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Flash info J62. Moscou évoque le risque de guerre nucléaire/ US réunissent alliés pour armer Kiev/ Explosions en Transnitrie-Moldavie: un nouveau front?/ Austin déclare que le véritable objectif des US est de vaincre la Russie/ Rencontre Lavrov-Guterres/ Azovstal: Poutine accepte aide ONU pour évacuation civils

par SLT 26 Avril 2022, 20:25 Flash Ukraine Guerre Russie USA OTAN UE Articles de Sam La Touch

--- Le flash info a été bloqué à plusieurs reprises notamment mardi 1.03.22 où les infos après 14h ont été impubliables.  Néanmoins depuis lors, nous n'avons pas eu de souci. Nous espérons pouvoir continuer à alimenter ce flash sur la guerre en Ukraine avec des sources d'information diversifiées atlantistes, russes et autres... A noter que depuis le 3.03.22, nous n'avons plus accès à RT ou TASS ou bien à Sputniknews. Nous avions perdu SF le 10.03.22 que nous avons finalement retrouvé...En effet, le 9 mars, l'hébergeur allemand Hetzner a retiré SF de son réseau et a suspendu leur IP.

Note de SLT : L'objectif de ces flash infos est de rapporter les évènements se déroulant en Ukraine depuis l'attaque russe du 24.02.22 en s'appuyant sur plusieurs sources atlantistes et russes sans prendre parti. Nous ne manquerons pas non plus de vous donner des infos provenant de sources médiatiques de pays externes au conflit OTAN/Russie. Côté atlantiste nous avons l'AFP, Reuters, CNN, Le Monde, The Guardian ..., côté russe ou pro-russe nous avons RT, Sputniknews,TASS,  Southfront... En sachant que chaque camp tend à dérouler la propagande de ses autorités avec ses lots de Fake news ou de fausses informations, c'est selon. A vous de vous faire une opinion et prudence ! Toutefois, il va être de plus en plus difficile de donner les infos en provenance du côté russe car l'UE a annoncé le 27.02.22 qu'elle bannissait RT et Sputniknews. Le récit narratif sur la guerre en Ukraine dans l'UE risque d'être perçue en Europe sous le prisme des atlantistes et de leur propagande. A suivre...
A ce sujet, lire :

