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La banalité du mal et les Twitter Files de la COVID (TrialSite News)

par Peter Yim 29 Décembre 2022, 07:27 Twitter Files Censure Twitter Coronavirus Dictature Articles de Sam La Touch

La banalité du mal et les Twitter Files de la COVID
Article originel : The banality of evil and the COVID Twitter Files
Par Peter Yim
TrialSite News, 27.12.22

" En ce qui le concerne, puisqu'il n'avait enfreint aucune loi, et qu'il n'avait jamais directement tué quelqu'un lui-même ou demandé à quelqu'un d'autre de le faire pour lui, il s'était comporté raisonnablement. "La banalité du mal par Hannah Arendt

 

L'épicentre des atrocités de la COVID a été les médias sociaux. Les médias sociaux ont canalisé le discours public, convainquant le public que la COVID-19 était une menace quasi existentielle, avec la nécessité de mesures draconiennes non conventionnelles, le danger des mesures antivirales conventionnelles et la nécessité de participer à l'expérience pharmaceutique massive. Les médias sociaux ont contribué à créer l'illusion d'un consensus sur tous ces points.  Les médias sociaux ont permis les atrocités de la COVID.

Les fichiers Twitter commencent à donner un aperçu des machinations internes de l'un des plus grands Goliaths médiatiques qui a soutenu les atrocités de la COVID. David Zweig a eu accès aux fichiers internes de Twitter et a fourni un récit de la façon dont l'entreprise a traité les comptes de certains dissidents influents de l'establishment médical.

Ce qui est le plus frappant dans le récit de Zweig, c'est la banalité des décisions de censure de la COVID qui étaient fondamentalement totalitaires. Le tweet n°17 indique :

"... Troisièmement, et c'est le plus important, la responsabilité incombe aux employés de haut niveau de Twitter qui choisissaient les entrées pour les robots et les arbres de décision, et décidaient subjectivement des cas aggravés et des suspensions. Comme c'est le cas avec toutes les personnes et les institutions, il y a eu des biais individuels et collectifs".
 

Ce qui est moins clair dans ce récit, c'est la façon dont Twitter en est venu à croire qu'il avait l'autorité pour juger de la vérité.  Dans cette perception de soi, l'activité de Twitter dans l'affaire COVID-19 est comparable à celle des dictateurs les plus impitoyables de l'histoire.  Dans sa censure diligente, Twitter, et sans doute toutes les autres plateformes technologiques, ont permis la brutalisation du public.

Traduction SLT

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