Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

[MAJ] Covid-19. Pourquoi Olivier Veran a raison lorsqu'il estime que le "vaccin a une efficacité partielle" et que "les personnes vaccinées sont aussi celles qui sont les plus exposées aux formes graves et aux décès en cas d’inefficacité initiale du vaccin"

par SLT 5 Avril 2021, 12:57 Vaccin Veran Conseil d'Etat Coronavirus Efficacité Allégations France Articles de Sam La Touch

MAJ 5.04.21 19h30 : France Soir vient de publier les mémoires complets du ministère de la santé et des solidarités, Le mémoire 2 est celui qui évoque les 4 arguments repris par la presse. Cette Mise à jour étant bien évidemment postérieure à notre article, on peut se référer au mémoire 2 pour y retrouver les dires du ministre de la santé selon lesquels le "vaccin a une efficacité partielle". Les services d'Olivier Veran s'appuient sur les données des fabricants pour dire que les vaccins AstraZeneca, Moderna et Pfizer protègent respectivement à 76% (79% selon une étude de Nature), 94% et 95% et déclare ainsi que "l'efficacité est partielle" (?). Dans notre article ci-dessous nous donnons le point de vue d'autres experts tels que Peter Dohi dans le British Medical Journal mais aussi des indépendants qui interrogent ces chiffres et les données brutes.
Concernant l'argument selon lequel, "les personnes vaccinées sont aussi celles qui sont les plus exposées aux formes graves et aux décès en cas d’inefficacité initiale du vaccin",  les services de Veran expliquent (toujours dans le mémoire 2) "
"En troisième lieu,  ainsi que cela a été rappelé au point précédent (2.2.2), les personnes vaccinées sont aussi celles qui sont les plus exposées aux formes graves et aux décès en cas d’inefficacité initiale du vaccin ou de réinfection post-vaccinale, du fait d’une immuno-sénécence (impact du vieillissement du système immunitaire sur la qualité de la protection vaccinale ainsi que sa durabilité, même si les premières données sont rassurantes sur ce point malgré le manque de recul cf. étude de Widge AT et al.16) ou de la virulence d’un variant." Nous précisons plus bas dans cet article que deux études montrent une immunosuppression légère dont une par diminution transitoire des lymphocytes après la vaccination pouvant entraîner dans les premiers jours un risque accru d'infection à la Covid.

 

 Mémoire 1, (30.03.21)

 Mémoire 2 (28.03.21)

Vous avez été un certain nombre, suite à la vidéo de Juste Milieu, à nous poser la question des sources lorsque "Marcel" annonçait que le ministre de la santé, Olivier Veran, avait déclaré, entre autres - suite à la requête d'une personne âgée vaccinée de 83 ans ne souhaitant plus être confinée - que le vaccin contre la Covid avait "une efficacité partielle".
- Vaccin pas assez efficace, 2 ans de confinement ? Olivier Véran avoue ! (Vidéo)
Voici la vidéo et les allégations de Juste Milieu pour le Média 4-4-2.

Vaccin pas assez efficace, 2 ans de confinement ? Olivier Véran avoue !

Comme il est précisé dans la vidéo, l'information a été sortie par Europe 1 puis reprise par BFM TV et Le Figaro. Il s'agit d'un article d'Europe 1 en date du 31.03.21 intitulé Un octogénaire demande au Conseil d’État à être déconfiné après avoir été vacciné.

Cette vidéo reprend des extraits du mémoire des services du ministre de la santé et de la solidarité, Olivier Veran, demandé par le Conseil d'Etat suite à la requête d'un retraité de 83 ans.

En effet, ce retraité vacciné, qui réside en Ile-de-France, a déposé un recours pour demander la levée du confinement pour les personnes vaccinées. Ses avocats, Me Diane Protat et Me Henri de Lagarde, ont déposé une requête au Conseil d'Etat afin de lever les restrictions de déplacement pesant sur lui. Le Conseil d'Etat pour se prononcer a demandé un mémoire au ministre de la santé, au premier ministre et le juge des référés a statué. Selon Me Diane Protat, interviewée par France Soir6'00" sur la vidéo), le mémoire de réponse des services de Veran répondait que "l'efficacité des vaccins n'était que partielle", "le second argument du ministre de la Santé  était que la réussite de la vaccination était contingente puisqu'en fonction de l'apparition de nouveaux variants le vaccin que vous recevez aujourd'hui pouvait ne pas marcher sur de nouveaux variants", "son troisième argument c'était de nous expliquer que même vacciné vous pouviez diffuser la maladie et être toujours contagieux..."