  • Le Monde 21h32 Gazprom suspendra également dès demain ses livraisons de gaz à la Bulgarie, annonce Sofia. Le groupe rus se Gazprom va suspendre à partir de demain ses livraisons de gaz vers la Bulgarie, a annnoncé ce soir le gouvernement bulgare, évoquant son refus de se plier aux nouvelles exigences du fournisseur. « Aujourd’hui, Bulgargas EAD a reçu la notification que les livraisons de Gazprom Export seront suspendues à partir du 27 avril 2022 », a déclaré précisément le ministère de l’Economie dans un communiqué, alors que ce pays des Balkans est fortement dépendant du gaz russe.
  • Arrêt sur images 26.04.22Tchernobyl : L'AFP "tue" une dépêche erronée sur le niveau des radiations L'agence de presse regrette une "erreur de transcription"- Le niveau de radiations à Tchernobyl est-il "anormal" ? C'est ce qu'a cru entendre un journaliste de l'AFP ce 26 avril lors d'une conférence de presse. C'est "normal" qu'il fallait en fait entendre... La dépêche, déjà envoyée, a dû être annulée par l'agence de presse. Voici le parcours en cascade de cette fausse info, de l'agence de presse française aux médias francophones et internationaux....
  • AFP 26.04.22 21h03 Le point sur l'invasion russe de l'Ukraine Situation sur le terrain, réactions internationales, sanctions : le point sur l'invasion de l'Ukraine par la Russie. - Une réunion mensuelle pour Kiev - Les Etats-Unis et leur alliés se réuniront tous les mois pour examiner comment renforcer les capacités militaires de l'Ukraine face à la Russie, a annoncé mardi le ministre américain de la Défense Lloyd Austin après une rencontre avec des représentants d'une quarantaine de pays en Allemagne...
  • The Guardian 20h00 Résumé.  Il est 21 heures à Kiev. Voici où nous en sommes :
    • Le ministère russe de la défense a mis en garde contre une "réponse proportionnelle" immédiate si la Grande-Bretagne poursuit ses "provocations directes" à l'égard du régime de Kiev, après que le ministre britannique des forces armées, James Heappey, a qualifié de "tout à fait légitimes" les frappes ukrainiennes sur le sol russe qui touchent les approvisionnements et perturbent la logistique.   
    • Un ministre russe a refusé d'exclure que la Transnistrie, région séparatiste de Moldavie, soit entraînée dans la guerre en Ukraine, dans le cadre d'une escalade potentielle du conflit vers un autre pays européen. Le vice-ministre des affaires étrangères, Andrey Rudenko, a déclaré mardi que Moscou "était préoccupé" par la série d'explosions récentes en Transnistrie, affirmant que la Russie "aimerait éviter un scénario" dans lequel la Transnistrie serait entraînée dans la guerre.   
    • Le secrétaire général des Nations unies, António Guterres, s'est rendu à Moscou pour tenter de placer l'ONU au cœur des efforts de médiation ukrainiens. Lors d'une conférence de presse conjointe avec le ministre russe des Affaires étrangères, António Guterres a déclaré que l'ONU était "prête à mobiliser pleinement ses ressources humaines et logistiques pour aider à sauver des vies à Marioupol". Le vice-premier ministre ukrainien, Iryna Vereschuk, a déclaré que l'ONU n'avait "aucun intérêt" s'il n'y avait pas de véritable corridor humanitaire à partir de Mariupol.  
    • Lors de sa conférence de presse commune avec António Guterres, le ministre russe des Affaires étrangères, Sergei Lavrov, a déclaré que la Russie avait rejeté la proposition de l'Ukraine d'organiser des pourparlers de paix dans la ville portuaire de Mariupol. M. Lavrov a déclaré qu'il était trop tôt pour parler de l'identité du médiateur dans les négociations, mais il a affirmé que Moscou s'engageait à trouver une solution diplomatique par le biais de pourparlers sur l'Ukraine.   
    • António Guterres, secrétaire général des Nations unies, a ensuite rencontré le dirigeant russe, Vladimir Poutine, qui a qualifié la situation à Marioupol de "tragique" et de "compliquée". Moscou et Kiev poursuivent leurs discussions dans un format en ligne, a déclaré M. Poutine, ajoutant qu'il espère que les pourparlers aboutiront à un résultat positif.   
    • Le gouvernement polonais a été informé que l'approvisionnement en gaz du pays en provenance de Russie serait interrompu à partir de mercredi, suite au refus de Varsovie de payer son fournisseur, Gazprom, en roubles.   
    • La décision d'arrêter l'approvisionnement a également suivi l'annonce faite plus tôt par la Pologne qu'elle imposait des sanctions à 50 entités et individus, dont la plus grande compagnie gazière russe.   
    • Le chef de l'organisme de surveillance atomique de l'ONU a condamné l'occupation russe de la centrale nucléaire de Tchernobyl, qualifiant la situation d'"absolument anormale et très, très dangereuse". Le directeur général de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), Rafael Grossi, dirige une mission d'experts à Tchernobyl pour "livrer des équipements, effectuer des évaluations radiologiques et restaurer les systèmes de contrôle des garanties", a déclaré l'AIEA.   
    • Les États-Unis ont promis de remuer "ciel et terre" pour aider l'Ukraine à gagner sa bataille contre l'invasion de la Russie, alors qu'ils ont organisé des discussions sur la défense en Allemagne avec des alliés de 40 pays. La réunion est dirigée par le secrétaire américain à la défense, Lloyd Austin, après sa rencontre avec le président ukrainien, Volodymyr Zelenskiy, dimanche.   
    • L'Allemagne va autoriser la livraison de systèmes anti-aériens à l'Ukraine, a déclaré la ministre allemande de la défense, Christine Lambrecht. Mme Lambrecht a déclaré que le gouvernement avait accepté de signer la livraison d'environ 50 systèmes d'armes antiaériennes Gepard. La Suisse a déclaré qu'elle avait empêché l'Allemagne d'envoyer à l'Ukraine des munitions de fabrication suisse utilisées dans les systèmes antiaériens Gepard.
