone géré par Moscou, et qui a su trouver une audience auprès des publics amateurs de théories du complot. Elle a sans surprise été reprise également en français, par des personnalités habituées à relayer la propagande de Moscou depuis le début de l’offensive russe, tel l’influenceur conspirationniste Silvano Trotta, qui parle à ses 157 000 abonnés Telegram du « bras qui bouge » ; Régis de Castelnau, avocat évoluant dans les sphères contestataires antivax, pour qui le massacre de Boutcha « ressemble furieusement à une mise en scène » ; ou encore « @_ 2019_nCoV_- », un compte complotiste apparu lors de la pandémie, qui croit voir un « zombie ukrainien se lever, susceptible de donner une interview aux journalistes ». Ironiquement, certaines insinuations russes ne sont pas compatibles entre elles : par exemple, comment concilier l’allégation selon laquelle le massacre aurait en réalité été commis par le régiment ukrainien aux sympathies néonazies, Azov, avec celle selon laquelle les corps jonchés seraient des acteurs se faisant passer pour des morts ? Mais cette profusion narrative n’empêche pas ses propagateurs d’atteindre leur objectif : embrouiller une partie de la population occidentale, et la mener à douter de tout, même et surtout d’un crime de guerre.
  • Donbass Insider 4.04.22 Ukraine – Le massacre de Boutcha, un Timisoara à l’ukrainienne Le 3 avril 2022, les autorités ukrainiennes et les Occidentaux ont accusé la Russie d’avoir commis un massacre sur des civils de Boutcha, une localité située en périphérie de Kiev. Mais plusieurs incohérences indiquent que le massacre de Boutcha est un épisode digne de l’affaire des charniers de Timisoara (un cas d’école de désinformation). Pour comprendre ce qui s’est réellement passé, il faut reprendre la chronologie des événements. Le 30 mars 2022, l’armée russe se retire de Boutcha, dans le cadre du redéploiement des troupes vers le théâtre principal des opérations, à savoir le Donbass. Alexandre Kots, un journaliste qui était avec les troupes russes à Boutcha dit même que l’armée russe avait commencé à se retirer de cette zone déjà plusieurs jours avant, et que le 30 mars est juste la date à laquelle les derniers soldats sont partis. L’armée ukrainienne n’a pas réalisé immédiatement que l’armée russe était partie et a continué à bombarder la zone pendant plusieurs jours, ce qui a pu provoquer des pertes civiles. Le 31 mars 2022, le maire de Boutcha, Anatoli Fedorouk, enregistre une vidéo, où il exprime sa joie concernant le départ des forces armées russes de sa ville. À aucun moment dans la vidéo il ne parle de massacre de civils. Le maire affiche un grand sourire et parle de victoire, etc. Pas un mot sur un éventuel massacre à Boutcha, pas un mot sur des pertes civiles. Rien. Ce qui est pour le moins étrange.... Si on prend maintenant toutes ces informations, et qu’on analyse ce qui ressort de tout ça, voici le scénario qui se dessine :
    – Le 30 mars 2022 l’armée russe retire ses derniers soldats de Boutcha. Mais l’armée ukrainienne ne s’en rend pas compte immédiatement et continue de tirer sur la ville pendant plusieurs jours, et entre autre la rue Iablonskaya où se trouvait un bâtiment occupé par les troupes russes.– Le 31 mars 2022 le maire de Boutcha fait une vidéo pour célébrer la libération de la ville, et ne mentionne pas de civils massacrés par les troupes russes ou de corps visibles dans les rues.– Le 1er avril 2022, les corps de la rue Iablonskaya sont filmés depuis une voiture et la vidéo est publiée tard le soir sur Twitter. Ce qui veut dire que ces personnes sont certainement mortes le 31 mars (après l’heure de tournage de la vidéo du maire) ou le 1er avril (avant l’heure de tournage de la vidéo montrant les corps).– Le 2 avril 2022, la police ukrainienne filme les rues de Boutcha et seul un corps manifestement tué par un bombardement apparaît en début de vidéo. Aucune mention de massacre, ni même des morts de la rue Iablonskaya. Pourtant l’information est connue puisqu’une vidéo circule déjà depuis la veille. Mon hypothèse est que la police ukrainienne n’a pas voulu montrer les corps car ces civils ont été tués par des bombardements de l’armée ukrainienne et pas par les troupes russes. La police aurait donc chercher à éviter de mettre en avant ce crime de l’armée ukrainienne envers sa propre population. Il semble que la police ukrainienne n’a pas eu l’idée d’exploiter ces morts pour en faire porter la responsabilité à la Russie. Ce qui lui vaut des remontrances.