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Les tests de détection du Covid-19 sont peu spécifiques : des chats, des chiens, des lions sont détectés positifs alors qu'il pourrait s'agir d'autres coronavirus anodins

par SLT 23 Avril 2020, 21:00 Test Coronavirus Chats Chiens Détection Articles de Sam La Touch

Certains de vos bons médias vous ont rapporté des cas de coronavirus chez les animaux : des chats, des chiens, des singes, des lions de zoo sont positifs selon les tests censés détectés le Covid-19. Certains sont allés jusqu'à appeler au confinement des animaux domestiques (pour les protéger), en évoquant le fait qu'il pourrait s'agir de cas de Covid-19 transmis aux animaux par l'homme.

Two Cats Test Positive For Coronavirus: How To Keep Your Pets Safe | NBC Nightly News Experts now believe animals can get the virus from humans, but say there is little risk of humans getting coronavirus from their pets.

Toutefois, ils se sont bien gardés d'alléguer que les animaux pourraient le transmettre aux hommes car cela aurait pu mener à un génocide canin et félin connaissant l'aliénation et la panique profonde que l'on peut transmettre aux cerveaux disponibles au travers d'une propagande massive et malsaine frisant l'overdose létale.

Or, en fait, il semble bel et bien que le test qui détecte le Covid-19 est peu spécifique et détecte toutes les autres formes de Coronavirus que l'on retrouve chez de nombreux animaux qui n'ont rien à voir avec le Covid-19 et sont inoffensifs pour l'homme.

 

The Conversation rappelle que "les « coronavirus » représentent en fait un grand nombre de virus à couronne différents, parfois très fréquents, et que l’on retrouve chez beaucoup d’espèces animales. Le chat possède ses propres coronavirus, certains étant très virulents voire mortels, comme le coronavirus entérique félin (FECV) ou le virus de la péritonite infectieuse féline, PIF pour les intimes (FIPV). Ces virus félins ne sont contagieux que pour les chats. De la même façon, certains autres coronavirus sont spécifiques à d’autres espèces".

 

Sur son blog, le Dr Wolfgang Wodarg met clairement en cause la spécificité des tests de détection du Covid-19 dans un billet intitulé "Die Katze ist aus dem Sack!" ("Le chat est sorti du sac").

En voici notre traduction :

"Déjà à la mi-février 2020, j'avais recommandé de tester la validité du test de Drosten avec une méthode très simple : "Pourquoi ne pas tester votre chat ?" Si le test réagit également de manière positive chez les animaux, il est alors positif pour de nombreux virus qui ne sont pas importants pour l'homme et ne vaut pas la peine d'être évalué comme un danger pour la santé humaine.

Aujourd'hui, lorsque, après les tigres, les chiens et les lions à New York, deux chats domestiques ont été détectés positifs, les responsables et leurs "contrôleurs de faits" doivent prendre une décision : Veulent-ils continuer à écouter les contes de Drosten et ruiner le pays, ou voient-ils enfin qu'ils s'empêtrent dans des contradictions, se perdent de plus en plus et se rendent ridicules ?

La grippe sacrée est terminée ! Le joyeux mois de mai arrive !

Nous pourrions encore en rire ensemble plus tard. C'est pourquoi de plus en plus de personnes demandent à juste titre à tous les responsables du gouvernement et de l'opposition : d'éviter de nouveaux dégâts et de nouvelles souffrances par la contrainte insensée des masques, la distanciation sociale, la fermeture des écoles et des garderies, le climat de délation, l'interdiction du football, des événements culturels, des fêtes ou des plages. Nous ne devons et ne voulons pas nous habituer à cette "nouvelle normalité". Mais si vous voulez nous vacciner (contre quoi ?), il n'y a plus de raison d'en rire".


Il se pourrait en effet que certains tests diagnostics du Covid-19 ne soient pas spécifiques du Covid-19 et détectent tous les coronavirus même les plus anodins et ceux des animaux comme étant du Covid-19. Certaines études évoquent outre le nombre de faux positifs, un nombre de faux négatifs très importants de ces tests.

