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Le Captain Tom Moore est-il décédé d'une pneumopathie bactérienne ou de la Covid ? La Covid : une construction ? (Vidéo)

par SLT 6 Février 2021, 05:37 Captain Tom Coronavirus Pneumopathie Instrumentalisation Médias Grande-Bretagne Articles de Sam La Touch

MAJ 6.02.21 à 15h : Ajout de l'étude la professeure Briand de l'Université Johns Hopkins.

Le décès du "Captain Tom" à 100 ans a été exploité par les médias pour mettre en avant les ravages de la Covid. L'homme serait décédé de la Covid. En fait, il aurait été testé positif au test PCR alors qu'il souffrait d'une pneumopathgie bactérienne. Selon les médias grand public, sa pneumonie serait liée à la Covid. BFM titre "Héros des Britanniques, le centenaire "Captain Tom" a été hospitalisé après avoir contracté le Covid-19". Le Jt de France de 20h du 2.02.21 s'est fendu également d'un mini-reportage sur le sujet au milieu du matraquage Covid usuel (plus de 50% des sujets traités ce soir là avaient rapport avec la Covid) signalant toutefois "qu'il n'avait pu être vacciné car il souffrait ces dernières semaines d'une pneumonie".

Toutefois le fait qu'il soit mort d'une pneumopathie bactérienne étiquetée par certains covid après un test PCR n'est pas exclu non plus. Surtout quand on connaît le nombre de faux positifs au test PCR.
- Votre test de dépistage du coronavirus est positif. Peut-être qu'il ne devrait pas l'être : "Jusqu'à 90 % des personnes testées positives ne portaient pratiquement pas de virus" (New York Times)
- L'OMS admet (enfin) que le test PCR est potentiellement défectueux. Il s'agit de la 2ème note en 2 mois jetant encore plus de doutes sur la mesure phare du diagnostic de la Covid (Off-Guardian)
- Pourquoi l'OMS et nombre de médias grand public évoquent-ils enfin l'importance des faux positifs liés aux tests censés détecter le Sras-Cov-2 ? (Vidéos)
- Covid-19 : « Des biais amplifient artificiellement le nombre de cas positifs et faussent la perception de la gravité de l’épidémie » (Le Monde)
- Selon la Dre Astrid Stuckelberger, ancienne experte à l'OMS: "l'OMS avoue qu'il n'y a pas de surmortalité en général"; "Si vous retirez le test PCR et mettez en place un test antigénique, le taux d'infection s'effondre" (Vidéos)
- Canard enchaîné Covid-19. Ces tests qui fabriquent de faux malades (Le Canard enchaîné)
- Off Guardian L'OMS admet (enfin) que les tests PCR créent des faux positifs (Off Guardian)
- Le Monde Covid-19 : « Des biais amplifient artificiellement le nombre de cas positifs et faussent la perception de la gravité de l’épidémie » (Le Monde)
- Off Guardian L'OMS confirme (accidentellement) que la Covid n'est pas plus dangereuse que la grippe
- SLT Big Fake News internationale sur les "cas de Covid".

Compte tenu du nombre de faux positifs au test PCR et du diagnostic de pneumopathie bactérienne sous-jacente chez une personne âgée, il n'est donc pas impossible qu'il soit mort d'une pneumonie indépendamment de la Covid. Les médias grand public semblent faire leur choux gras de cet exemple pour justifier les mesures coercitives sanitaires (confinement, vaccination de masse) mais son décès pourrait être tout simplement lié à une pneumopathie bactérienne beaucoup plus mortelle que la Covid notamment chez les personnes âgées.