– Le 2 avril 2022 toujours, l’équipe de combattants ukrainiens de Botsman arrive aussi à Boutcha avec la police ukrainienne pour débusquer d’éventuels saboteurs ou complices des troupes russes. Les troupes de Botsman reçoivent l’autorisation de tirer sur les hommes ne portant pas un brassard bleu. Les troupes ukrainiennes auraient alors capturé, torturé et tué plusieurs civils qu’ils considéraient comme ayant collaboré avec les Russes. C’est à ce moment-là qu’apparaissent des photos de civils torturés et tués avec les mains attachés dans le dos, dont la mort est attribuée aux Russes. Pareil pour les civils qui avaient été enterrés dans la fosse commune près de l’église à la mi-mars, et ce alors qu’ils sont morts lors de bombardements et pas du tout exécutés par les soldats russes.Si on met bout à bout les 67 civils enterrés dans la fosse commune, la vingtaine de corps dans la rue Iablonskaya, et les neuf près et dans le bâtiment où s’étaient installés les soldats russes, on est très loin des 410 corps annoncés par les autorités ukrainiennes. Des civils sont morts à Boutcha, mais la plupart l’ont été lors des bombardements de la ville, y compris lors de bombardements menés par l’armée ukrainienne, et neuf ont été manifestement torturés et assassinés par les troupes ukrainiennes pour collaboration avec les troupes russes. Comme on peut le voir cette affaire du massacre de Boutcha ressemble furieusement à celle des charniers de Timisoara, mais à la sauce ukrainienne. Il est clair qu’il faut une enquête internationale impartiale et rapide sur ce qui s’est passé à Boutcha. Mais il semble que cela n’est pas à l’ordre du jour, les Occidentaux refusant la demande de la Russie d’organiser une réunion urgente du Conseil de Sécurité de l’ONU sur ce qui s’est passé à Boutcha.
  • SF 4.04.22 De nouvelles preuves font la lumière sur le massacre présumé de Bucha, dans la région de Kiev (Vidéo, Photo). Le 3 avril, la machine de propagande ukrainienne a tenté une nouvelle attaque contre Moscou. Quelques vidéos montrant des dizaines de civils qui auraient été tués par des militaires russes ont été largement diffusées par l'ensemble des médias ukrainiens. La thèse principale des médias ukrainiens et occidentaux est que les militaires russes ont quitté Bucha, causant d'énormes pertes civiles. L'un des principaux éléments de preuve était une vidéo des FAU circulant dans la ville. On y voit des cadavres de civils gisant le long de la route. La moindre analyse de la séquence a suscité de nombreux doutes quant à sa crédibilité. Vous pouvez lire plus d'informations ICI. Aujourd'hui, il y a d'autres vidéos intéressantes de Bucha partagées par l'armée ukrainienne qui peuvent aider à faire la lumière sur ce qui s'est réellement passé dans la ville quittée par les troupes russes le 30 mars. Le 2 avril, un jour avant que les "journalistes" ukrainiens ne viennent à Bucha pour mettre en scène les scènes horribles dans les rues, la police nationale ukrainienne a publié une vidéo de l'opération de ratissage à Bucha. Les images ont confirmé que : il n'y avait pas de cadavres dans les rues. Pas un seul civil n'a confirmé l'existence de tirs de masse dans la ville. Les équipes de déminage ukrainiennes qui sont entrées dans la ville juste après le retrait russe n'avaient pas de travail à faire. On les voit marcher dans les rues avec les civils. Pas une seule mine laissée par les Russes n'est visible sur la vidéo. Des militaires de la Garde nationale ont demandé à certains civils s'ils avaient besoin d'aide, mais aucun d'entre eux n'a répondu en demandant une aide immédiate, confirmant qu'ils allaient bien. Seul un homme est vu tué dans sa voiture. On ne sait pas comment il a été tué. Une autre victime est manifestement un militaire de l'un des belligérants tué lors des affrontements, dont le corps gît près d'un équipement militaire détruit. L'un des "patriotes" ukrainiens a fait un commentaire sur le comportement