  • Le Monde 19h32 La France soutient la Moldavie face « aux risques de déstabilisation ». Après une série d’explosions dans la région séparatiste prorusse de Transnistrie, le ministre des affaires étrangères français, Jean-Yves Le Drian, a « fait part à son homologue moldave de sa préoccupation et de sa vigilance », rapporte le Quai d’Orsay dans un communiqué. M. Le Drian a par ailleurs réitéré « le plein soutien de la France à la stabilité, à la souveraineté et à l’intégrité territoriale de la Moldavie face aux risques de déstabilisation dont elle peut être l’objet ».
  • Le Monde 19h18 L’ONU adopte l’obligation de justifier tout veto sur fond de blocage russe sur l’Ukraine  L’Assemblée générale des Nations unies a adopté mardi par consensus une résolution obligeant les cinq membres permanents du Conseil de sécurité à justifier leur recours au veto, une réforme rare saluée par des applaudissements et qui a été relancée par l’invasion de l’Ukraine par la Russie. Ciblant directement les Etats-Unis, la Chine, la Russie, la France et le Royaume-Uni, seuls détenteurs du veto, la mesure proposée par le Liechtenstein a vocation à leur « faire payer un prix politique plus élevé » lorsqu’ils y auront recours, résume un ambassadeur d’un pays n’en disposant pas et demandant à garder l’anonymat. La réforme poussera-t-elle les cinq membres permanents à moins utiliser le veto prévu par la Charte des Nations unies ? Ou aura-t-elle un effet incitatif à en provoquer sciemment davantage contre des textes d’emblée inacceptables ? L’avenir le dira. Certains pays pourraient pousser les Etats-Unis à utiliser leur veto sur des textes liés à Israël. De l’autre côté, Washington pourrait mettre au vote au Conseil de sécurité un projet de résolution renforçant les sanctions contre la Corée du Nord, en discussion depuis plusieurs semaines maintenant, en sachant pertinemment que Moscou et Pékin y mettraient leur veto. Avancée pour la première fois il y a deux ans et demi, la réforme prévoit une convocation de l’Assemblée générale « dans les dix jours ouvrables suivant l’opposition d’un ou plusieurs membres permanents du Conseil de sécurité, pour tenir un débat sur la situation dans laquelle le veto a été exprimé ». Près d’une centaine de pays avaient rejoint le Liechtenstein pour coparrainer ce texte, dont les Etats-Unis, le Royaume-Uni, la France, ainsi que l’ensemble des pays membres de l’Union européenne. La Russie et la Chine ne se sont pas jointes aux parrains du texte. Il va « diviser » encore davantage l’ONU, avait pesté avant l’adoption un diplomate russe s’exprimant sous couvert d’anonymat.
  • Le Monde 18h00 Le point sur la situation à 18 heures
    • Les Etats-Unis sont prêts à « remuer ciel et terre » pour faire gagner l’Ukraine contre la Russie, a affirmé mardi le chef du Pentagone, lors d’une réunion avec ses homologues alliés en Allemagne. « L’Ukraine croit clairement qu’elle peut gagner et c’est aussi le cas de tout le monde ici », a déclaré le secrétaire américain à la défense, Lloyd Austin, à l’ouverture de cette réunion organisée par Washington sur la base aérienne américaine de Ramstein, afin d’accélérer les livraisons d’équipements militaires, que l’Ukraine réclame pour repousser l’invasion russe lancée le 24 février.
    • Le secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, a plaidé mardi, lors de son premier déplacement à Moscou depuis le début de l’offensive russe, pour un cessez-le-feu en Ukraine « dans les plus brefs délais ». Il a également appelé Kiev et Moscou à travailler ensemble, avec l’ONU, pour ouvrir des couloirs humanitaires. Et il s’est dit aussi « préoccupé par les rapports répétés faisant état de possibles crimes de guerre » en Ukraine, estimant qu’ils « nécessitent une enquête indépendante ».
    • La Russie est « prête à coopérer » avec les Nations unies pour « soulager » les populations civiles en Ukraine, a assuré mardi le chef de la diplomatie russe, Sergueï Lavrov. De son côté, le président russe, Vladimir Poutine, a discuté avec son homologue turc, Recep Tayyip Erdogan, de la situation « humanitaire » en Ukraine, lors d’un entretien téléphonique, a rapporté le Kremlin.
    • Le niveau de radioactivité dans la centrale nucléaire de Tchernobyl en Ukraine est « dans la normale », a estimé mardi le chef de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), Rafael Grossi, en visite sur le site qui avait été occupé par l’armée russe entre le 24 février et la fin de mars.
    • La présidente de la Moldavie a réuni mardi son conseil de sécurité nationale après une série d’explosions dans la région séparatiste prorusse de Transnistrie, qui fait craindre un débordement du conflit en Ukraine dans ce petit pays d’Europe orientale.
    • Au moins neuf civils ont péri mardi dans des bombardements de l’armée russe dans l’est et le sud de l’Ukraine, selon des bilans diffusés par les autorités locales.
    • Près de 5,3 millions de réfugiés ukrainiens ont fui leur pays depuis l’invasion par les troupes russes, il y a deux mois, et l’ONU s’attend à ce qu’il y en ait 3 millions de plus d’ici à la fin de l’année.
  • Reuters 16h21 L'Ukraine se dirige vers une partition, dit un proche de Poutine Le secrétaire du Conseil de sécurité de Russie, organe présidé par Vladimir Poutine, a déclaré mardi que la politique menée par les pays occidentaux et celle du gouvernement de Kyiv allaient conduire à une partition de l'Ukraine. Dans une interview publiée par le journal Rossiiskaïa Gazeta, Nikolaï Patrouchev affirme que les Etats-Unis s'efforcent depuis des années d'attiser au sein de la population ukrainienne une haine envers tout ce qui peut être rattaché à la Russie...
  • Reuters 16h10 Sur le front est, le moral des troupes ukrainiennes se dégrade Dans village de Barinkove, sur le front est de l’Ukraine, cible de missiles balistiques de courte portée de fabrication soviétique, le moral des habitants ainsi que des troupes ukrainiennes se dégrade.
     