C'est ce mémoire de réponse qui a été diffusé dans la presse à la demande des avocats pour qu'un débat puisse avoir lieu sur la place publique.

Dans le mémoire de réponse qu’Europe1 a pu consulter, en date du 30.03.21, quatre arguments ont été diffusés dans l'article "le ministre de la Santé estime qu’il est prématuré en l’état des connaissances scientifiques de différencier les "règles relatives aux limitations de circulation selon que les personnes ont reçu ou non des doses des vaccins". Olivier Véran invoque quatre arguments. D'une part, "l'efficacité partielle des vaccins", et en deuxième lieu le fait que "l'efficacité des vaccins est devenue particulièrement contingente du fait de l’apparition des nouveaux variants"...En troisième lieu, "les personnes vaccinées sont aussi celles qui sont les plus exposées aux formes graves et aux décès en cas d’inefficacité initiale du vaccin ou de réinfection post-vaccinale ou de la virulence d’un variant." Enfin, "le vaccin n'empêche pas de transmettre le virus aux tiers. L’impact de la vaccination sur la propagation du virus n’est pas encore connu".
 

 

On résume les 4 arguments évoqués en les déclinant ci-dessous avec selon l'ordre que nous avons retenus :


1. le vaccin n'empêche pas de transmettre le virus aux tiers

2. la réussite de la vaccination est contingente à l'apparition des nouveaux variants

3. le vaccin a une efficacité partielle

4. les personnes vaccinées sont aussi celles qui sont les plus exposées aux formes graves et aux décès en cas d’inefficacité initiale du vaccin

 

 

[Argument 1 et 2]
De ces 4 arguments, deux ont été clairement annoncés par les labos pharmaceutique à savoir la possibilité une fois vacciné d'être contaminé (dans des formes mineures) et de transmettre le virus (argument 1).  Les labos ont aussi déclaré que pour l'argument 2, ils pourraient envisager de faire des injections supplémentaires avec des séquences nucléotidiques provenant des variants résistants pour surmonter l'échappement vaccinal. Ce n'est donc pas un scoop.

[Argument 3]
Ce qui est surprenant de la part du ministère de la Santé, car ce n'est probablement pas Veran qui a pondu cette réponse, c'est d'écrire que le vaccin a une "efficacité partielle" alors que Pfizer et Moderna prétendent selon leurs études avoir une efficacité proches de 95%. On verra qu'en fait ils ont sélectionné les outils statitisques pour obtenir les résultats les plus probants lors de leur étude initiale. Selon Off-Guardian, l'efficacité est beaucoup plus faible en réalité :
"Il convient de noter que cela ne concerne qu'une prétendue réduction des symptômes de la COVID 19 chez les personnes atteintes du virus. Les résultats des tests ne démontrent pas que le vaccin réduira la propagation de l'infection ou sauvera des vies. Il convient également de noter que ces chiffres suggèrent que la menace liée à la COVID 19 est de plus en plus faible. En utilisant les chiffres de Pfizer, la réduction du risque relatif est de 100(1 - (0,00044/0,0088)). Ce qui correspond à 95%. Et voilà ! Cela semble fantastique et constitue une bien meilleure stratégie de marketing que de rapporter la réduction absolue du risque. Le risque absolu de développer les symptômes de la COVID 19 sans le vaccin est supposé être de 0,0088% et avec le vaccin de 0,00044%. En termes absolus, l'efficacité du vaccin est de 100(0,0088-0,00044). Une réduction du risque de 0,84%. Une "efficacité" à peine perceptible. En utilisant la réduction de risque relative plutôt qu'absolue, les grands médias (MSM) ont été libres de commercialiser le vaccin à ARNm pour Pfizer et BioNTech (et d'autres parties intéressées) avec des allégations impressionnantes. Celles-ci n'étaient pas du tout véridiques, non seulement parce qu'elles reposaient sur des manipulations statistiques, mais aussi parce que personne n'avait la moindre idée de la sécurité ou de l'efficacité du BNT. À ce jour, il n'existe aucun résultat d'essai clinique."- Source : Off Guardian Quels essais vaccinaux ?