des "envahisseurs russes". Après que ses propres compatriotes aient informé les militaires russes de sa conscience sociale aiguë, les militaires russes ont inspecté son appartement, mais n'ont trouvé que des drapeaux et un tas de symboles ukrainiens...En fait, les médias ukrainiens ont utilisé une photo aléatoire de soldats conscrits yakoutes, trouvée sur les réseaux sociaux. Ces soldats ont été démobilisés il y a un an. On leur a maintenant conseillé de cacher leurs photos de l'armée afin de ne pas être exposés dans les faux ukrainiens. Certaines des victimes de Bucha sont des personnes qui ont été tuées par la soi-disant défense territoriale ukrainienne. Cela a été confirmé par les Ukrainiens eux-mêmes. Le reste des victimes ont été tuées lors des bombardements menés par les FAU après le départ des troupes russes, comme l'indique le grand nombre de cratères dus aux tirs d'artillerie sur la vidéo. Le 3 avril, le ministère russe de la défense a confirmé que les informations de Kiev sur les massacres dans la Butcha ukrainienne étaient fausses et que la vidéo avait été mise en scène. Le ministère russe de la Défense a déclaré que tous les faits confirment de manière irréfutable que les photos et les images vidéo de Buca sont une autre mise en scène du régime de Kiev pour les médias occidentaux, comme ce fut le cas à Marioupol avec la maternité, ainsi que dans d'autres villes. Il a été ajouté que : Toutes les unités des troupes russes se sont complètement retirées de Bucha le 30 mars, et ces images sont apparues le 4e jour après, lorsque des officiers du SBU et des représentants de la télévision ukrainienne sont arrivés sur place Pendant le séjour des soldats russes à Bucha, pas un seul civil n'a été blessé ; 452 tonnes d'aide humanitaire ont été livrées et distribuées aux civils par les militaires russes dans les colonies de la région de Kiev...
  • SF 4.04.22 La bataille de Mariupol entre dans sa phase finale. Le lundi 4 avril a commencé par la poursuite d'intenses affrontements dans la ville de Marioupol, située sur la rive de la mer d'Azov, dans l'est de l'Ukraine. Les jours précédents, les unités de la RPD et des forces armées russes ont réalisé une série d'avancées tactiques autour de la zone industrielle et portuaire de la ville et ont atteint les environs de l'usine Azovstal - le principal bastion de la tristement célèbre faction armée ukrainienne "Bataillon Azov" et des unités alliées des forces de Kiev. Malgré cela, des affrontements sporadiques éclatent de temps à autre dans le centre de la ville où des groupes mobiles distincts des forces de Kiev tentent de ralentir l'avancée des troupes de la RPD et de la Russie....
FlashinfoJ40. Mariupol: nouveau maire autoproclamé pro-russe/+30 enfants ukrainiens disparu en Espagne/+1400 civils tués depuis le début/ Des FAR ont exécuté des prisonniers de guerre russes/ Kharkiv:+7 personnes tuées dans une frappe russe hier/Butcha: Londres a refusé la réunion du Conseil de sécurité de l'ONU/France: expulsion de diplomates russes/ Mykolaïv:+11 civils tué ds bombardement russe
FlashinfoJ40. Mariupol: nouveau maire autoproclamé pro-russe/+30 enfants ukrainiens disparu en Espagne/+1400 civils tués depuis le début/ Des FAR ont exécuté des prisonniers de guerre russes/ Kharkiv:+7 personnes tuées dans une frappe russe hier/Butcha: Londres a refusé la réunion du Conseil de sécurité de l'ONU/France: expulsion de diplomates russes/ Mykolaïv:+11 civils tué ds bombardement russe
  • SF 4.04.22 Bucha: Londres a refusé la réunion du Conseil de sécurité de l'ONU. Le 4 avril, Londres a refusé de tenir une réunion du Conseil de sécurité de l'ONU sur les événements actuels à Bucha (LIEN, LIEN) dans la région de Kiev en Ukraine, selon la représentante officielle du ministère russe des Affaires étrangères Maria Zakharova. Moscou exigera une nouvelle fois la convocation du Conseil de sécurité de l'ONU sur cette question. Le 3 avril, le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, a demandé une enquête indépendante sur ce qui s'est passé à Bucarest afin de traduire les responsables en justice, et a ajouté qu'il était "profondément choqué" par les images de la ville.  "Hier, dans les pires traditions anglaises, la présidence britannique du Conseil de sécurité de l'ONU n'a pas accepté de tenir une réunion du Conseil de sécurité sur la situation à Buca", a-t-elle écrit sur Telegram. Le premier représentant permanent adjoint de la Russie auprès de l'ONU, Dmitry Polyansky, a déclaré que "compte tenu de la provocation flagrante des radicaux ukrainiens à Buca", Moscou a exigé la convocation d'une réunion du Conseil de sécurité de l'ONU le 4 avril. La raison pour laquelle Londres a refusé de tenir une réunion du Conseil de sécurité de l'ONU n'est pas claire. Probablement, elle a peur de la vérité. Si les faux sont officiellement révélés, Londres ne pourrait pas imposer davantage de sanctions contre la Russie, qui ont déjà été proclamées. Auparavant, le chef du Centre de contrôle de la défense nationale russe, Mikhail Mezentsev, a déclaré que les autorités ukrainiennes ordonnaient aux bataillons nationalistes de tourner des vidéos mises en scène sur les meurtres de civils par les forces armées russes. Selon lui, les bataillons tournent des vidéos sur "les outrages et les massacres de civils, le pillage et la destruction des infrastructures sociales", qui seraient commis par les militaires russes. Cela devrait créer un contexte d'information négatif autour de l'opération militaire russe en Ukraine, a expliqué Mizintsev.
  • SF 4.04.22 L'existence des laboratoires biologiques Ukraino-étatsuniens prouvée par diverses sources. Hunter Biden, le fils du président américain Joe Biden, qui a été impliqué dans plusieurs affaires de corruption (y compris en Ukraine), a également été soupçonné d'être l'un des principaux financiers du controversé biolab ukrainien géré par les États-Unis. Même le New York Post l'admet désormais. De nouvelles preuves viennent d'apparaître, et le ministère russe de la défense a divulgué des courriels qui montrent l'implication de Biden dans la recherche sur les agents pathogènes en Ukraine, en aidant un entrepreneur californien de la défense à faire des affaires dans le pays d'Europe de l'Est. Selon ces courriels, Hunter Biden a présenté la société de recherche sur les agents pathogènes Metabiota de San Francisco à des responsables de la société gazière ukrainienne Burisma (dont il était lui-même membre du conseil d'administration). Ils montrent également que Biden a contribué à attirer des fonds pour les entreprises Black & Veatch et Metabiota. Jusqu'à présent, toutes les allégations et préoccupations russes et chinoises concernant la possibilité d'un programme ukrainien d'armes biologiques illégales ont été qualifiées par les médias occidentaux de "propagande", de "fake news" et de "théories du complot". Le site Web de l'ambassade des États-Unis à Kiev donne les coordonnées du DTRO (Defense Threat Reduction Office) à Kiev et indique qu'il fournit des services de coopération en matière de réduction des menaces (CTR) à un certain nombre de ministères ukrainiens et gère des programmes d'assistance tels que le programme de réduction des menaces biologiques (BTRP). Le DTRO dépend de la Defense Threat Reduction Agency du Pentagone, qui trouve son origine dans le célèbre projet Manhattan de 1942-1947. Un certain nombre de laboratoires collaborent avec cette agence en Ukraine, et le contractant principal de nombre d'entre eux est la société américaine Black & Veatch mentionnée plus haut. À ce stade, il peut être intéressant de rappeler certains événements : Le 28 février, quatre jours après le début des opérations militaires russes en Ukraine, la journaliste bulgare Dilyana Gaytandzhieva a tweeté qu'au moins 15 documents PDF relatifs à ces laboratoires avaient été supprimés par le site web de l'ambassade américaine sans explication. L'archive internet Wayback Machine permet toujours d'obtenir ces documents supprimés. Le 8 mars, lors d'une audition devant la commission des affaires étrangères du Sénat, la sous-secrétaire d'État américaine aux affaires politiques, Victoria Nuland, a confirmé l'existence de laboratoires biologiques américains en Ukraine et s'est dite préoccupée par le fait que "les forces russes pourraient chercher à en prendre le contrôle". Le lendemain, Jen Psaki, secrétaire de presse de la Maison Blanche, a tweeté que Moscou avait "un