Thiaroye 1944. Un interminable mensonge d’État. Les dernières zones d’ombre d’un massacre colonial / Des descendants de tirailleurs face aux « intérêts de l’Empire »/ « En réclamant leur dû, c’est la mort qu’ils ont obtenue » (Afrique XXI)

Un interminable mensonge d’État (1/3) Thiaroye 1944. Les dernières zones d’ombre d’un massacre colonial
Afrique XXI, 1.12.24

Analyse · En décembre 1944 au Sénégal, l’armée française ouvrait le feu sur des tirailleurs africains qui réclamaient simplement leur paye. Quatre-vingts ans après, on ignore toujours le nombre des victimes, tout comme l’endroit où elles ont été enterrées. La France continue de faire obstacle à la vérité. Explications.

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Le cimetière militaire de Thiaroye, un des lieux suspecté d’abriter les fosses communes où ont été enterrées les victimes du massacre du 1er décembre 1944. © Clair Rivière

Thiaroye 44, l’interminable mensonge d’État (2/3). Des descendants de tirailleurs face aux « intérêts de l’Empire »
Afrique XXI, 1.12.24

Thiaroye 44, l’interminable mensonge d’État (3/3). « En réclamant leur dû, c’est la mort qu’ils ont obtenue »
Afrique XXI, 1.12.24