De plus, selon UK Column "Il semble que tous les efforts aient été faits pour maximiser la mortalité rapportée par la COVID-19 tout en minimisant, voire en niant, toute mortalité liée au vaccin".
- UK Column News Pourquoi donne-t-on encore des vaccins anti-COVID-19 aux gens ?


Et il est probable que les services d'Olivier Veran en soient parfaitement au courant. Des informations ont déjà fuité dans la presse spécialisée et alternative ou mainstream à ce sujet.
- Peter Doshi : Les vaccins "efficaces à 95%" de Pfizer et Moderna - nous avons besoin de plus de détails et de données brutes (British Medical Journal)
- Quand le rédacteur en chef adjoint du BMJ questionnait l'efficacité réelle des vaccins à ARN et alertait sur l'insuffisance des essais vaccinaux sur les personnes âgées fragiles
- Inde : le régulateur demande plus de données sur le vaccin et Pfizer retire sa demande d’utilisation d'urgence (France Soir)
- Le Pr. Casalino, médecin urgentiste, décrédibilise le vaccin anti-Covid de Pfizer sur LCI (Vidéo)


Donc, les services d'Olivier Veran ont raison de dire que l'efficacité du vaccin est "partielle" selon les sources citées ci-desus (British Medical Journal, Off Guardian et Uk Column) même si une étude plus récente semble aller dans le sens d'une efficacité complète y compris contre les nouveaux variants. Il s'agit aussi sans doute de couvrir les services de l'Etat en terme de responsabilité. On n'est jamais trop prudent.



[Argument 4]
Plus surprenant est le 4ème argument du mémoire de réponse du ministère de la santé et de la solidarité repris par la presse.

« Les personnes vaccinées sont aussi celles qui sont les plus exposées aux formes graves et aux décès en cas d’inefficacité initiale du vaccin ou de réinfection post-vaccinale ou de la virulence d’un variant »
Sud-Ouest Covid-19 : un octogénaire vacciné demande au Conseil d’État de ne plus être confiné

Cet argument peut sembler assez insolite et constituer la vraie surprise de l'argumentation des services d'Olivier Veran.
Toutefois, deux études ont retrouvé une susceptibilité accrue à la Covid dans les premiers temps de la vaccination. On sait selon une étude récente du PHE que la vaccination peut rendre plus vulnérable à la COVID-19 dans les jours qui suivent l'injection.
Lockdown Sceptics a fait un résumé de ces deux études :
"Lockdown Sceptics a fait état de deux études qui avaient constaté une augmentation du risque d'infection par la COVID-19 dans la semaine suivant la première dose de vaccin. Une étude du PHE a révélé une augmentation de 48% du risque d'infection dans le groupe des plus de 80 ans, 4 à 9 jours après avoir reçu la première dose du vaccin Pfizer (voir tableau ci-dessous). Et l'autorisation d'utilisation d'urgence de la FDA étatsunienne pour le vaccin Pfizer a révélé une augmentation de 40 % des "suspicions de COVID" au cours de la première semaine suivant la vaccination par rapport au groupe témoin. Comme explication potentielle, les Lockdown Sceptics ont noté que, lors d'essais, il a été constaté que le vaccin Pfizer supprimait le nombre de lymphocytes dans les premiers jours suivant le traitement (voir le tableau ci-dessus), augmentant potentiellement la susceptibilité."

Est-ce que le ministère de la Santé se base sur ces études pour dire qu'en cas de formes graves de la Covid, les sujets vaccinés, si il y a un échappement vaccinal, seraient dans les premiers temps les plus susceptibles de développer la maladie sous sa forme sévère et serait moins en mesure de s'en protéger ? 