long passé bien documenté d'utilisation d'armes chimiques." On peut en fait dire la même chose de Washington, qui, à ce jour, est critiquée par la Fédération des scientifiques étatsuniens pour avoir adhéré à une interprétation controversée de la Convention sur les armes biologiques dans le cadre des programmes du ministère de la sécurité intérieure. Le 10 mars, le département d'État U.S a déclaré que les États-Unis ne "possèdent ni n'exploitent aucun laboratoire chimique ou biologique en Ukraine" - ce qui est en soi une affirmation manifestement fausse. Un article de RFI du 11 mars, rédigé par le scientifique Jan van der Made, conclut que les Etatsuniens doivent "fournir plus de transparence sur le projet". Le 10 mars également, le ministère russe de la Défense a affirmé disposer de documents indiquant que des laboratoires ukrainiens menaient des expériences sur les coronavirus de chauve-souris. Puis, le 18 mars, le ministère a accusé Washington de développer dans des laboratoires ukrainiens des agents pathogènes destinés à être utilisés comme armes biologiques. Au cours d'un point de presse, Igor Kirillov (chef de la force russe de protection contre les radiations, les produits chimiques et biologiques) a présenté un certain nombre de documents saisis par les forces russes qui corroborent ces affirmations : par exemple, les projets américano-ukrainiens P-568 et P-382 portaient sur l'expérimentation de micro-organismes (notamment des coronavirus, des agents pathogènes de la brucellose et de la leptospirose), sous la supervision de Joanna Wintrall, chef du bureau de la Defense Threat Reduction Agency (DTRA) à l'ambassade américaine de Kiev...

 

  • Le Monde 4.04.22 07h00  Ce qu’il faut savoir ce matin
    • Le retrait de l’armée russe de la région de Kiev révèle une Ukraine dévastée et des scènes de désolation. A Boutcha notamment, les corps d’une vingtaine d’hommes ont été découverts gisant dans une rue, éparpillés sur plusieurs centaines de mètres. Au total, les corps de 410 civils ont, pour l’instant, été retrouvés dans les territoires de la région de Kiev.
    • La nouvelle a provoqué l’indignation des Occidentaux et de l’ONU, les accusations de crimes de guerre envers la Russie se multipliant. Le président ukrainien Volodymyr Zemensky a accusé directement les dirigeants russes de « tortures » et de « meurtres ». De son côté, Moscou nie et demande un débat au Conseil de sécurité des Nations unies.
    • Le président du Conseil européen, Charles Michel a promis « plus de sanctions » pour la Russie, et davantage d’aides pour l’Ukraine, dans un tweet dimanche. « Nous déciderons de nouvelles mesures entre Alliés dans les prochains jours », a avancé de son côté le chancelier allemand Olaf Scholz, assurant que « le président Poutine et ses soutiens en subiront les conséquences ».
    • Une série d’explosions ont secoué dimanche matin Odessa, principal port de l’Ukraine, sur la mer Noire. La Russie a indiqué avoir mené des frappes par « des missiles maritimes et terrestres de haute précision » qui ont, selon elle, « détruit une raffinerie et trois sites de stockage de carburants et de lubrifiants » près d’Odessa.
    • Au moins sept personnes ont été tuées et 34 blessées dans une frappe russe dimanche sur un quartier d’habitation à Kharkiv, grande ville du nord-est de l’Ukraine, a annoncé le parquet local. Dans l’est de l’Ukraine, une frappe russe sur un hôpital à Roubijne a fait un mort et trois blessés, selon le gouverneur de la région.
    • Le pape François s’est dit « disponible » pour faciliter un règlement du conflit. Il a confirmé qu’un déplacement à Kiev faisait partie des options. « Je ne sais pas s’il pourra avoir lieu, ni s’il serait utile », a-t-il cependant souligné. Et il a affirmé qu’une rencontre avec le patriarche orthodoxe russe Kirill – qui soutient Vladimir Poutine et a justifié fin février l’intervention militaire russe – était toujours « à l’étude ».
    • Les forces russes ont ouvert le feu dimanche pour disperser une manifestation contre leur présence à Khakovka, ville occupée du sud de l’Ukraine, faisant un nombre indéterminé de blessés, a affirmé Lioudmyla Denissova, chargée des droits humains auprès du Parlement ukrainien.
