Le "pacte" mondialiste du G20 prévoit des passeports vaccinaux, une monnaie numérique et bien d'autres choses encore.
Article originel : G20’s globalist “pledge” commits to vaccine passports, digital currency & much, much more
Par Kit Knightly
Off Guardian, 20.11.22
La semaine dernière, la réunion annuelle du G20 s'est déroulée à Bali. Les dirigeants des 20 plus grandes économies du monde ont signé une promesse qui les engage à :
- "Réformer" la production et la distribution alimentaires
- Accroître la surveillance et la censure de la "désinformation" sur Internet
- Augmenter la dépendance mondiale aux sources d'énergie "renouvelables".
- Introduire des monnaies numériques programmables
- Introduire des passeports vaccinaux numériques internationaux
Oui, pendant que tout le monde était gentiment distrait par la "chute de Kherson" et ce missile qui aurait frappé la Pologne, des dirigeants du monde entier se réunissaient avec des chemises assorties et publiaient leurs plans de gouvernement mondial dans de petits classeurs brillants.
La COP27 s'est déjà penchée sur l'"agriculture alternative" (c'est-à-dire la viande cultivée en laboratoire et la consommation d'insectes), mais la déclaration des dirigeants du G20 est beaucoup plus ambitieuse. Et nous avons encore le Sommet des Nations unies sur la biodiversité à attendre avec impatience.
Oui, la saison des rassemblements mondiaux effrayants bat son plein, et les participants ne cachent pas leurs projets d'avenir.
Vous pouvez lire l'intégralité du texte ici, nous ne retiendrons que quelques citations clés.
Pour commencer, examinons le "thème" du sommet de cette année, qui a une connotation très familière :
"Récupérer ensemble, récupérer plus fort".
Je suis peut-être fou, mais cela ressemble à une autre façon de dire "reconstruire mieux", n'est-ce pas ?
"Build Back Better" Compilation - "The Great Reset" Montage / Compilation "Build Back Better" - Montage "The Great Reset" (La grande réinitialisation)
On pourrait s'attendre à ce que toute déclaration faite sous la bannière "reconstruire en mieux" ("Build back better") soit remplie de points de discussion sur la Grande Réinitialisation... et vous auriez tout à fait raison.
On y trouve un nouvel engagement dans la guerre actuelle contre l'alimentation et un écho de l'accent mis par la COP27 sur l'"innovation" et la "réforme" dans l'agriculture [c'est nous qui soulignons] :
Nous prendrons de nouvelles mesures coordonnées pour relever les défis de la sécurité alimentaire, y compris la flambée des prix et la pénurie de denrées alimentaires et d'engrais à l'échelle mondiale [...] veiller à ce que les systèmes alimentaires contribuent mieux à l'adaptation au changement climatique et à son atténuation, ainsi qu'à l'arrêt et à l'inversion de la perte de biodiversité, à la diversification des sources de nourriture [...] Nous sommes déterminés à soutenir l'adoption de pratiques et de technologies novatrices, y compris l'innovation numérique dans l'agriculture et les systèmes alimentaires pour améliorer la productivité et la durabilité.
Pour être clair, "atténuer le changement climatique" signifie "produire moins de viande" ; "diversifier les sources de nourriture" signifie "manger des insectes" ; et "pratiques et technologies innovantes" signifie viande et/ou pâte de levure cultivée en laboratoire.
Il y a BEAUCOUP de matériel sur "l'inversion" ou "l'atténuation" du changement climatique, y compris des promesses trop verbeuses de "réformer" l'approvisionnement énergétique :
Nous réitérons notre engagement à atteindre l'objectif mondial de zéro émission nette de gaz à effet de serre/neutralité carbone [...] en intensifiant le déploiement de la production d'énergie propre, y compris les énergies renouvelables, ainsi que les mesures d'efficacité énergétique, notamment en accélérant les efforts en vue de l'abandon progressif de la production d'énergie à partir du charbon.
Vous n'avez pas besoin de moi pour traduire cela.