  • SF 26.04.22 Les frappes sur les chemins de fer ukrainiens menacent les approvisionnements des forces armées. Le 26 avril, un missile de croisière russe a frappé un pont ferroviaire sur le fleuve Dniester dans le village de Zatoka, dans la région d'Odessa. La voie ferrée a été endommagée par la frappe. Ce pont est le seul qui relie Odessa à la partie occidentale de la région et à la Roumanie. La destruction du pont compliquera considérablement tout transfert d'armes de l'Europe vers l'Ukraine, ainsi qu'une éventuelle avancée des troupes étrangères dans la région.vDes attaques sur les chemins de fer ukrainiens menacent les approvisionnements militaires des forces armées Des attaques sur les chemins de fer ukrainiens menacent les approvisionnements militaires des forces armées Des attaques sur les chemins de fer ukrainiens menacent les approvisionnements militaires des forces armées.  Le 25 avril, 5 nœuds ferroviaires ukrainiens ont été simultanément touchés par des missiles russes. Des missiles russes de haute précision auraient touché huit sous-stations ferroviaires en Ukraine occidentale. En conséquence, les installations ferroviaires de Krasnoe, Zdolbunov, Zhmerinka, Berdichev, Kovel, Korosten, Kazatin et Fastov ont été détruites. Les coups ont été portés aux sous-stations, sans lesquelles les trains électriques ne peuvent pas circuler. La communication ferroviaire dans la partie occidentale de l'Ukraine a été paralysée. Environ deux douzaines de trains de passagers ont été retardés. À l'heure du déjeuner, les services des chemins de fer ukrainiens ont indiqué qu'ils avaient réussi à localiser le problème. Cependant, le trafic de marchandises était toujours arrêté. La grande majorité des transports en Ukraine sont effectués par traction électrique. En 2020, on comptait plus de 1 600 locomotives électriques en Ukraine, et seulement 300 locomotives diesel. Aujourd'hui, l'essentiel du transport militaire des forces armées ukrainiennes s'effectue par voie ferroviaire, beaucoup plus rapide et moins cher que le transport mobile, d'autant plus que le diesel manque dans tout le pays. En paralysant le transport ferroviaire ukrainien, le commandement militaire russe réalise la tâche principale de paralyser le transfert stratégique des Forces armées d'Ukraine, ce qui est extrêmement important compte tenu de l'escalade dans le Donbas et dans le sud de l'Ukraine. Si les frappes sur les sous-stations électriques se poursuivent, 1 600 locomotives électriques ukrainiennes ne pourront plus circuler. Elles ne pourront être remplacées que par les 300 locomotives restantes. Dans le même temps, une partie du transport ferroviaire a déjà été mise hors service par les troupes russes dans les territoires qu'elles contrôlent, notamment dans les régions du Donbass, de Kherson, de Kharkiv et de Tchernihiv. En outre, les partenaires occidentaux de Kiev ne peuvent pas non plus aider à la fourniture de trains européens, car l'écartement des rails en Ukraine diffère de celui de l'Europe. Si les missiles russes continuent de frapper les sous-stations des chemins de fer ukrainiens, cela pourra réduire considérablement l'approvisionnement en armes et en effectifs des forces armées ukrainiennes sur la ligne de front.
Flash info J62. Moscou évoque le risque de guerre nucléaire/ US réunissent alliés pour armer Kiev/ Explosions en Transnitrie-Moldavie: un nouveau front?/ Austin déclare que le véritable objectif des US est de vaincre la Russie/ Rencontre Lavrov-Guterres/ Azovstal: Poutine accepte aide ONU pour évacuation civils
  • Le Monde 26.04.22 14h56 Un niveau de radioactivité « anormal » à Tchernobyl Le niveau de radioactivité sur la centrale nucléaire de Tchernobyl, situé à 150 kilomètres au nord de Kiev, en Ukraine est « anormal », a estimé mardi le chef de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA). « Les niveaux (de radioactivité) ont augmenté à certains moments quand les Russes amenaient dans la zone de l’équipement lourd et quand ils sont partis », a-t-il ajouté, soulignant que l’AIEA suivait la situation « quotidiennement ».
  • Stijn Mitzer, @oryxspioenkop, effectue une veille des pertes UKR et RU, images à l'appui pour confirmer & en fonction de ce qui est disponible, ce qui ne reflète donc pas les taux d'échange/les pertes réelles.
Flash info J62. Moscou évoque le risque de guerre nucléaire/ US réunissent alliés pour armer Kiev/ Explosions en Transnitrie-Moldavie: un nouveau front?/ Austin déclare que le véritable objectif des US est de vaincre la Russie/ Rencontre Lavrov-Guterres/ Azovstal: Poutine accepte aide ONU pour évacuation civils
  • SF 26.04.22 La Transnistrie en attente de guerre Une série d'attaques terroristes a frappé la région de Transnistrie, officiellement connue sous le nom de République moldave de Pridnestrovie (PMR), qui fait frontière avec l'Ukraine. Le président de la Transnistrie, Vadim Krasnoselsky, a placé la région en état d'alerte terroriste le 26 avril. Le président Sandu a convoqué une réunion d'urgence du Conseil de sécurité. Deux explosions ont secoué un centre de diffusion dans le village de Mayak le 26 avril, selon le ministère de l'Intérieur de la région. Personne n'a été blessé, mais les deux plus grandes antennes, qui transmettaient les stations de radio russes, ont été désactivées. Le 25 avril, le bâtiment du ministère de la Sécurité nationale dans la capitale de la région, Tiraspol, a été bombardé par des grenades propulsées par fusée. Aucune victime