    • Le négociateur en chef russe dans les pourparlers de paix avec l’Ukraine, Vladimir Medinski, a salué dimanche une position « plus réaliste », selon lui, de Kiev, prêt sous conditions à accepter un statut neutre du pays, réclamé par Moscou.
  • SF 04.04.22  De 30 à 40 enfants ukrainiens ont disparu sans laisser de trace en Espagne Les autorités espagnoles recherchent depuis une semaine un groupe de 30 à 40 enfants ukrainiens disparus. Les enfants réfugiés étaient censés être envoyés d'Espagne continentale vers les îles Canaries, mais le groupe a disparu. Le groupe de dizaines d'enfants accompagnés de trois adultes devait prendre un ferry pour rejoindre les îles Canaries. Ils devaient quitter l'Espagne continentale le mardi 29 mars et débarquer sur les îles le vendredi 1er avril. Les autorités espagnoles auraient été informées à l'avance du voyage des réfugiés mineurs ukrainiens, mais celui-ci n'a pas été convenu avec les autorités espagnoles. Les transferts d'enfants ne peuvent pas non plus être encouragés à l'insu des autorités, et les îles Canaries, saturées par l'arrivée par bateau de près de 3 000 mineurs au cours des deux dernières années, n'ont pas la capacité d'en prendre davantage en charge. La police et les autorités locales des îles Canaries, de Madrid et d'Andalousie ont passé près d'une semaine à essayer de localiser le groupe et d'empêcher le voyage. Les agents déployés dans l'opération ont surveillé les ferries le mardi, également ceux du vendredi et même du samedi. Mais aucune trace n'a été trouvée. L'organisatrice du voyage serait une Ukrainienne vivant à Fuerteventura, dans les îles Canaries. Cette femme nie avoir participé à l'organisation de ce voyage, mais pas moins de quatre sources au fait du dossier affirment qu'elle en était la principale promotrice, et qu'il s'agit déjà du deuxième voyage organisé par elle. Diverses sources aux Canaries insistent sur le fait que c'est elle qui est derrière cette mission, bien que personne ne sache d'où vient le premier indice qui la lie aux mineurs de Huelva.  "Je ne sais rien de ce sujet. Tous les jours, depuis presque une semaine, une personne différente m'appelle et me demande : "Vos enfants sont-ils à Huelva ? Quels enfants ? Quelle Huelva ? Je ne sais rien de ces enfants", répond-elle, lassée de cette affaire. "Le fait de chercher un logement est un autre problème, mais je ne sais rien de Huelva. Pour l'instant, je n'attends pas d'enfants", a-t-elle ajouté. Un autre groupe de réfugiés ukrainiens mineurs, envoyé par la même femme, a atteint avec succès les îles Canaries. Le 11 mars, elle avait emmené trois tuteurs et 16 mineurs d'un orphelinat près de Kiev à La Oliva, à Fuerteventura. Cette fois, elle avait organisé le voyage en étroite collaboration avec le maire local, mais sans aucune coordination avec qui que ce soit d'autre. Bien que le premier voyage ait été un succès, le second a été interdit. À cette deuxième occasion, le conseil municipal de La Oliva et le service de protection de l'enfance ont désavoué le projet. Et les portes auxquelles la femme a frappé ne se sont pas ouvertes. Mais elle a, selon les sources consultées, poursuivi sa mission. Des sources policières ont confirmé que le groupe de réfugiés mineurs existe bel et bien, bien que personne ne l'ait vu. Déplacer un groupe aussi important de mineurs d'un endroit à un autre par bateau attirerait l'attention. L'enlèvement de mineurs, en particulier de migrants et d'orphelins, à des fins criminelles, de prostitution et de transplantation d'organes est un problème dangereux pour l'Espagne. Le pays est depuis des années la voie de migration de pays en guerre et instables. Quant aux réfugiés ukrainiens, ce n'est de loin pas le premier cas d'alerte. Cette semaine encore, la police nationale a arrêté à la gare routière sud de Madrid un Ukrainien qui se faisait passer pour un parent de deux adolescents de 15 et 16 ans. Les agents étaient déjà prévenus, mais les interrogatoires et le contenu des bagages des mineurs, "des vêtements non conformes aux températures de cette époque de l'année" et de nombreux produits cosmétiques, ont confirmé les pires soupçons de la police. Depuis le début de l'offensive russe, près