Une étude publiée dans le Journal of Medical Virology conclut que le test de détection des coronavirus utilisé au niveau international n'est pas fiable : Outre le problème déjà connu des faux résultats positifs, il existe également un taux "potentiellement élevé" de faux résultats négatifs, c'est-à-dire que le test ne répond pas, même chez les personnes symptomatiques, alors que chez d'autres patients, il ne répond qu'une fois et encore. Il est donc plus difficile d'exclure d'autres maladies de type grippal.

 

Certains scientifiques ont évoqué une fausse épidémie qui serait liée à une épidémie de test plutôt qu'à une épidémie de coronavirus.

Un biophysicien suisse a pour la première fois évalué et affiché graphiquement le taux de tests positifs aux États-Unis, en Allemagne et en Suisse. Le résultat montre que le taux de positivité dans ces pays n'augmente que légèrement et pas de manière exponentielle.

Bulletin de surveillance du SWPRS au 12.04.20 sur l'épidémie de coronavirus et la coronapanique (Vidéos)

 

Les derniers chiffres d'un rapport spécial de l'institut allemand Robert Koch montrent que le taux dit positif (c'est-à-dire le nombre de tests positifs par nombre de tests) augmente beaucoup plus lentement que les courbes exponentielles présentées par les médias et n'était que d'environ 10 % à la fin du mois de mars, une valeur assez typique pour le coronavirus. Selon le magazine Multipolar, il ne peut donc être question "d'une propagation dangereusement rapide du virus".


Selon SWPRS, le biophysicien Felix Scholkmann a visualisé le fait qu'aux États-Unis (comme dans le reste du monde), ce n'est pas le nombre de personnes "infectées" qui augmente de façon exponentielle, mais le nombre de tests. Le nombre de personnes "infectées" par rapport au nombre de tests reste fondamentalement constant (oscillant entre 10 et 20%), ce qui va à l'encontre d'une épidémie virale actuelle.
Nombre de tests positifs et négatifs (à gauche) et pourcentage de tests positifs (à droite)

Nombre de tests positifs et négatifs (à gauche) et pourcentage de tests positifs (à droite)

Nombre de tests positifs et négatifs (à gauche) et pourcentage de tests positifs (à droite)

Le test PCR couramment utilisé pour détecter le covid-19 ne semble pas très fiable, et n'est pas non plus conçu comme un outil de diagnostic pour l'identification des virus.

Voilà ce qui en est décrit dans Off Guardian par Ian Davis dans un article intitulé  : - Coronavirus Lockdown and What You Are Not Being Told – Part 2
Traduction SLT : Confinement et coronavirus : ce qu'on ne vous dit pas - Partie 2 (Off Guardian)


"Une étude du département de microbiologie du Queen Mary Hospital de l'université de Hong Kong a révélé des variations importantes dans la précision de la RT-PCR. Elle s'est avérée fiable entre 22 % et 80 % selon la manière dont elle est appliquée. Ce manque général de fiabilité a été confirmé par d'autres études. D'autres études montrent de nettes divergences entre les résultats des tests RT-PCR et les indications cliniques des scanners CT.

La plupart de ces études indiquent que la RT-PCR ne permet pas toujours de détecter le C19 chez les patients symptomatiques, ce que l'on appelle des tests "faux négatifs". Lorsque des chercheurs chinois du département d'épidémiologie et de l'école de biostatistique de la santé publique ont analysé les données des tests RT-PCR de patients asymptomatiques, ils ont également constaté un taux de faux positifs de 80 %.

Après avoir été soumis à un examen par les pairs et publié, l'article a été retiré pour des raisons qui semblent assez bizarres. Il a été retiré de la littérature scientifique parce qu'il "dépendait d'une déduction théorique". Le document ne testait pas une hypothèse expérimentale, il s'agissait d'une analyse épidémiologique des données statistiques disponibles. Toute analyse statistique de ce type repose sur une déduction théorique. La raison invoquée pour le retrait suggère que toute analyse de données est désormais considérée comme complètement inutile.


Il semble que les affirmations scientifiques selon lesquelles les chiffres du C19 sont sous-estimés sont correctes, les affirmations selon lesquelles ils sont surestimés ne le sont pas. Quoi qu'il en soit, qu'il s'agisse de faux négatifs ou de faux positifs, il existe de nombreuses preuves qui remettent en question la fiabilité du test RT-PCR pour diagnostiquer le COVID 19.

