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Selon le Pr Denis Raincourt : Les données sur la mortalité toutes causes confondues suggèrent fortement l'absence d'épidémie virale en 2020 (Vidéo)

par Denis Raincourt 4 Septembre 2022, 07:07 Pandémie Coronavirus Fake news Allégations Denis Raincourts Articles de Sam La Touch

Les données sur la mortalité toutes causes confondues suggèrent fortement l'absence d'épidémie virale en 2020. La mortalité toutes causes confondues est la donnée scientifique la plus précise et la plus fiable pour analyser la "pandémie de Covid", car elle ne fait pas de discrimination et n'a pas de biais. Après tout, un décès est un décès.

Audio : cliquez ici

Le professeur Denis Rancourt apparaît sur le podcast de Jerm Warfare pour discuter de son dernier article qui passe en revue la mortalité toutes causes confondues dans le monde, et qui montre selon lui qu'il n'y a jamais eu de "pandémie".

Selon le Pr. Raincourt, "la mortalité toutes causes confondues est la donnée la plus précise, et elle ne montre absolument aucune preuve d'une pandémie de Covid".
La mortalité toutes causes confondues est la donnée scientifique la plus précise et la plus fiable pour analyser la "pandémie de la Covid", car elle ne fait pas de discrimination et n'a pas de biais. Après tout, un décès est un décès. Lorsque le temps, l'âge et la région sont utilisés comme variables supplémentaires, les corrélations deviennent (presque) infaillibles.

Selon le Pr Denis Raincourt : Les données sur la mortalité toutes causes confondues suggèrent fortement l'absence d'épidémie virale en 2020 (Vidéo)

Voici un article du Pr Raincourt sur ce sujet sur son site. Il est intitulé "2022-08-02 ::: COVID-Period Mass Vaccination Campaign and Public Health Disaster in the USA" (COVID-Période Campagne de vaccination de masse et catastrophe de santé publique aux USA)
Par Denis G. Rancourt, PhD, Marine Baudin, PhD, Jérémie Mercier, PhD

Selon le Pr Denis Raincourt : Les données sur la mortalité toutes causes confondues suggèrent fortement l'absence d'épidémie virale en 2020 (Vidéo)

À partir de la mortalité toutes causes confondues résolue par âge/État et par temps, de la livraison de vaccins résolue par âge et par temps, et de données socio-géo-économiques.

 

Résumé

La mortalité toutes causes confondues dans le temps est la donnée la plus fiable pour détecter et caractériser épidémiologiquement les événements causant la mort, et pour évaluer l'impact au niveau de la population d'une augmentation ou d'un effondrement des décès toutes causes confondues. Ces données ne sont pas sensibles aux biais de déclaration ou d'attribution des causes de décès. Nous comparons la mortalité toutes causes confondues aux États-Unis par période (mois, semaine), par groupe d'âge et par État au nombre de personnes vaccinées par période (semaine), par séquence d'injection, par groupe d'âge et par État, en utilisant des données consolidées jusqu'à la semaine 5 de 2022 (semaine se terminant le 5 février 2022), afin de détecter des associations temporelles qui impliqueraient des effets bénéfiques ou délétères de la campagne de vaccination. Nous quantifions également la surmortalité totale toutes causes confondues (par rapport aux tendances historiques) pour l'ensemble de la période covid (de l'annonce d'une pandémie par l'OMS le 11 mars 2020 à la semaine 5 de 2022, ce qui correspond à un total de 100 semaines), pour la période covid avant la livraison de la majeure partie du vaccin (les 50 premières semaines de la période covid définie de 100 semaines), et pour la période covid lorsque la majeure partie du vaccin est livrée (les 50 dernières semaines de la période covid définie de 100 semaines) ; par groupe d'âge et par état.

Nous constatons que la campagne de vaccination COVID-19 n'a pas réduit la mortalité toutes causes confondues pendant la période covid. Aucun décès, dans le cadre de la résolution de la mortalité toutes causes confondues, ne peut être considéré comme ayant été évité grâce à la vaccination aux États-Unis. La campagne de vaccination de masse n'était pas justifiée en termes de réduction de la surmortalité toutes causes confondues. La forte surmortalité de la période covidienne, bien supérieure à la tendance historique, s'est maintenue pendant toute la période covidienne, indépendamment de la campagne de vaccination sans précédent, et est très fortement corrélée (r = +0,86) à la pauvreté, par État ; en fait, elle est proportionnelle à la pauvreté. Elle est également corrélée à plusieurs autres facteurs socio-économiques et sanitaires, par État, mais pas aux fractions de population (65+, 75+, 85+ ans) des résidents âgés des États.

L'excès de mortalité toutes causes confondues par groupe d'âge (également exprimé en pourcentage de la mortalité toutes causes confondues de la période pré-covidale pour le groupe d'âge) pour l'ensemble des Etats-Unis pour toute la période covidale jusqu'à la semaine 5 de 2022 est :

tous les âges 1.27M 23%
0-24 13K 12%
25-44 109K 41%
45-64 274K 27%
65-74 319K 30%
75-84 316K 24%
85+ 240K 14%


Les rapports de risque de mortalité correspondants sont relativement uniformes avec l'âge (non exponentiels et non quasi-exponentiels avec l'âge ; et même biaisés en faveur des jeunes adultes), ce qui vaut essentiellement pour tous les États, et pour toutes les périodes examinées au sein de la période covide. Ce résultat fondamental implique qu'une cause dominante de surmortalité n'a pas pu être attribuée à la COVID 19, qui a toujours été mesurée comme ayant un fort taux de mortalité par infection quasi-exponentiel avec l'âge. Cette implication est encore corroborée par l'absence de corrélation entre la surmortalité intégrée à tous les groupes d'âge et l'âge, par état. Le COVID-19 n'a pas été une cause dominante de surmortalité pendant la période covidienne aux Etats-Unis.

Toutes nos observations peuvent être comprises de manière cohérente si nous interprétons que les conditions socio-économiques, réglementaires et institutionnelles de la période covidienne ont induit un stress chronique et un isolement social parmi les membres de grands groupes vulnérables (individus affligés et co-affligés par la pauvreté, l'obésité, le diabète, une forte susceptibilité aux infections respiratoires bactériennes [déduite des taux de prescription d'antibiotiques avant la période covidienne], la vieillesse, l'exclusion sociale, le chômage, l'abus de drogues et de substances, et l'incapacité mentale ou la maladie mentale grave), ce qui a entraîné une immunodépression accrue et fatale chez bon nombre de ces personnes, leur permettant de succomber à une pneumonie bactérienne, à une époque où une épidémie de pneumonie nationale documentée faisait rage et où les prescriptions d'antibiotiques étaient systématiquement réduites ; en plus de la comorbidité possible due à la provocation du vaccin COVID-19 contre des individus ainsi rendus immunodéprimés, dans le cadre de vastes programmes d'"équité vaccinale" mis en œuvre à la hâte....

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