Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Le directeur de l'OMS accusé d'avoir fait partie d'une organisation terroriste à l'idéologie génocidaire et suspectée de crimes contre l'humanité

par SLT 25 Avril 2020, 13:14 Tedros Coronavirus OMS Crimes contre l'humanité Allégations Génocide Bill Gates Collaboration TPLF Ethiopie USA Articles de Sam La Touch

   "Tedros est vraiment une personne exceptionnelle. Je le connais depuis qu'il a été ministre de la santé en Éthiopie. L'OMS a très bien réussi sous sa direction" Dr Fauci, responsable du NIAID aux Etats-Unis lors d'une conférence à la Maison blanche.

 

Dr.Fauci praising Dr. Tedros Adhanom, Ethiopian WHO Director General Tedros Adhanom Ghebreyesus is an Ethiopian politician and academic who has been Director-General of the World Health Organization since 2017

Le 23 mai 2017, Tedros Adhanom Ghebreyesus a été élu directeur général de l'Organisation mondiale de la santé lors de la 70e Assemblée mondiale. Il s'agit du premier non médecin prenant la tête de cette instance. Toutefois, Tedros Adhanom Ghebreyesus est titulaire d'une licence en biologie de l'université d'Asmara en Érythrée et d'un doctorat en santé communautaire de l'université de Nottingham au Royaume-Uni, avant d'être promu au poste de ministre de la santé en Ethiopie en 2005, puis comme ministre des affaires étrangères de 2012 à 2016. De 2009 à 2011, Tedros Ghebreyesus a également été le directeur du Fonds mondial, un programme de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme, initié par la Fondation Bill & Melinda Gates, ainsi que le chef du Conseil de coordination du programme de l'ONUSIDA. Selon Healthimpact News, il a été membre du conseil de l'Alliance GAVI pour l'immunisation, financée par Bill Gates. Il était en outre étroitement associé à la Fondation Clinton et à la Clinton AIDS Initiative (CHAI). Certains considèrent que la proximité des liens indirects entre Tedros et Bill Gates (principal financier privé de l'OMS), aurait facilité son accession à la tête de l'OMS malgré de nombreuses critiques à son égard envers son passé de décideur et responsable politique en Ethiopie. Selon Wikipedia, il a été un membre de l’organisation communiste révolutionnaire éthiopienne,Tigray People’s Liberation Front (TPLF ou  Front de libération du peuple du Tigré). Il fut même membre du bureau politique. Il s'agit d'une organisation controversée inscrite dans la liste des organisations terroristes du US Homeland Security :

"Le TPLF est un groupe politique fondé en 1975 en Éthiopie, en tant que groupe d'opposition.  Le TPLF s'est engagé dans un conflit armé prolongé avec le gouvernement éthiopien, qu'il a réussi, avec d'autres groupes, à renverser en 1991.  Le TPLF a ensuite rejoint le Front démocratique révolutionnaire du peuple éthiopien (EPRDF), une coalition politique qui est devenue la coalition gouvernementale en Éthiopie.  L'EPRDF continue de contrôler le gouvernement éthiopien.  Le TPLF est considéré comme une organisation terroriste de niveau III en vertu de la section 212(a)(3)(B)(vi)(III) de l'INA, en raison de ses activités violentes avant qu'il ne fasse partie de la coalition au pouvoir et du gouvernement éthiopien en mai 1991. La section 212(a)(3)(B) de l'INA rend inadmissible et inéligible à la plupart des prestations d'immigration un étranger qui se livre à une activité terroriste avec une organisation qui, au moment de l'interaction, était une organisation terroriste..."

Le TPLF a été responsable entre 1976 et 2018 d'attentats à la bombe, d'enlèvements et d'assassinats selon une base de donnée étatsunienne du USCIS.