Lire aussi :
- Chicago Tribune Column: Why the British hero Captain Tom Moore mattered so much, dead now from pneumonia and coronavirus

De l'art de rebaptiser des décès liés à d'autres maladies sous le terme "Covid" à partir de tests dont les taux de faux positif ont été la source de condamnation par la justice de certains pays ?
- La Cour d'appel portugaise juge que les tests PCR ne sont pas fiables et lève la quarantaine (Corodok.de)
- « Le test PCR va au tribunal » : au Portugal, mais aussi en Allemagne et dans de nombreux pays (France Soir)

Enfin, selon le NHS, il aurait contracté la Covid en étant à l'hôpital alors qu'il a été admis pour une pneumonie. Le "NHS, qui a traité le capitaine Tom Moore pour une pneumonie, a admis lors d'une réunion du conseil d'administration qu'une "proportion significative" de ses patients atteints de Covid ont attrapé le virus à l'hôpital."
- Daily Mail The NHS trust that treated Captain Tom Moore for pneumonia admitted in a board meeting that a 'significant proportion' of its Covid patients caught the virus in hospital.

A noter que lorsque les personnes âgées atteintes de comorbidités décèdent après avoir été vaccinées, les autorités et les médias considèrent que la mort est liée aux affections comorbides. Il semble que pour la Covid, cela soit tout le contraire, les comorbidités sont effacées au profit de la Covid. Sans doute par principe de précaution ?
- Vaccin anti-Covid. Pas de décès mentionnés par l'ANSM dans son point de situation sur la période du 23.01.21 au 29.01.21 / 59 décès sont toutefois évoqués dans le rapport du 5.02.21 mais non liés au vaccin selon l'ANSM

Voici un article du Daily Expose qui soulève le problème du diagnostic différentiel dont la portée n'aura échappé à personne :

Le capitaine Tom est à l'hôpital à cause d'une pneumonie... qu'il a depuis trois semaines... PAS à cause de la Covid !
Article originel : Captain Tom in hospital due to Pneumonia… which he’s had for three weeks… NOT Covid!
Daily Expose, 1.02.21

Le capitaine Tom est à l'hôpital à cause d'une pneumonie... qu'il a eue pendant trois semaines... PAS de la Covid !
Par The Daily Expose le 1 février 2021 - ( Laissez un commentaire )

Presque tous les grands journaux et chaînes d'information ont annoncé que le capitaine Tom Moore avait été hospitalisé avec la Covid-19. Ils vous mentent.

Le capitaine Tom Moore est hospitalisé, mais il est traité pour une pneumonie dont il souffre depuis trois semaines. Mais bien sûr, le grand public a sauté sur l'occasion pour crier qu'il est traité pour le Covid-19 car il aurait reçu un test positif pour le SRAS-CoV-2 la semaine dernière.

La famille du capitaine Tom a publié une déclaration qui dit : "Je voulais informer tout le monde qu'aujourd'hui mon père a été admis à l'hôpital. Au cours des dernières semaines, il a été traité pour une pneumonie et la semaine dernière, il a été testé positif pour le Covid-19. Il est resté à la maison avec nous jusqu'à aujourd'hui où il a eu besoin d'une aide supplémentaire pour sa respiration. Il est soigné dans un service bien qu'il ne soit pas en soins intensifs. Les soins médicaux qu'il a reçus ces dernières semaines ont été remarquables et nous savons que le merveilleux personnel de l'hôpital de Bedford fera tout son possible pour le mettre à l'aise et, espérons-le, le ramener chez lui dès que possible. Nous comprenons que tout le monde lui souhaite bonne chance. Nous nous concentrons bien sûr sur mon père et nous vous tiendrons au courant dès que nous le pourrons".

Même sa propre fille a dit au monde entier qu'il souffrait d'une pneumonie ces trois dernières semaines, mais bien sûr, les grands médias et les fanatiques de la quarantaine ont sauté sur l'occasion pour accuser la Covid-19 après que la fille ait déclaré à tort qu'il avait été testé positif à la Covid-19.

Personne n'a été testé positif pour la Covid-19. Ce qui est positif, c'est le SRAS-CoV-2 (bien que même cela soit discutable). Le SRAS-CoV-2 étant le virus, la Covid-19 étant la prétendue maladie qui peut résulter de l'infection par le SRAS-CoV-2. Le capitaine Tom n'a donc pas été testé positif pour la Covid-19, mais pour le Sras-Cov-2, trois semaines après avoir commencé à souffrir d'une pneumonie.