En l'occurence le Conseil d'Etat a passé sous silence dans sa réponse les deux derniers arguments cités ci-dessus en mettant en exergue les deux premiers et notamment le plus connu et déjà cité par les labos pharmaceutiques produisant les vaccins à savoir "que les personnes vaccinées peuvent être porteuses du virus et contribuer à sa diffusion".


La requête des avocats a donc en conséquence été déboutée :

"Un retraité de 83 ans a demandé au juge des référés du Conseil d’État de suspendre les restrictions de déplacement prises par le Gouvernement afin qu’elles ne s’appliquent plus aux personnes vaccinées. Le juge des référés rejette sa demande considérant que les personnes vaccinées peuvent être porteuses du virus et contribuer à sa diffusion."

 

Voici la décision contentieuse délivrée le 2.04.21 et disponible sur le site du conseil d'Etat :

Les restrictions de déplacement des personnes vaccinées sont justifiées
Conseil d'Etat 2.04.21

Un retraité de 83 ans a demandé au juge des référés du Conseil d’État de suspendre les restrictions de déplacement prises par le Gouvernement afin qu’elles ne s’appliquent plus aux personnes vaccinées. Le juge des référés rejette sa demande considérant que les personnes vaccinées peuvent être porteuses du virus et contribuer à sa diffusion.

Le 19 mars dernier, le Premier ministre a décidé de limiter les déplacements dans les 19 départements où la situation sanitaire est la plus critique.
 
Le requérant, qui réside dans l’un des départements concernés et qui a été vacciné, dénonce une atteinte à sa liberté d’aller et venir. Il demande au juge des référés de suspendre ces limitations pour toute personne ayant bénéficié de la vaccination contre la covid-19. Il considère que les mesures de restriction de déplacements, de couvre-feu et de confinement ne sont plus nécessaires et adaptées pour les personnes vaccinées.
 
Le juge observe que la diffusion du virus s’est aggravée de manière significative sur l’ensemble du territoire, mettant fortement sous tension les hôpitaux, et conduisant à la généralisation des restrictions à tout le pays.
 
Bien que la vaccination assure une protection efficace, le juge des référés relève que les personnes vaccinées peuvent être porteuses du virus et contribuer à sa diffusion dans des proportions qui ne sont aujourd’hui pas connues. La levée des restrictions de déplacement pourrait dès lors aggraver le risque de contamination, notamment pour les personnes vulnérables qui sont majoritairement non vaccinées.
 
Pour ces différentes raisons, ces restrictions de déplacement, même pour les personnes vaccinées, n’apparaissent pas disproportionnées. C’est pourquoi le juge des référés du Conseil d’État rejette la demande du requérant.

Lire l'ordonnance n°450956

Pour lire l’ordonnance dans sa version PDF complète, cliquez ici : Ordonnance Conseil d’Etat

 

1. Sur la situation :  les choses n’évoluent pas et la demande de M. B est de suspendre les mesures prévenant les déplacements de personnes hors de leur lieu de résidence soient limités d’une part entre six heures et dix-neuf heures (« confinement »), d’autre part entre dix-neuf heures et six heures (« couvre-feu »), hormis pour les motifs que prévoient ces dispositions.

2. Le gouvernement justifie les mesures par la nécessité de freiner la diffusion du virus, que favorisent les contacts interpersonnels, en limitant ceux-ci le plus possible, et celle de protéger la population, notamment les personnes les plus vulnérables à raison de leur âge, aussi longtemps que des mesures de prévention ou de soin ne sont pas disponibles, contre le risque de contracter des formes graves de la maladie, qui, d’une part, sont d’une morbidité élevée pour cette catégorie, et d’autre part, sollicitent à l’excès les capacités de soins hospitaliers, au risque d’en réduire la disponibilité pour d’autres catégories de malades.

3. Il y a eu une aggravation de la situation avec la reprise de la diffusion de l’épidémie sur l’ensemble du territoire national de la diffusion du virus, sollicitant de manière accrue les capacités hospitalières en raison d’un nombre élevé de personnes souffrant de la maladie et notamment de ses formes les plus graves et conduisant les pouvoirs publics à annoncer la généralisation des mesures jusqu’à présent imposées à un nombre limité de départements.