n'a été signalée. La troisième attaque a touché une unité militaire près du village de Parkany. Aucun détail sur l'incident n'a été révélé. La décision a été prise d'introduire le niveau "rouge" de danger terroriste dans le pays pour 15 jours, ce qui prévoit l'adoption de mesures de sécurité supplémentaires. La région de Transnistrie est dans un état de conflit gelé depuis des décennies. La PMR a déclaré sa séparation de la Moldavie en 1990. Jusqu'en 1992, il y a eu des combats, qui ont pris fin avec la signature de l'accord "Sur les principes du règlement du conflit armé dans la région Pridnestrovienne de la République de Moldavie". Depuis la fin de la phase active du conflit en Transnistrie, qui a débuté lors de l'effondrement de l'Union soviétique, des forces de maintien de la paix russes ont été déployées dans la république. La Transnistrie est frontalière de l'Ukraine, où l'opération militaire spéciale russe se poursuit. D'une part, l'opération d'assaut russe à Odessa n'a pas encore commencé. Les forces armées de la Fédération de Russie n'ont pas non plus remporté de succès significatifs dans la région de Nikolaev.  D'autre part, le gouvernement Sandu en Moldavie, avec l'influence active de la Roumanie et de la Pologne, montre qu'il est prêt à envisager un scénario militaire pour résoudre la question de la Transnistrie. La semaine dernière, des rapports ont fait état du redéploiement de grandes unités de l'armée polonaise en Roumanie en vue d'activités conjointes ultérieures, telles que des exercices sur le territoire de la Moldavie. Des sources russes ont rapporté que les forces armées polonaises ont commencé à établir un groupe d'attaque sur le territoire de la Roumanie. La liste et la composition des unités spécifiques déplacées en Roumanie ne sont pas révélées. Le contingent total est estimé à 8 000 militaires. Dans un avenir proche, il est prévu qu'un contingent consolidé entre sur le territoire moldave sous un prétexte plausible, tel qu'une opération humanitaire ou une demande officielle du gouvernement. L'une des options de développement du plan des dirigeants polonais consiste à créer une tête de pont avancée sur le territoire moldave pour prendre rapidement le contrôle de la Transnistrie et déployer un "contingent de maintien de la paix" sur le territoire de la région d'Odessa. Pour sa part, le commandement d'Odessa des forces armées ukrainiennes est prêt à soutenir une éventuelle invasion moldavo-polonaise-roumaine de la Transnistrie sous couvert d'une opération humanitaire. Cela causerait un énorme préjudice de réputation à la Fédération de Russie et détournerait également les forces russes d'autres lignes de front, par exemple de la direction de Mykolaiv. Le groupement des forces armées de la Fédération de Russie dans les régions de Nikolaev-Krivoy Rog ne dépasse pas 30 000 militaires. L'effectif du groupe opérationnel des troupes russes en Transnistrie peut atteindre 1 700 militaires, mais il est plus probable qu'il soit de 1 300. Les forces armées de Transnistrie comptent jusqu'à 7 500 hommes, tandis que les forces armées de Moldavie comptent jusqu'à 5 200 hommes, avec une réserve de 60 000 personnes. Le nombre de membres des forces armées roumaines s'élève à 70 000. Un groupe conjoint de 22 000 à 25 000 soldats polonais, roumains et moldaves serait suffisant pour mener à bien une telle opération dans la région. En cas de conflit, le principal travail de combat incombera aux unités d'assaut roumaines et polonaises. On estime que 6 000 soldats roumains et 3 000 polonais des forces de réaction rapide seraient suffisants. Des affrontements militaires des forces armées de la Fédération de Russie avec les forces armées de la Pologne et de la Roumanie sur le territoire d'un État non membre de l'OTAN constituent le scénario parfait pour Kiev et Washington. En cas d'ouverture d'un autre front dans le pays voisin, il faut s'attendre à une contre-offensive de l'AFU dans le sud de l'Ukraine et à une défense active dans l'est.  C'est le principal scénario dans la région, qui suit également les développements politiques internationaux en cours. La préparation et la composition du sixième paquet de sanctions de l'UE sont associées aux événements à venir en Transnistrie. Le scénario devrait se dérouler du 12 au 25 mai 2022, ou du 15 au 25 juin, en fonction des actions et des succès de la Fédération de Russie dans la région du Donbass.
    Ainsi, en Transnistrie, la situation s'envenime :
    • "les forces russes de maintien de la paix surveillent la situation dans la zone de sécurité", c'est-à-dire la zone démilitarisée de séparation des forces armées de la Moldavie et de la République moldave pridnestrovienne, a affirmé le coprésident de la Commission mixte de contrôle.   
    • Le défilé du jour de la Victoire, le 9 mai en Transnistrie, a été annulé. Seule la cérémonie de dépôt de fleurs aura lieu.   
    • Les établissements d'enseignement de la capitale fonctionneront à distance jusqu'à la fin de l'année scolaire.   
    • Les mesures de sécurité aux frontières ont été renforcées, notamment le régime de vérification renforcée des documents.   
    • Des barrages routiers seront mis en place à l'entrée des villes de Transnistrie. L'inspection des véhicules et des citoyens pendant la journée sera sélective, la nuit, les mesures de contrôle concerneront toute personne entrant dans les localités. Les forces de l'ordre ont été transférées à un régime de service renforcé.