Et avant que tout le monde commence et dise que le Capitaine Tom souffre d'une pneumonie due à la Covid-19, nous vous suggérons de réfléchir à nouveau. Sa famille a admis que "à cause des médicaments qu'il prenait pour sa pneumonie, il ne pouvait pas avoir le vaccin Covid". Le médicament en question étant des antibiotiques, les antibiotiques ne sont utilisés que pour traiter une infection bactérienne.

Ce qui signifie que sa pneumonie est le résultat d'une infection bactérienne, sachant que le SRAS-CoV-2 n'est pas une bactérie, mais un virus.

Ce qui soulève d'importantes questions.

Si le capitaine Tom a une pneumonie, il souffrait probablement de symptômes similaires que les autorités ont définis comme des symptômes communs de la Covid-19 ? Alors pourquoi a-t-il fallu trois semaines pour qu'il soit testé ?

Si le capitaine Tom souffre d'une pneumonie bactérienne, comment diable a-t-il réussi à être testé positif pour le SRAS-CoV-2 trois semaines plus tard ? L'a-t-il attrapé dans un hôpital ? De ses soignants ? De sa famille ? Ou est-il simplement un autre faux positif dû au manque de fiabilité du test PCR utilisé pour tester le prétendu virus ?

Quoi qu'il en soit, nous ne le saurons probablement jamais, mais une chose est sûre, sa maladie et ses conséquences seront utilisées par les autorités et les grands médias pour faire avancer leur programme et garantir que le public docile se conforme à la tyrannie dictatoriale qu'ils ont instaurée dans la vie de chacun.

Traduction SLT

A noter également le fact-checking, en partie bidon, de Reuters intitulé "Fact check: False claims about fundraiser Captain Tom Moore" ("Vérification des faits : Fausses déclarations concernant le collecteur de fonds, le Capitaine Tom Moore) qui prétend que les tests PCR sont fiables alors que l'OMS (références plus bas) pour la deuxième fois vient d'avertir du risque de faux positifs et a demandé à ce que les laboraoires utilisant les tests abaissent le seuil de cycle d'amplification des tests pour éviter le taux élevé de faux positifs.

Secondly, the claim that PCR tests are “not fit for purpose” is not supported by evidence. A spokesperson for Public Health England previously told Reuters: “Molecular diagnostic tests, such as real-time PCR, are the gold standard methods for identifying individuals with an active viral infection, such as SARS-CoV-2 (the cause of COVID-19 disease), in their respiratory tract. These tests are rapid and produce results in real-time.” Reuters has investigated other false statements about COVID-19 tests here , here , here and here .
(Reuters 3.02.21 "Fact check: False claims about fundraiser Captain Tom Moore").

Traduction : "Deuxièmement, l'affirmation selon laquelle les tests PCR ne sont "pas adaptés à l'usage" n'est pas étayée par des preuves. Un porte-parole de Public Health England l'a déjà dit à Reuters : "Les tests de diagnostic moléculaire, tels que la PCR en temps réel, sont les méthodes de référence pour identifier les personnes atteintes d'une infection virale active, telle que le SRAS-CoV-2 (la cause de la maladie COVID-19), dans leurs voies respiratoires. Ces tests sont rapides et produisent des résultats en temps réel". Reuters a enquêté sur d'autres fausses déclarations concernant les tests COVID-19 ici , ici , ici et ici ."

