Les animaux de laboratoire ont-ils été tués après les essais de vaccins à ARNm pour cacher les conséquences néfastes à long terme et notamment les risques cancéreux ? (Substack)

Les animaux de laboratoire ont-ils été tués après les essais de vaccins à ARNm pour cacher les conséquences néfastes à long terme?
Article originel : Were Lab Animals Killed After mRNA Vaccination Trials to Hide Long-Term Adverse Consequences?
Par Igor Chudov
Substack, 29.06.23



Les scientifiques auraient pu suivre les animaux d’essai pendant un certain temps après la vaccination, pour assurer la sécurité des humains - mais ils ont choisi de ne pas le faire.

Dans un article rédigé conjointement avec A Midwestern Doctor en octobre dernier, nous avons décrit un cas tragique de lymphome lymphoblastique à cellules B causé par un vaccin chez un éminent défenseur du vaccin contre la COVID, le professeur belge Michel Goldman.

Nous avons un problème : les décès par cancer ont commencé à augmenter, à la fin de 2021, avec une incidence de décès par cancer qui dépassait les niveaux prévus par une différence statistiquement « impossible » de 9 sigma - et nous ne voyons que la première petite vague d’une tempête à venir.

Une étude récente et apparemment sans rapport avec des souris de laboratoire montre que Michel Goldman a des homologues dans le monde murin (souris). (chapeau à @ashmedaidaemon sur Twitter, qui a un Substack incroyable et qui a écrit un joli résumé de l’étude)

Comme dans toutes les autres études animales, les souris devaient être sacrifiées peu après le rappel. Cependant, une souris est morte d’un « turbo cancer », comme les chercheurs le décrivent ici :

https://www.frontiersin.org/journals/oncology/articles/10.3389/fonc.2023.1158124/full

Cette étude met en évidence une souris de laboratoire qui a développé un lymphome lymphoblastique à cellules B et qui est morte peu après le rappel du même type de cancer que le professeur Goldman.

La Covid ne pouvait être mise en cause pour la disparition de cette souris en particulier :

    Aucune protéine de protéine de pointe du SRAS-CoV-2 n’a été observée dans aucun des organes étudiés (données non présentées, utilisant un anticorps anti-SRAS-CoV-2 polyclonal contre le lapin (dilué 1:200, no de catalogue NB100-56578, Bio-Techne Ltd., Minneapolis, États-Unis)). Les tissus pulmonaires et cardiaques d’une souris mâle atteinte d’une SCID ayant subi une infection confirmée au SRAS-CoV-2 ont servi de témoin positif pour cette coloration.
 

Alors que plusieurs autres souris de cette expérience ont continué de prendre du poids en vieillissant (n’importe qui peut comprendre cela?), le poids de cette souris en particulier a commencé à diminuer après la vaccination contre la COVID-19 :

Nous pouvons voir que non seulement cette souris est devenue malade au moment où elle a été vaccinée, mais sa maladie est aussi devenue excessive après l'injection du rappel.

Nous serons probablement rassurés qu’il s’agit d’un « cas extrêmement rare ».

J’espère que ça l’est !

Mais comment être sûr que c’est « rare »?

Après tout, dans la plupart des expériences, souris et singes ont été tués peu après la vaccination, comme si les scientifiques ne voulaient pas les suivre intentionnellement.

Des animaux vaccinaux ont tous été tués peu après la vaccination
Igor Chudov
·
9 août 2022

Une vérification des faits, promue par Twitter, a attiré mon attention. On y disait qu’il n’y avait PAS DE PRÉOCCUPATIONS EN MATIÈRE DE SÉCURITÉ dans les tests sur les animaux et les essais de vaccins contre la COVID-19 : J’avais l’impression de devoir y jeter un coup d’œil de plus près. Et j’ai trouvé quelque chose. La vérification des faits, heureusement, mentionne trois études sur les animaux — une pour chaque vaccin contre la COVID — et je les ai lues attentivement....

Lire la suite de l'histoire

Les souris sont des « machines à voyager dans le temps » naturelles qui pourraient indiquer des effets potentiels à long terme sur les humains

Les souris ne sont pas des humains. Cependant, ce sont des mammifères, et leur physiologie est similaire à celle des humains - sauf que les souris vieillissent 25 fois plus vite. Ainsi, un mois dans la vie d’une souris est plus de deux ans en termes de vie humaine, comme l’explique cette étude:

    Après 6 mois, le taux de maturation des souris est 25 fois plus rapide que celui des humains. Une caractéristique de l’âge moyen est la présence de changements sénescents dans certaines mesures biologiques, mais pas dans toutes, qui finiront par changer avec l’âge (p. ex., les biomarqueurs du vieillissement). Un groupe d’âge moyen peut aider à déterminer si un changement lié à l’âge est progressif ou s’il s’exprime d’abord seulement chez les personnes âgées. Les souris doivent avoir au moins 10 mois pour être incluses dans un groupe d’âge moyen et la limite d’âge supérieure est d’environ 14 - 15 mois. Cette phase est corrélée aux humains de 38 - 47 ans.
 

Donc, si les souris pouvaient être suivies pendant seulement 14 mois, cela équivaudrait à peu près à suivre des gens pendant 38 à 47 ans.

Ils ne l’ont pas fait !

Ils disent qu’ils n’ont pas eu le temps d’attendre avec les vaccins contre la COVID. C’était une énorme urgence, disent-ils. D’accord. Pourquoi ne pouvaient-ils pas garder quelques dizaines de souris vaccinées pendant un an ?

Dans l’étude de Frontiers, une souris sur 13 a développé un turbo-cancer (un lymphome).

Et si cela arrivait à des gens dans la même proportion à long terme? Cela équivaudrait à des millions de tragédies!

La décision de tuer des animaux d’essai était-elle fondée sur des considérations financières? Ou les concepteurs de vaccins avides savaient-ils qu’ils pouvaient mieux prévenir les conséquences à long terme des vaccins contre la COVID-19?

Pensez-vous que les animaux vaccinaux ont été euthanasiés intentionnellement et rapidement pour que nous ne connaissions pas les effets à long terme des vaccins contre la COVID?

Traduction SLT