Ce jour, au flash de 19h, la radio France info est revenue sur le bombardement russe sur une gare ferroviaire dans la région de Dnipropetrovsk [est de l’Ukraine] et a fait oeuvre de journalisme, une denrée rare par temps de guerre. Il a été d'abord question du point de vue ukrainien déclarant 26 civils décédés puis de la version russe déclarant 200 soldats ukrainiens tués. Par la suite, les correspondants en Ukraine de France info ont déclaré qu'ils ne pouvaient accéder au site bouclé par un cordon de sécurité policière mais ont interviewé une habitante qui a déclaré que ce train transportait des soldats ukrainiens. Finalement, les déclarations contradictoires du maire en terme de nombre de tués par rapport à celles des autorités ukrainiennes ont été mis en paralléle. La vérité se situe dans un mixte de toutes ses déclarations.
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- Selon Amnesty International, les forces ukrainiennes ont mis des civils en danger en établissant des bases et en utilisant des systèmes d'armes dans des zones résidentielles peuplées, y compris dans des écoles et des hôpitaux tout en lançant des attaques à partir de ces zones
- Ukraine : Amnesty International a révélé la désagréable vérité (Modern Diplomacy.eu)