L'équipe des fact-checker de Reuters ne semble visiblement pas au courant que l'OMS a envoyé une mise en garde à deux reprises sur le caractère erroné des résultats de ces tests dans un certain nombre d'utilisation. L'OMS a signalé que, dans un certain nombre de cas, les tests n'étaient pas adaptés à l'usage. Reuters prétend que ces tests sont adaptés à l'usage en raison de soit disant éléments fondés sur des preuves mais élude le taux de faux positifs qui altèrent la crédibilité des résultats des tests, information pourtant soulignée par l'OMS :
- Off Guardian 26.01.21 L'OMS admet (enfin) que le test PCR est potentiellement défectueux. Il s'agit de la 2ème note en 2 mois jetant encore plus de doutes sur la mesure phare du diagnostic de la Covid (Off-Guardian)
- SLT 22.01.21 Dans un contexte de vaccination anti-Covid de masse, l'OMS réitère son avertissement quant au risque de faux positifs avec les tests RT-PCR
- Off Guardian 18.12.20 L'OMS admet (enfin) que les tests PCR créent des faux positifs (Off Guardian)

Selon la Professeure Briand de la Johns Hopkins University, après avoir étudié les données des CDC étatsuniens en 2020 (cf plus bas), le nombre de décès chez les personnes âgées aux Etats-Unis n'a pas augmenté mais il y a eu un reclassement des décès liés à d'autres maladies comme étant liés à la Covid :
"Il est intéressant de noter que, comme le montre le tableau ci-dessous, la diminution totale des décès par d'autres causes est presque exactement égale à l'augmentation des décès par la COVID-19. Cela suggère, selon Briand, que le nombre de décès par COVID-19 est trompeur. Briand pense que les décès dus aux maladies cardiaques, aux maladies respiratoires, à la grippe et à la pneumonie peuvent avoir été plutôt reclassés comme étant dus à la COVID-19..."

- Selon un article de la Johns Hokpins University News-Letter, la Covid-19 n'a pas augmenté le pourcentage des décès des personnes âgées ni le nombre total des décès aux USA en 2020. L'article a depuis été retiré du site web (Vidéo)

Selon de nouvelles données, les États-Unis se classent actuellement au premier rang pour le nombre total de cas de la COVID-19, le nombre de nouveaux cas par jour et le nombre de décès. Geneviève Briand, directrice adjointe du programme de maîtrise en économie appliquée à Hopkins, a analysé de manière critique l'effet de la COVID-19 sur les décès aux États-Unis en utilisant les données des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) dans son webinaire intitulé "COVID-19 Deaths" : A Look at U.S. Data" (Décès de la COVID-19 : un regard sur les données étatsuniennes).

De la mi-mars à la mi-septembre, le nombre total de décès aux États-Unis a atteint 1,7 millions, dont 200 000, soit 12 % du total des décès, sont liés à la COVID-19. Au lieu d'examiner directement les décès liés à la COVID-19, Briand s'est concentré sur le nombre total de décès par groupe d'âge et par cause de décès aux États-Unis et a utilisé ces informations pour faire la lumière sur les effets de la COVID-19.

Elle a expliqué que l'importance de la COVID-19 sur les décès aux États-Unis ne peut être pleinement comprise que par comparaison avec le nombre total de décès aux États-Unis.

Après avoir récupéré les données sur le site web du CDC, Briand a compilé un graphique représentant les pourcentages de décès totaux par catégorie d'âge de début février à début septembre, ce qui inclut la période allant d'avant la détection de la COVID-19 aux États-Unis jusqu'à après la montée en flèche des taux d'infection.

Il est surprenant de constater que les décès des personnes âgées sont restés les mêmes avant et après la COVID-19. Étant donné que la COVID-19 touche principalement les personnes âgées, les experts s'attendaient à une augmentation du pourcentage de décès dans les groupes d'âge plus avancés. Cependant, cette augmentation ne ressort pas des données des CDC. En fait, les pourcentages de décès dans toutes les tranches d'âge restent relativement les mêmes.

"La raison pour laquelle nous avons un nombre plus élevé de décès liés à la COVID-19 déclarés chez les personnes âgées que chez les jeunes est simplement que chaque jour aux États-Unis, les personnes âgées meurent en plus grand nombre que les jeunes", a déclaré Briand.