Et après cela vient le baratin sur la "préparation à la pandémie", appelant à un "instrument juridiquement contraignant" pour "renforcer" la préparation mondiale à la pandémie :
Nous réaffirmons notre volonté de renforcer la gouvernance mondiale de la santé, avec le rôle moteur et de coordination de l'OMS et le soutien d'autres organisations internationales. Nous soutenons les travaux de l'Organe intergouvernemental de négociation (OIN) qui rédigera et négociera un instrument juridiquement contraignant qui devrait contenir des éléments juridiquement contraignants et non contraignants pour renforcer la [préparation] à une pandémie.
Cette question est à l'ordre du jour depuis un certain temps, vous pouvez lire nos articles précédents à ce sujet ici et ici.
Ensuite, il y a la promesse de contrôler plus strictement l'internet, au nom de la "sécurité" :
Nous reconnaissons qu'une connectivité numérique abordable et de haute qualité est essentielle pour l'inclusion numérique et la transformation numérique, tandis qu'un environnement en ligne résilient, sûr et sécurisé est nécessaire pour renforcer la confiance dans l'économie numérique [...] Nous reconnaissons l'importance de contrer les campagnes de désinformation, les cybermenaces, les abus en ligne et de garantir la sécurité de l'infrastructure de connectivité.
Si vous attendiez avec impatience qu'ils mentionnent les monnaies numériques des banques centrales (CBDC), n'attendez plus :
Nous saluons le rapport du Comité des paiements et des infrastructures de marché (CPMI) de la Banque des règlements internationaux (BRI) sur l'interconnexion des systèmes de paiement [et] le rapport conjoint du CPMI de la BRI, de la BISIH, du FMI et de la Banque mondiale sur les options d'accès et d'interopérabilité des monnaies numériques des banques centrales (CBDC) pour les paiements transfrontaliers.
Enfin, et c'est probablement le plus inquiétant, ils s'engagent à introduire des passeports vaccinaux internationaux :
Nous reconnaissons l'importance de normes techniques et de méthodes de vérification partagées, dans le cadre du RSI (2005), pour faciliter les voyages internationaux sans rupture, l'interopérabilité et la reconnaissance des solutions numériques et non numériques, y compris la preuve des vaccinations. Nous sommes favorables à la poursuite du dialogue et de la collaboration au niveau international sur la mise en place de réseaux numériques mondiaux de santé fiables.
Voilà, la liste de courses du G20 qui comprend (sans s'y limiter) : Réforme de l'alimentation, réforme de l'énergie, législation sur les pandémies, " cybersécurité ", CBDCs, et passeports vaccinaux/identification numérique.
Rien de surprenant, mais il est inhabituel de voir tout cela présenté dans un seul document.
Et n'oublions pas le motif le plus démodé : la cupidité. La "promesse" est truffée de discours sur les "lacunes de financement", les dons et les "partenariats public-privé".
Tous ces éléments servent de couverture au blanchiment d'argent international, aux détournements de fonds et à d'autres moyens de canaliser l'argent des contribuables vers les poches bien remplies des 1%.
Oh, un petit rappel pour ceux qui croient encore que la Russie mène le bon combat contre les méchants mondialistes en Ukraine - la Russie est membre du G20 et a signé l'engagement.
Tout comme la Chine, ainsi que tous les autres membres des BRICS.
Il n'y a pas de héros ici, ils sont tous dans le même bateau... mais leur guerre est une bonne distraction, n'est-ce pas ?
Au fond, tout cela ne fait que confirmer - si besoin était - que le Grand Réinitialisation est toujours d'actualité. Même si la Covid disparaît, la nouvelle normalité est là pour rester.
Mais, bien sûr, ça a toujours été le plan.
Traduction SLT
---
Depuis la publication de la vidéo de la suisso-camerounaise, Nathalie Yamb, sur son action contre la Françafrique et la politique africaine de la France, nous avons à nouveau des difficultés à envoyer en instantanée nos articles sur notre blog. Par contre, cet article n'a pas connu de délai entre le moment où il a été envoyé et sa publication sur le blog. Nous avons connu des problèmes avec des délais allant parfois jusqu'à 40 minutes par le passé. A l'époque nous nous demandions si nous n'étions pas tombé sous les fourches caudines d'un algorithme.