La vidéo de l'Etat islamique "FIGHT FOR THEIR LIVES" montre la dernière intervention désespérée de soldats étatsuniens tués dans une embuscade au Niger par des militants jihadistes (The SUN)

La vidéo de l'Etat islamique "FIGHT FOR THEIR LIVES" montre la dernière intervention désespérée de soldats étatsuniens tués dans une embuscade au Niger par des militants jihadistes.
Article originel : FIGHTING FOR THEIR LIVES ISIS video ‘shows desperate last stand of US soldiers’ killed in Niger ambush by jihadi militants
Par Mark Hodge
The SUN

Traduction SLT

Les images troublantes montrent les derniers instants d'un groupe de soldats du Béret Vert tués au Niger le 4 octobre.

Voir la vidéo ici

L'EI a sorti une horrible vidéo montrant les derniers instants de quatre soldats étatsuniens qui ont été pris dans une embuscade au Niger.

La vidéo, d'une durée de neuf minutes, a été filmée à partir des caméras du casque des Etatsuniens qui sont tragiquement morts le 4 octobre à Tongo Tongo après avoir été attaqués par 50 jihadistes ayant subi un lavage de cerveau.

Le clip troublant, qui se termine avant que les soldats ne soient tués, montre les hommes utilisant un véhicule et des fusées éclairantes comme couverture lorsqu'ils échangent des tirs avec les extrémistes.

En octobre, il a été rapporté qu'un groupe de commandos de Béret Vert aurait été tué après avoir été pris en embuscade par des terroristes au Niger.

Les soldats et deux autres blessés ont aidé à former des locaux pour faire face à la menace posée par Al-Qaïda et d'autres groupes extrémistes en Afrique de l'Ouest, rapporte le Times.

Un certain nombre de soldats nigérians auraient également été tués.

Des unités de formation étatsuniennes opèrent au Niger et au Mali voisin.

La région a été inondée d'armes en provenance de Libye depuis la chute du dictateur colonel Kadhafi en 2011.

Les Etatsuniens tués dans l'embuscade étaient Bryan Black, 35 ans, Jeremiah Johnson, 39 ans, David Johnson, 25 ans et Dustin Wright, 29 ans.

Bryan Black

Dustin Wright

Jeremiah Johnson

La David Johnson

L'attaque a amené le président étatsunien Donald Trump à être accusé d'avoir tenu des propos " insensibles " à l'égard de la veuve enceinte du sergent Johnson.