4. M. B soutient de son côté que la vaccination contre la Covid-19 permet d’atteindre les objectifs que s’assignent les mesures de restriction des déplacements, et que dès lors, le couvre-feu et le confinement ne sont plus nécessaires, ni adaptés, en ce qui concerne les personnes vaccinées.

5. Il ressort de l’ensemble de la procédure que pour efficace que soit la vaccination, qui ne concerne encore qu’une faible fraction des personnes les plus vulnérables, elle n’élimine pas complètement la possibilité que les personnes vaccinées demeurent porteuses du virus. Si une étude produite, semble indiquer que le nombre en serait faible, elle ne suffit pas à ce stade à démontrer, au regard de l’accélération de l’épidémie, que seul le respect des gestes barrières par les personnes concernées suffirait à limiter suffisamment la participation à la circulation du virus de celles d’entre elles qui en seraient porteuses, contribuant dès lors à aggraver le risque pour les personnes les plus vulnérables non encore vaccinées qui demeurent majoritaires, même si elles sont désormais moins nombreuses dans les services hospitaliers.

A la date de la présente ordonnance, l’effet de la vaccination en matière de réduction de la circulation du virus n’est atteint, dans certains pays, comme l’a relevé le conseil scientifique que par un niveau suffisant de vaccination au sein de l’ensemble de la population.

6. Au regard de l’ensemble de ces éléments, s’il est vraisemblable, en l’état, que la vaccination assure une protection efficace des bénéficiaires, même si l’impact des évolutions de l’épidémie dues aux variants demeure incertain, les personnes vaccinées peuvent cependant demeurer porteuses du virus et ainsi contribuer à la diffusion de l’épidémie dans une mesure à ce stade difficile à quantifier, ce qui ne permet donc pas d’affirmer que seule la pratique des gestes barrières limiterait suffisamment ce risque.

En conséquence, l’atteinte à la liberté individuelle résultant des mesures de couvre-feu et de confinement ne peut, en l’état, au regard des objectifs poursuivis, être regardée comme disproportionnée, en tant qu’elles s’appliquent aux personnes vaccinées.
 

Source :
- France Soir 2.04.21 Pour le Conseil d’Etat, les personnes vaccinées peuvent rester porteuses du virus

On y retrouve la phrase suivante dans l'ordonnance du Conseil d'Etat :
Au point 6.
"Il ressort de l’ensemble de la procédure que pour efficace que soit la vaccination, qui ne concerne encore qu’une faible fraction des personnes les plus vulnérables, elle n’élimine pas complètement la possibilité que les personnes vaccinées demeurent porteuses du virus..."

Et au point 7.
"Au regard de l’ensemble de ces éléments, s’il est vraisemblable, en l’état, que la vaccination assure une protection efficace des bénéficiaires, même si l’impact des évolutions de l’épidémie dues aux variants demeure incertain, les personnes vaccinées peuvent cependant demeurer porteuses du virus et ainsi contribuer à la diffusion de l’épidémie dans une mesure à ce stade difficile à quantifier, ce qui ne permet donc pas d’affirmer que seule la pratique des gestes barrières limiterait suffisamment ce risque...-"
 

***
Pour toute question ou remarque merci de nous contacter à l'adresse mail suivante : samlatouch@protonmail.com.

Pour savoir pourquoi nous avons dû changer d'e-mail : cliquez ici.
----

Les articles du blog subissent encore les fourches caudines de la censure cachée via leur déréférencement par des moteurs de recherche tels que Yahoo, Qwant, Bing, Duckduckgo.
- Rapport de l'IRSEM de novembre 2018. Comment l'armée française considère le blog de SLT et ...les autres
- Contrairement à Google, Yahoo & Co boycottent et censurent les articles de SLT en les déréférençant complètement !
- Censure sur SLT : Les moteurs de recherche Yahoo, Bing et Duckduckgo déréférencent la quasi-totalité des articles du blog SLT !

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :

Haut de page