      En Moldavie, la situation n'est pas calme non plus. Des signes annoncent les prochaines opérations militaires. Sandu a convoqué une réunion d'urgence du Conseil suprême de sécurité. Cet organe n'a pas de pouvoir réel, mais sert de couverture à la formalisation juridique des décisions prises par les acteurs politiques. Le Service d'information et de sécurité a appelé tout le monde au calme, ce qui est déjà un signe dangereux. La Moldavie, en effet, n'est pas moins sous contrôle extérieur que l'Ukraine. En même temps, la majorité de la population de la république ne soutient pas le début des hostilités en Transnistrie. De plus, les forces armées de Moldavie n'ont pas la puissance nécessaire. Par conséquent, une attaque n'est possible que par les forces des unités polono-roumaines d'une part et par les FAU d'Odessa d'autre part. Un nouveau point chaud de la guerre peut modifier considérablement la nature et l'ampleur du conflit en Europe de l'Est. L'escalade de la situation en Transnistrie correspond à la vision et aux déclarations de Washington selon lesquelles les États-Unis changent de cap vis-à-vis de la Russie, passant du désir d'épuiser Moscou sur le plan économique à une victoire militaire directe et complète sur les Russes sur le champ de bataille. C'est ce qu'a récemment annoncé Washington après une rencontre avec Zelensky à Kiev.
Flash info J62. Moscou évoque le risque de guerre nucléaire/ US réunissent alliés pour armer Kiev/ Explosions en Transnitrie-Moldavie: un nouveau front?/ Austin déclare que le véritable objectif des US est de vaincre la Russie/ Rencontre Lavrov-Guterres/ Azovstal: Poutine accepte aide ONU pour évacuation civils
  • The Guardian 14h35 La Russie rejette la proposition de l'Ukraine d'organiser des pourparlers de paix à Marioupol.  Le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, a déclaré que la Russie avait rejeté la proposition de l'Ukraine d'organiser des pourparlers de paix dans la ville portuaire de Marioupol. Interrogé sur la perspective de pourparlers, M. Lavrov a déclaré qu'il s'agissait d'un "geste théâtral" de la part de l'Ukraine, qui "voulait probablement une autre scène déchirante". Il a réitéré l'affirmation de la Russie selon laquelle elle attend toujours une réponse de Volodymyr Zelenskiy à sa proposition écrite. Le président ukrainien a déclaré qu'il n'avait pas vu ou entendu parler du document que le Kremlin a déclaré avoir envoyé. Lavrov a ajouté :  Si nous parlons d'attitudes sérieuses pour travailler dans le cadre des pourparlers, ils feraient mieux de répondre à nos propositions le plus rapidement possible. M. Lavrov a déclaré qu'il était trop tôt pour parler de qui servirait de médiateur dans d'éventuelles négociations, mais il a ajouté que Moscou était attaché à une solution diplomatique par le biais de pourparlers sur l'Ukraine.
  • SF 26.04.22 Lloyd Austin déclare que le véritable objectif des États-Unis est de vaincre la Russie sur le champ de bataille - CNN. Après la visite en Ukraine du secrétaire d'État et du secrétaire à la Défense des États-Unis le 24 avril, CNN a rapporté le changement de stratégie de Biden vis-à-vis de la Russie. Les responsables étatsuniens ont également annoncé une nouvelle assistance militaire et le retour des diplomates en Ukraine. Le secrétaire à la défense, Lloyd Austin, a déclaré aux journalistes, après un voyage à Kiev, que "nous voulons voir la Russie affaiblie au point qu'elle ne puisse plus faire le genre de choses qu'elle a faites en envahissant l'Ukraine." Le nouvel objectif étatsunien est "de vaincre la Russie sur le champ de bataille de manière si décisive qu'elle s'abstiendra de toute nouvelle attaque." Un représentant du Conseil national de sécurité a équilibré son discours en affirmant que les efforts étatsuniens "visent l'industrie de la défense russe afin de saper la puissance économique et militaire de la Russie." Ce changement n'est qu'un changement de la rhétorique étatsunienne. Les responsables étatsuniens n'auraient pas parlé de l'objectif réel d'affaiblir la Russie sur le champ de bataille et, selon CNN, ils auraient clairement indiqué qu'un règlement pacifique pourrait être trouvé. Aujourd'hui, Washington déclare officiellement que la raison du soutien militaire apporté à Kiev depuis des années est d'infliger des dommages militaires aussi importants pour "arrêter Moscou à jamais". Les responsables de l'administration Biden sont optimistes et pensent que cet objectif est réalisable, ont déclaré des sources à CNN. En fait, il n'y a pas de véritable changement dans la politique étatsuniennne aujourd'hui, Washington n'hésite tout simplement pas à déclarer des objectifs réels, s'efforçant de jouer le rôle de sauveur mondial, puisque la population de la soi-disant "communauté internationale" est prête à accepter la rhétorique ouvertement belliqueuse des États-Unis, surtout après le massacre mis en scène de Buca. La tactique de Washington n'a pas changé depuis des années. Le régime de Kiev et l'Occident déclarent ouvertement qu'ils ne sont pas disposés à mettre fin au conflit par des moyens diplomatiques et qu'ils ont pour objectif de prolonger la guerre le plus longtemps possible, en payant de leur vie des soldats et des civils ukrainiens. Les récentes déclarations de Lloyd Austin démontrent clairement la politique étatsunienne qui pousse l'Europe vers la troisième guerre mondiale.
  • AFP 07h27 Le point sur l'invasion russe de l'Ukraine Situation sur le terrain, réactions internationales, sanctions: le point sur l'invasion de l'Ukraine par la Russie. - Lavrov met en garde contre la 3e guerre mondiale - Le chef de la diplomatie russe, Sergueï Lavrov, a mis en garde lundi les Occidentaux contre le danger "réel" d'une troisième guerre mondiale
     