GTD ID DATE COUNTRY CITY PERPETRATOR GROUP FATALITIES INJURED TARGET TYPE REGION ATTACK TYPE WEAPON TYPE
201805120045 2018-05-12 Ethiopia Werder Tigray Peoples Liberation Front (TPLF) Unknown Unknown Private Citizens & Property Sub-Saharan Africa Hostage Taking (Kidnapping) Unknown
201704200032 2017-04-20 Ethiopia Gonder Unknown 0 0 Violent Political Party Sub-Saharan Africa Bombing/Explosion Explosives/Bombs/Dynamite
201701180016 2017-01-18 Ethiopia Metema Unknown 0 0 Violent Political Party Sub-Saharan Africa Bombing/Explosion Explosives/Bombs/Dynamite
201608260003 2016-08-26 Ethiopia Bure Tigray Peoples Liberation Front (TPLF) 1 3 Private Citizens & Property Sub-Saharan Africa Armed Assault Firearms
201004250003 2010-04-25 Ethiopia Adi Haro Unknown 5 20 Business Sub-Saharan Africa Bombing/Explosion Explosives/Bombs/Dynamite
200711020016 2007-11-02 Ethiopia Dolo Al-Shabaab 100 Unknown Military Sub-Saharan Africa Bombing/Explosion Explosives/Bombs/Dynamite
200209110002 2002-09-11 Ethiopia Addis Ababa Unknown 1 37 Business,Private Citizens & Property Sub-Saharan Africa Bombing/Explosion Explosives/Bombs/Dynamite
199008020002 1990-08-02 Ethiopia Kobo district Tigray Peoples Liberation Front (TPLF) 17 0 Religious Figures/Institutions Sub-Saharan Africa Armed Assault Firearms
198802180001 1988-02-18 Ethiopia Unknown Tigray Peoples Liberation Front (TPLF) 0 0 Private Citizens & Property,NGO Sub-Saharan Africa Hostage Taking (Kidnapping) Firearms
198410190003 1984-10-19 Ethiopia Lalibela Tigray Peoples Liberation Front (TPLF) 200 200 Private Citizens & Property Sub-Saharan Africa Hostage Taking (Barricade Incident) Unknown
198308030001 1983-08-03 Ethiopia Jari Tigray Peoples Liberation Front (TPLF) 0 0 NGO Sub-Saharan Africa Hostage Taking (Kidnapping) Unknown
198304200006 1983-04-20 Ethiopia Korem Tigray Peoples Liberation Front (TPLF) Unknown Unknown NGO,NGO,NGO Sub-Saharan Africa Hostage Taking (Kidnapping) Unknown
197905020020 1979-05-02 Ethiopia Workamba Tigray Peoples Liberation Front (TPLF) 100 0 Private Citizens & Property Sub-Saharan Africa Unknown Unknown
197905020019 1979-05-02 Ethiopia Aksum Tigray Peoples Liberation Front (TPLF) Unknown Unknown Private Citizens & Property Sub-Saharan Africa Armed Assault Unknown,Unknown
197904120008 1979-04-12 Ethiopia Kerene Eritrean Liberation Front Unknown Unknown Airports and Aircraft Sub-Saharan Africa Armed Assault Firearms
197811000005 1978-11-00 Ethiopia Unknown Tigray Peoples Liberation Front (TPLF) 0 0 Business Sub-Saharan Africa Hostage Taking (Kidnapping) Unknown
197704250002 1977-04-25 Ethiopia Mekele Eritrean Liberation Front 3 Unknown Airports and Aircraft Sub-Saharan Africa Hijacking Firearms
197607250001 1976-07-25 Ethiopia Unknown Tigray Peoples Liberation Front (TPLF) 0 0 Journalists & Media Sub-Saharan Africa Hostage Taking (Kidnapping) Unknown
197605000003 1976-05-00 Ethiopia Unknown Tigray Peoples Liberation Front (TPLF) 0 0 Private Citizens & Property Sub-Saharan Africa Hostage Taking (Kidnapping) Unknown
 

Cette organisation a été accusée de porter une idéologie génocidaire. Le Tigray People’s Liberation Front (TPLF) est une organisation ethnique (ethnie des Tigrés qui représente 4,3 % de la population érythréenne) qui dans un manifeste de 1975 a déclaré une « guerre éternelle » contre les populations voisines principalement les ethnies Amhara et Oromo qui représentent respectivement 32,1 % et 30,2 % de la population érythréenne.

