Une nouvelle étude suggère que la vaccination rend plus vulnérable à la COVID-19 dans les jours qui suivent l'injection
Article originel : New Study Suggests Vaccination Makes You More Susceptible to COVID-19 in the Days After the Jab
Par Will Jones, 13.03.21
La semaine dernière, Lockdown Sceptics a fait état de deux études qui avaient constaté une augmentation du risque d'infection par la COVID-19 dans la semaine suivant la première dose de vaccin. Une étude du PHE a révélé une augmentation de 48% du risque d'infection dans le groupe des plus de 80 ans, 4 à 9 jours après avoir reçu la première dose du vaccin Pfizer (voir tableau ci-dessous). Et l'autorisation d'utilisation d'urgence de la FDA étatsunienne pour le vaccin Pfizer a révélé une augmentation de 40 % des "suspicions de COVID" au cours de la première semaine suivant la vaccination par rapport au groupe témoin. Comme explication potentielle, les Lockdown Sceptics ont noté que, lors d'essais, il a été constaté que le vaccin Pfizer supprimait le nombre de lymphocytes dans les premiers jours suivant le traitement (voir le tableau ci-dessus), augmentant potentiellement la susceptibilité.
L'étude du PHE révèle une augmentation de 48 % des infections 4 à 9 jours après la vaccination dans le groupe des plus de 80 ans traités avec le vaccin Pfizer à ARNm avant le 4 janvier.
Une nouvelle étude danoise a abouti à des conclusions similaires. En suivant chaque vaccination administrée aux résidents des maisons de retraite, l'étude révèle une augmentation de 40 % du risque d'infection dans les 14 jours suivant la première dose Pfizer (voir le tableau ci-dessous). (En fin de compte, il constate une efficacité du vaccin de 64 % pour les résidents des maisons de retraite une semaine après la deuxième dose).
Une nouvelle étude révèle une augmentation de 40 % du risque d'infection dans les 14 jours suivant la première dose de Pfizer chez les résidents de maisons de retraite au Danemark.
Cela explique-t-il pourquoi de nombreuses épidémies ont été signalées dans des maisons de soins peu après la vaccination ? Cela pourrait-il expliquer pourquoi le Dr Hervé Seligmann a constaté un taux de mortalité élevé chez les personnes vaccinées en Israël ?
Quelqu'un au sein du gouvernement ou de la MHRA pose-t-il ces questions, ne serait-ce que pour exclure tout problème ?
Personnellement, je serais rassuré de voir le taux de mortalité global des personnes vaccinées et non vaccinées au fil du temps. Je ne vois pas pourquoi il ne serait pas courant de collecter et de publier ces données, même s'il semble que ce ne soit pas le cas. Ce serait le moyen le plus direct d'établir s'il existe un problème potentiel qui doit être abordé en ce qui concerne la sécurité des vaccins à court terme ou non.
Le gouvernement publiera-t-il ces données pour nous rassurer ?
Traduction SLT
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