  • Reuters 07h20 Moscou appelle l'Occident à ne pas sous-estimer le risque de guerre nucléaire
    Le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, a prévenu lundi l'Occident de ne pas sous-estimer le risque élevé d'une guerre nucléaire à propos de l'Ukraine, disant que l'Otan était considérée comme engagée "en substance" dans une guerre par procuration avec la Russie en fournissant des armes à Kyiv. S'exprimant dans un long entretien à la télévision publique, le chef de la diplomatie russe a aussi déclaré que le coeur d'un éventuel accord mettant fin au conflit en Ukraine dépendrait en grande partie de la situation militaire sur le terrain...
     
  • AFP 05h25 Washington réunit ses alliés pour armer l'Ukraine, Moscou met en garde contre une guerre mondiale
  • Le Monde 04h32 « Moscou sent la défaite venir en Ukraine », déclare le ministre ukrainien des affaires étrangères  Dans un message publié sur Twitter, le ministre ukrainien des affaires étrangères, Dmytro Kuleba, interprète les déclarations du chef de la diplomatie russe sur les risques d’une troisième guerre mondiale comme un aveu de défaite. La Russie perd son dernier espoir de dissuader le monde de soutenir l’Ukraine. Ainsi parle-t-on d’un danger « réel » de la troisième guerre mondiale. Cela signifie seulement que Moscou sent la défaite venir en Ukraine. Par conséquent, le monde doit redoubler d’efforts pour soutenir l’Ukraine afin que nous l’emportions et que nous préservions la sécurité européenne et mondiale.
  • SF 26.04.22 Un officier des FAU a commis des meurtres et des violences sexuelles à l'encontre de civils détenus  Les organes d'enquête militaire du Comité d'enquête de la Fédération de Russie ont ouvert une procédure pénale à l'encontre du lieutenant Sergei Batynsky, commandant adjoint de la compagnie d'appui au tir pour les travaux d'éducation de l'unité A-2777 de la 36e brigade de marine des forces armées ukrainiennes, soupçonné d'avoir commis un crime au titre de la première partie de l'article 356 du Code pénal russe (mauvais traitements infligés à des civils). Il a été établi à titre préliminaire qu'au début du mois d'avril de cette année, dans la ville de Mariupol, des militaires ukrainiens de la Brigade des Marines susmentionnée ont arrêté deux civils qui passaient à vélo devant un barrage routier. Les civils se sont identifiés comme étant mari et femme. Bien qu'ils aient des passeports ukrainiens avec un tampon d'enregistrement à Mariupol, il a été décidé de les placer au sous-sol. Plus tard, après avoir bu de l'alcool, Batynsky a fait sortir la femme détenue et a menacé de la tuer, commettant sur elle des actes sexuels violents. Lorsque le mari de la femme détenue au sous-sol a tenté de l'arrêter, Batynsky a tiré et tué l'homme. Au cours de l'enquête préliminaire, Batynskyy a avoué ce qu'il avait fait. En outre, les militaires ukrainiens qui ont confirmé les faits ci-dessus ont été identifiés et interrogés. Dans la vidéo ci-dessous, Batynsky fait des aveux.  "Le 05.04.2022, j'ai appris que dans la zone de contrôle du poste de contrôle, deux civils étaient détenus : un homme et une femme. Vraisemblablement un mari et une femme, qui ont été placés dans le sous-sol. Lors de la vérification des documents, il a été établi qu'ils étaient originaires de la ville de Mariupol et citoyens de l'Ukraine.  Le 06.04.2022, pendant mon service, j'ai consommé de l'alcool, après quoi j'ai eu envie d'avoir des rapports sexuels avec la femme détenue. De plus, étant à nouveau ivre et menaçant avec l'arme que j'avais, un pistolet Makarov, contre sa volonté, j'ai eu des rapports sexuels avec la femme détenue devant son mari, qui a commencé à exprimer son mécontentement. J'ai donc pointé l'arme sur lui et j'ai tiré sur lui, le tuant ainsi. Je me repens sincèrement d'avoir violé une femme et tué un homme".