Les MSM ont suggéré que le test RT-PCR amélioré peut détecter le virus SRAS-CoV-2 et, en particulier, la quantité de celui-ci dans le système du patient, la charge virale. Il s'agit d'une désinformation.

 

Le scientifique lauréat du prix Nobel qui a conçu la PCR, Karry Mullis, parlant de l'utilisation de la PCR pour détecter le VIH, a déclaré

    "La PCR quantitative est un oxymoron. La PCR est destinée à identifier des substances de manière qualitative, mais de par sa nature même, elle ne convient pas à l'estimation des quantités [charge virale]... Ces tests ne peuvent pas du tout détecter les virus libres et infectieux... Les tests peuvent détecter des séquences génétiques de virus, mais pas les virus eux-mêmes".

Les décès dus au C19 peuvent être enregistrés sans qu'un test diagnostique clairement un quelconque coronavirus, et encore moins le C19. Le décès peut être signé par un médecin qui n'a jamais vu le patient et peut ensuite être enregistré par une personne qui n'a jamais rencontré le défunt et qui n'était pas à proximité de lui au moment de son décès.


Une autre disposition de la loi sur les coronavirus permet ensuite d'incinérer le corps, éventuellement contre la volonté de la famille, ce qui garantit qu'une autopsie de confirmation est impossible, bien qu'il soit peu probable qu'elle soit effectuée de toute façon.

Dire que cela soulève des questions sur les statistiques officielles rapportées est un euphémisme. Les questions n'allèguent en aucun cas une faute médicale ou une négligence. Ni l'une ni l'autre ne sont nécessaires pour qu'il y ait une confusion importante, car le risque de fausse déclaration généralisée des causes de décès semble être un élément essentiel du processus de la Convention de Genève sur la lutte contre la corruption et la criminalité organisée que l'État a mis en place."

Le professeur Klaus Püschel, responsable de la médecine légale à Hambourg, a expliqué à propos du Covid19 : "Ce virus influence notre vie de manière totalement excessive. Cette influence est disproportionnée par rapport au danger que représente le virus. Et les dommages économiques astronomiques qui sont actuellement causés ne sont pas proportionnels au danger posé par le virus. Je suis convaincu que le taux de mortalité du coronavirus ne se traduira même pas par un pic de mortalité annuelle". À Hambourg, par exemple, "pas une seule personne qui n'était pas malade auparavant" n'est morte du virus : "Tous ceux que nous avons examinés jusqu'à présent avaient un cancer, une maladie pulmonaire chronique, étaient de gros fumeurs ou gravement obèses, souffraient de diabète ou avaient une maladie cardiovasculaire. Le virus a été la goutte d'eau qui a fait déborder le vase, pour ainsi dire. "Le Covid-19 n'est une maladie mortelle que dans des cas exceptionnels, mais dans la plupart des cas, il s'agit d'une infection virale essentiellement inoffensive".

En outre, le Dr Püschel a expliqué : "Dans un certain nombre de cas, nous avons également constaté que l'infection à Coronavirus actuelle n'a absolument rien à voir avec l'issue fatale, car d'autres causes de décès sont présentes, par exemple une hémorragie cérébrale ou une crise cardiaque. Le coronavirus en lui-même est une "maladie virale pas particulièrement dangereuse", déclare le médecin légiste. Il plaide pour des statistiques basées sur des résultats d'examens concrets. "Toutes les spéculations sur les décès individuels qui n'ont pas été examinés par des experts ne font qu'alimenter l'anxiété". Contrairement aux directives de l'Institut Robert Koch, Hambourg a récemment commencé à faire la différence entre les décès "avec le" et "par le" coronavirus, ce qui a entraîné une diminution des décès par Covid19.

 

Enfin, rappelons que le British Medical Journal en reprenant les résultats des données chinoises constatent que près de 80% des gens étaient asymptomatiques bien que porteurs du coronavirus.
- British Medical Journal 2.04.20 Covid-19 : 80% des cas sont asymptomatiques, selon les données de la Chine.

 

Rappelons également que selon l'OMS : "La plupart des personnes infectées par le virus COVID-19 souffrent d'une maladie respiratoire légère à modérée et se rétablissent sans nécessiter de traitement spécial"

The great Pandemia Swindle ?

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