Selon Satenews: "ancien bras droit du tyran Meles Zenawi, qu'Adhanom appelle le "grand chef", il n'était pas un ministre de la santé (2005-2012) ni un ministre des affaires étrangères (2012-2016) ordinaire. Il est passé de membre de la base du TPLF à son comité central et à son comité exécutif. Le TPLF, dont l'appartenance est principalement basée sur l'origine ethnique, est responsable d'innombrables assassinats, de tortures, de détentions massives et de répressions violentes".

 

De plus, l'Union professionnelle des Amhara (APU), accuse Tedros  d'avoir mené une véritable politique génocidaire en tant que ministre de la santé éthiopien. Ces informations ont refait surface en 2017 quand il a candidaté pour le poste de directeur de l'OMS. Il fut accusé par ses adversaires politiques "d'avoir été impliqué dans la violence génocidaire systématique et les violations flagrantes des droits de l'homme, y compris, mais sans s'y limiter, les détentions arbitraires et les exécutions extrajudiciaires en Ethiopie".


Selon HealthImpact News : "...le groupe ethnique Amhara a perdu plus de 2,5 millions de personnes entre les recensements de 1997 et 2007. Alors que les autres grands groupes ethniques ont connu une croissance annuelle moyenne de 2,6 %, les Amharas ont connu une croissance démographique plus lente, avec seulement 1,9 %.

Ils n'ont pas bénéficié des mêmes services de santé et n'ont pas reçu les mêmes ressources que la population dominante du Tigré, à l'exception d'un programme, une campagne de contraception pour laquelle les Amhara semblent avoir été en tête de liste. La population du Tigré bénéficiait d'une couverture sanitaire 5 fois supérieure en termes d'infrastructures et de nombre de prestataires de soins.

En revanche, la population de l'Amhara avait une utilisation beaucoup plus importante de contraceptifs injectables, tels que le Dep-Provera (19% Tigré, 29% Amhara) tout en recevant globalement moins d'informations sur la planification familiale et les méthodes contraceptives (le Tigré recevait 2 à 3 fois plus d'informations à la télévision, à la radio et dans la presse écrite).

Le Depo-Provera est un produit très controversé qui a reçu un avertissement aux États-Unis pour une incidence accrue de l'ostéoporose et un risque élevé de cancer du sein.

Mais il a également été associé à une augmentation des cas de sida et à des difficultés à retrouver la fertilité après une utilisation prolongée, deux conditions qui semblent également prévaloir au sein de la population amhara. L'APU a accusé le gouvernement éthiopien de discrimination raciale en poussant l'utilisation de la Depo sur leur femme sans leur consentement éclairé.

Selon un autre rapport "Depo-Provera Deadly Reproductive Violence Against Woman", le planning familial qui promeut ce médicament en Afrique s'engage dans des politiques de discrimination de fait, en faisant de fausses déclarations sur les effets du produit et en omettant d'informer les femmes sur ses dangers et ses effets secondaires.

Ces produits ont été limités, voire interdits en Europe et aux États-Unis, mais ils sont toujours inclus dans le planning familial de l'OMS et dans des programmes tels que le FP2020, soutenu et dirigé par la Fondation Bill et Melinda Gates.

Cela a suscité de vives critiques de la part de groupes de santé et des défenseurs des droits de l'homme.".

Le Centre pour la famille et la défense des droits de l'homme de New-York a fait part sur son site (C-fam) des critiques en 2015 (Tedros n'était pas encore membre de l'OMS) de l'association HIV/AIDS and women’s health advocates envers un récent rapport publié par l'Organisation mondiale de la santé (OMS) sur la sécurité d'un contraceptif controversé préconisé par la Fondation Gates : "Le Depo-Provera est un contraceptif à longue durée d'action distribué aux femmes pauvres aux États-Unis et par le biais de programmes d'aide à l'étranger. "Le contrôle de la population est malheureusement de nouveau en vogue", écrivait Betsy Hartmann qui réagissait au revirement de politique de l'OMS sur le Depo-Provera, également connu sous le nom de DMPA".