Briand a également noté que 50.000 à 70.000 décès sont observés à la fois avant et après la COVID-19, ce qui indique que ce nombre de décès était normal bien avant l'apparition de la COVID-19. Par conséquent, selon Briand, non seulement la COVID-19 n'a eu aucun effet sur le pourcentage de décès des personnes âgées, mais il n'a pas non plus augmenté le nombre total de décès.

Ces analyses de données suggèrent que, contrairement aux hypothèses de la plupart des gens, le nombre de décès par COVID-19 n'est pas alarmant. En fait, il n'a relativement pas d'effet sur les décès aux États-Unis.

Cela est un choc pour beaucoup de gens. Comment se fait-il que les données soient si éloignées de notre perception ?

Pour répondre à cette question, Briand s'est concentrée sur les décès par cause entre 2014 et 2020. Il y a une augmentation soudaine des décès en 2020 due à la COVID-19. Ce n'est pas une surprise car la COVID-19 est apparue aux États-Unis au début de 2020, et donc les décès liés à COVID-19 ont augmenté de façon drastique par la suite.

L'analyse des décès par cause en 2018 a révélé que le schéma de l'augmentation saisonnière du nombre total de décès est le résultat de l'augmentation des décès toutes causes confondues, les trois premières étant les maladies cardiaques, les maladies respiratoires, la grippe et la pneumonie.

"Cela est vrai chaque année. Chaque année aux États-Unis, lorsque nous observons les hauts et les bas saisonniers, nous constatons une augmentation des décès toutes causes confondues", a souligné Briand.

Lorsque Briand a examiné les données de 2020 pendant cette période saisonnière, les décès liés à la COVID-19 ont dépassé les décès dus aux maladies cardiaques. C'était très inhabituel puisque les maladies cardiaques ont toujours été la principale cause de décès. Cependant, en examinant de plus près les chiffres des décès, elle a noté quelque chose d'étrange. En comparant le nombre de décès par cause au cours de cette période, de 2020 comparativement à 2018, Briand a remarqué qu'au lieu de l'augmentation drastique attendue pour toutes les causes, il y avait une diminution significative des décès dus aux maladies cardiaques. Plus surprenant encore, comme le montre le graphique ci-dessous, cette baisse soudaine du nombre de décès est observée pour toutes les autres causes.

Le graphique représente le nombre de décès par cause au cours de cette période en 2020 comparativement à 2018.

Cette tendance est tout à fait contraire à celle observée au cours de toutes les années précédentes. Il est intéressant de noter que, comme le montre le tableau ci-dessous, la diminution totale des décès par d'autres causes est presque exactement égale à l'augmentation des décès par la COVID-19. Cela suggère, selon Briand, que le nombre de décès par COVID-19 est trompeur. Briand pense que les décès dus aux maladies cardiaques, aux maladies respiratoires, à la grippe et à la pneumonie peuvent avoir été plutôt reclassés comme étant dus à la COVID-19.

Le graphique illustre la diminution totale des décès par diverses causes, y compris la COVID-19.

Le CDC a classé tous les décès liés à la COVID-19 simplement comme des décès COVID-19. Même les patients qui meurent d'autres maladies sous-jacentes mais qui sont infectés par la COVID-19 comptent comme des décès COVID-19. C'est probablement la principale explication de l'augmentation drastique des décès par COVID-19 alors que les décès par toutes les autres maladies ont connu une diminution significative.

"Tout cela ne prouve en rien que la COVID-19 a créé un excès de décès. Le nombre total de décès n'est pas supérieur au nombre de décès normal. Nous n'avons trouvé aucune preuve du contraire", a conclu Briand.

Dans une interview avec The News-Letter, Briand a abordé la question de savoir si les décès dus à la COVID-19 peuvent être qualifiés de trompeurs puisque l'infection pourrait avoir exacerbé et même entraîné des décès dus à d'autres maladies sous-jacentes...

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