La crainte du coronavirus est-elle le résultat d'une opération psychologique ? (Off Guardian)

La peur du coronavirus est-elle une opération psychologique ?
Article originel : Is the Coronavirus Scare a Psychological Operation?
Par Kevin Ryan
Off Guardian

Tout au long de l'histoire, les gouvernements ont eu recours à la guerre psychologique pour manipuler l'opinion publique, obtenir des avantages politiques et générer des profits. Les gouvernements occidentaux se sont engagés dans de telles tactiques dans la guerre contre le terrorisme ainsi que dans sa prédécesseure, la guerre contre le communisme.

Dans les deux cas, le terrorisme et la propagande d'État ont été utilisés pour déformer la perception des menaces par le public, ce qui a conduit à un contrôle gouvernemental accru de la société et à d'énormes bénéfices financiers pour les entreprises.

Il semble que la pandémie du COVID-19 ait les mêmes effets.

Nombre des caractéristiques et des résultats observés dans la guerre contre le terrorisme et la guerre contre le communisme sont évidents dans cette nouvelle "guerre contre la mort".

Il est donc raisonnable de se demander si la réaction extrême au COVID-19, et à son virus associé SARS-COV-2, ne pourrait pas être une autre opération psychologique contre le public.

L'examen des faits concernant la maladie et la réaction disproportionnée met en évidence cette possibilité.

Si le COVID-19 a été coopté pour manipuler le public, en mettant en avant la menace et en poussant à des solutions d'exploitation, qui est derrière tout cela et qui en profite ?

Examinons d'abord les caractéristiques et les résultats que la "peur du coronavirus" a en commun avec la "peur rouge" qui a conduit à la perception de la menace du communisme et la "peur musulmane" derrière la perception de la menace du terrorisme. Voici une douzaine de caractéristiques que partagent ces menaces perçues.

    1. Basée sur la peur et dirigée à l'échelle mondiale
    2. La saturation des médias avec un parti pris pour la peur
    3. Manipulation des données et propagande
    4. Censure des opinions divergentes
    5. Contrôle des informations par les services de renseignement
    6. Précédée d'exercices imitant la menace
    7. Série de demandes d'indemnisation dont la fausseté a été prouvée par la suite
    8. La réponse menace la démocratie
    9. Forte augmentation de la richesse et du pouvoir de quelques-uns ; augmentation des inégalités sociales
    10. Un contrôle accru du gouvernement sur le public et une réduction des libertés individuelles
    11. La réponse à la crise tue beaucoup plus que la menace initiale
    12. Preuves d'événements fabriqués (voir ci-dessous)

Il existe également des différences entre la réponse à la pandémie COVID-19 et les "guerres" contre le communisme et le terrorisme. Une différence est que, pour le virus, les agences dédiées à la santé publique ont pris les devants. Bien que les personnages centraux qui ont fait l'apologie de la menace communiste et de la menace terroriste soient parfois les mêmes, ils ont tendance à représenter des agences militaires, diplomatiques ou de renseignement.

Les principaux acteurs à l'origine du confinement du coronavirus et des mécanismes de contrôle associés sont les dirigeants politiques. Toutefois, les directives mises en œuvre proviennent de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), une agence des Nations unies prétendument responsable de la santé publique internationale.

D'autres organismes contrôlant la lutte contre le coronavirus sont des agences nationales de santé, notamment les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) aux États-Unis et le National Health Service (NHS) au Royaume-Uni.

Ces agences agissent-elles uniquement dans l'intérêt de la santé publique ?...

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Traduction SLT

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