Alors que l’administration Trump décidait de cesser de financer le Fonds des Nations unies pour la population ainsi que les organismes qui « exécutent ou fournissent des incitations à l’avortement », à Londres en 2017, Tedros Adhanom Ghebreyesus promit de « défendre personnellement la question des droits sexuels et reproductifs comme une priorité absolue » selon Reuters. Tedros Adhanom Ghebreyesus a convergé sur les lignes de la fondation Bill et Melinda Gates qui préconisait la contraception comme une mesure majeure de lutte contre la pauvreté. Selon Melinda Gates, les contraceptifs sont "l'une des plus grandes innovations anti-pauvreté que le monde ait jamais connues", elle appelait à faire du planning familial une priorité mondiale tout comme son mari appelait lors d'un forum de TED en 2010 à utiliser le contrôle des naissances, un meilleur développement des services de santé et les vaccins pour faire diminuer la croissance de la population dans le monde afin de faire diminuer l'émission de CO2 de la planète et limiter le réchauffement climatique.

Enfin si l'on en revient à l'actuel directeur de l'OMS, il lui a été reproché en tant qu'ancien ministre des Affaires étrangères (2012-2016) d'avoir participé à l'arrestation d'un certain nombre de dissidents éthiopiens au Yemen :
"Andargachew Tsege, un citoyen britannique d'origine éthiopienne,... qui était l'une des figures clés du mouvement populaire pour le changement et la démocratie en Ethiopie en 2005, avait déjà été condamné à mort par contumace à deux reprises en 2009 et 2012. En tant que chef de la délégation, Tedros Adhanom a mené les négociations avec l'ancien ministre yéménite des affaires étrangères Abubeker Al Qirbi et les responsables de la sécurité, dont le général de brigade Abdou Hussein al-Tarb. Avant son retour, il s'est rendu au palais présidentiel pour discuter de la question avec le président Abdrabbuh Mansour Hadi. Le 15 mai, Adhanom a tweeté : "Nous venons de conclure la réunion ministérielle conjointe entre le Yémen et l'Éthiopie à Sénaïa [sic]. Nous avons signé 9 accords".

L'une des sources, l'ancien responsable de la sécurité Ayalew Meshesha, affirme qu'Adhanom n'a pas seulement été impliqué dans la facilitation de l'enlèvement de Tsege, mais a également joué un rôle actif dans la restitution de plus de 760 dissidents qui ont fui au Yémen. Meshesha affirme que la plupart des personnes remises par les Yéménites aux agents de sécurité du TPLF ont été arrêtées plusieurs mois avant l'enlèvement de Tsege.

"La plupart des personnes restituées étaient des Oromo et des Somaliens éthiopiens soupçonnés d'être des sympathisants de l'OLF et de l'ONLF", a déclaré Meshesha, qui a fui aux États-Unis il y a quelques années."

Les articles du blog subissent encore les fourches caudines de la censure cachée via leur déréférencement par des moteurs de recherche tels que Yahoo, Qwant, Bing, Duckduckgo. Pour en avoir le coeur net, tapez le titre de cet article dans ces moteurs de recherche (plus de 24h après sa publication), vous remarquerez qu'il n'est pas référencé si ce n'est par d'autres sites qui ont rediffusé notre article.
- Contrairement à Google, Yahoo & Co boycottent et censurent les articles de SLT en les déréférençant complètement !
- Les articles de SLT toujours déréférencés sur Yahoo, Bing, Duckdukgo, Qwant.
- Censure sur SLT : Les moteurs de recherche Yahoo, Bing et Duckduckgo déréférencent la quasi-totalité des articles du blog SLT !

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :

Haut de page