L'article du NEJM de Jabagi et al. sur la population française après un rappel bivalent est trompeur ! McCullough m'a mis la puce à l'oreille (voir sa pile) et voir le tableau 1 (vaccin bivalent à base de technologie ARNm vs vaccin monovalent).
Article originel : Jabagi et al.'s NEJM reporting on the French population after bivalent booster is misleading! McCullough clued me in (see his stack) & look at Table 1 (bivalent mRNA technology vax vs monovalent vax)
Par Dr Paul Alexander
Substack, 31.03.23
Principaux résultats : Les citoyens français souffrent d'événements cardiaques après des rappels bivalents.
Cette étude et son interprétation sont erronées car elles comparent le bivalent au monovalent et non au placebo, etc. Ils ont utilisé un rapport sur les résultats composites qui n'est pas optimal et, plus important encore, l'injection de vaccin génétique anti-COVID a entraîné près de 440 effets graves avec une force importante lors de l'injection bivalente. En outre, à la lecture de la conclusion, on pourrait penser que les données du tableau 1 n'existent pas et que le vaccin anti-COVID est sûr (et efficace). Les chercheurs ont-ils fait comme si les données du tableau 1 n'existaient pas ? Il s'agit du même type de rapport que celui que nous avons vu à maintes reprises lors de l'étude COVID, où les données réelles rapportées ne correspondent pas aux conclusions écrites.
Voici cependant quelques éléments de contexte et les résultats :
Les chercheurs, par le biais de cette étude basée sur la population, ont utilisé des données "provenant du système national des données de santé français lié à la base de données nationale de vaccination contre le coronavirus 2019 (Covid-19)....
Toutes les personnes âgées de 50 ans ou plus et ayant reçu une dose de rappel entre le 6 octobre et le 9 novembre 2022 ont été incluses dans l'étude. Cette fenêtre temporelle correspondait à la seule période durant laquelle les deux vaccins étaient administrés en France....
Sur un total de 470 962 vaccinés (âge moyen [±SD], 72,6±10,4 ans), 97 234 (20,6 %) ont reçu le vaccin monovalent et 373 728 (79,4 %) ont reçu le vaccin bivalent (Fig. S2 et Tableau S1). Après pondération par la probabilité inverse de traitement, les caractéristiques sociodémographiques et d'état de santé étaient bien équilibrées entre les deux groupes (Fig. S3)...
Au 21e jour après la dose de rappel, les chercheurs "n'ont trouvé aucune preuve d'un risque accru d'événements cardiovasculaires chez les personnes ayant reçu le vaccin bivalent par rapport aux personnes ayant reçu le vaccin monovalent...".
Les événements évalués comprenaient l'accident vasculaire cérébral ischémique (rapport de risque, 0,86 ; intervalle de confiance à 95 % [IC], 0,58 à 1,27), l'accident vasculaire cérébral hémorragique (rapport de risque, 0,86 ; IC à 95 %, 0,46 à 1,61), l'infarctus du myocarde (rapport de risque, 0. 92 ; IC 95 %, 0,62 à 1,36), embolie pulmonaire (rapport de risque, 0,83 ; IC 95 %, 0,49 à 1,40), et les quatre événements combinés (rapport de risque, 0,87 ; IC 95 %, 0,69 à 1,09) (tableau 1)".
Pourtant, le tableau 1 montre des effets dévastateurs de type cardiovasculaire et pulmonaire, en particulier pour le rappel bivalent (mais des chiffres considérables pour le rappel monovalent). Il s'agit d'effets indésirables très graves qui mettent fortement en cause le vaccin. Nous pouvons imposer les critères de Bradford Hill qui soutiennent la causalité probable, par exemple la temporalité, la plausibilité biologique, etc.
Le tableau 1 présente quatre catégories d'événements cardiovasculaires enregistrés dans le Système national de données de santé français et survenus dans les 21 jours suivant l'administration du vaccin bivalent à ARNm de Pfizer-BioNTech ciblant les sous-lignées ancestrale et omicron BA.4-BA.5 du SRAS-CoV-2 ou du vaccin monovalent d'origine. Tous les participants ont reçu leur injection de rappel entre le 6 octobre et le 9 novembre 2022.
Traduction SLT