Les organes d'enquête militaire du Comité d'enquête de la Fédération de Russie ont ouvert une procédure pénale à l'encontre du lieutenant Sergei Batynsky, commandant adjoint de la compagnie d'appui au tir pour les travaux d'éducation de l'unité A-2777 de la 36e brigade de marine des forces armées ukrainiennes, soupçonné d'avoir commis un crime au titre de la première partie de l'article 356 du Code pénal russe (mauvais traitements infligés à des civils).

Il a été établi à titre préliminaire qu'au début du mois d'avril de cette année, dans la ville de Mariupol, des militaires ukrainiens de la Brigade des Marines susmentionnée ont arrêté deux civils qui passaient à vélo devant un barrage routier. Les civils se sont identifiés comme étant mari et femme. Bien qu'ils aient des passeports ukrainiens avec un tampon d'enregistrement à Mariupol, il a été décidé de les placer au sous-sol.

Plus tard, après avoir bu de l'alcool, Batynsky a fait sortir la femme détenue et a menacé de la tuer, commettant sur elle des actes sexuels violents. Lorsque le mari de la femme détenue au sous-sol a tenté de l'arrêter, Batynsky a tiré et tué l'homme.

Au cours de l'enquête préliminaire, Batynskyy a avoué ce qu'il avait fait. En outre, les militaires ukrainiens qui ont confirmé les faits ci-dessus ont été identifiés et interrogés.

Dans la vidéo ci-dessus, Batynsky fait des aveux.

    "Le 05.04.2022, j'ai appris que dans la zone de contrôle du poste de contrôle, deux civils étaient détenus : un homme et une femme. Vraisemblablement un mari et une femme, qui ont été placés dans le sous-sol. Lors de la vérification des documents, il a été établi qu'ils étaient originaires de la ville de Mariupol et citoyens de l'Ukraine.

    Le 06.04.2022, pendant mon service, j'ai consommé de l'alcool, après quoi j'ai eu envie d'avoir des rapports sexuels avec la femme détenue.

    De plus, étant à nouveau ivre et menaçant avec l'arme que j'avais, un pistolet Makarov, contre sa volonté, j'ai eu des rapports sexuels avec la femme détenue devant son mari, qui a commencé à exprimer son mécontentement. J'ai donc pointé l'arme sur lui et j'ai tiré sur lui, le tuant ainsi.

    Je me repens sincèrement d'avoir violé une femme et tué un homme".

  • SF 26.04.22 Situation militaire sur la guerre en Ukraine au 25.04.24   
    • Le 25 avril, la Russie a annoncé un cessez-le-feu humanitaire dans la région d'Azovstal pour permettre l'évacuation des civils, notamment des ouvriers, des femmes et des enfants ;
    • La Russie a attaqué les moyens militaires des FAU à Kremenchug avec un missile de haute précision ;   
    • La Russie a attaqué les actifs militaires des FAU à Barvenkovo avec un missile de haute précision ;   
    • La Russie a attaqué les actifs militaires des FAU à Novaya Dmitrovka avec un missile de haute précision.
Situation militaire en Ukraine au 25.04.22

Situation militaire en Ukraine au 25.04.22

  • South Front 25.04.22 Situation militaire dans l'Est de l'Ukraine au 25.04.22   
    • Le 24 avril, des unités de la RPL ont pris le contrôle du village de Novotashkovskoye ;
    • Le 25 avril, les forces russes ont pris le contrôle des villages de Rubtsi et de Yats'kivka ;
    • Le 25 avril, les forces russes ont pris le contrôle du village de Dibrovne
    • Le 25 avril, les affrontements entre l'AFU et les forces russes se sont poursuivis près de Liman et de Yampil.
 Situation militaire à l'Est de l'Ukraine au 25.04.22

Situation militaire à l'Est de l'Ukraine au 25.04.22

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