de 14 000 mineurs ont été enregistrés en Espagne, soit 40% des près de 35 000 personnes déplacées qui ont déjà leurs papiers en règle en Espagne. Parmi eux, plus d'une centaine sont des mineurs arrivés dans le pays sans la compagnie d'adultes. Le conflit militaire en Yougoslavie a été le premier sur le continent européen qui a été marqué par les faits d'enlèvements massifs d'enfants à des fins d'exploitation comme esclaves sexuels et de matériel pour le commerce illégal d'organes. Dans le premier quart du 21e siècle, les pays d'Europe occidentale ont fait état de succès dans la lutte contre ces activités criminelles. Personne n'a prêté attention aux avertissements constants de la Serbie concernant divers groupes criminels ethniques qui enlèvent des enfants dans des régions instables d'Europe, par exemple des enfants serbes du Kosovo et de Bosnie-Herzégovine. Dans les années 2010, le problème s'est aggravé en raison de l'afflux de réfugiés d'Afrique et du Moyen-Orient. Depuis 2014, l'Ukraine est devenue l'une des principales sources de "matériel humain" pour le marché humain illégal en Europe et aux États-Unis. Le conflit militaire actuel en Ukraine est un cadeau pour les trafiquants d'êtres humains. Le marché des organes humains et de la prostitution des mineurs dans les pays occidentaux est estimé à plusieurs milliards de dollars. L'instabilité en Europe de l'Est contribue aux pires aspects de l'activité criminelle.
  • SF 3.04.22 Des soldats ukrainiens ont exécuté des prisonniers de guerre russes (Photos)

     Le 3 avril, les médias ukrainiens ont exulté  avec de prétendues victoires ukrainiennes dans la région de Kiev, quittée par les forces russes il y a quelques jours. Diverses vidéos truquées ont été réalisées dans la région dans le but d'accuser les soldats russes de crimes de guerre. L'hystérie artificielle soutenue par des vidéos mises en scène de manière non professionnelle vise à "équilibrer" les nombreux rapports de crimes de guerre des nazis ukrainiens confirmés par des civils de Mariupol, du Donbass et d'autres régions déchirées par la guerre. Le 3 avril, une nouvelle photo horrible a été partagée par les Ukrainiens sur les médias sociaux. Selon les médias ukrainiens, elle montre les soldats russes "blessés" qui ont été abandonnés par leurs camarades. Cette photo a été présentée comme une nouvelle victoire des FAU. Cependant, on voit clairement que les militaires ne sont pas blessés, mais tués. Leurs armes sont également posées à côté des cadavres sur le sol. Les nationalistes ukrainiens n'ont pas mis longtemps à révéler la vérité. D'autres photos prises sur place et partagées sur les médias sociaux ont confirmé qu'un autre groupe de militaires russes avait été exécuté par les forces armées ukrainiennes. Après que des vidéos choquantes de tortures et de meurtres de prisonniers de guerre russes par des militants nationalistes ukrainiens ont choqué la communauté internationale et ébranlé les "partenaires occidentaux" de Kiev qui soutenaient ces meurtres par les armes, Kiev a pris des mesures sans précédent. Il a été rappelé aux combattants nazis et aux "soldats ukrainiens instables" qu'ils sont membres de "l'armée ukrainienne, c'est-à-dire européenne" et il a été interdit de "partager en ligne des vidéos de meurtres de prisonniers de guerre russes", mais pas de commettre des crimes ! Plus tôt, le 1er avril, le service de renseignement extérieur de la Fédération de Russie a affirmé que l'Ukraine avait informé Londres qu'elle n'avait pas l'intention de respecter la Convention de Genève sur le traitement des prisonniers de guerre. De nouveaux cas confirment les faits.

FlashinfoJ40. Mariupol: nouveau maire autoproclamé pro-russe/+30 enfants ukrainiens disparu en Espagne/+1400 civils tués depuis le début/ Des FAR ont exécuté des prisonniers de guerre russes/ Kharkiv:+7 personnes tuées dans une frappe russe hier/Butcha: Londres a refusé la réunion du Conseil de sécurité de l'ONU/France: expulsion de diplomates russes/ Mykolaïv:+11 civils tué ds bombardement russe
Situation militaire dans l'Êst de l'Ukraine au 3.04.22

Situation militaire dans l'Êst de l'Ukraine au 3.04.22

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