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Le Guardian plagie Goebbels - Propagande fasciste pour mieux salir la Russie (Moon of Alabama)

par Moon of Alabama 18 Mars 2018, 04:36 The Guardian Propagande Russophobie Goebbels Grande-Bretagne Skripal Russie Articles de Sam La Touch

Le Guardian plagie Goebbels - Propagande fasciste pour mieux salir la Russie
Article originel : Guardian Rips-Off Goebbels - Fascist Propaganda For Better Anti-Russian Smears
Moon of Alabama

 

Traduction SLT

Tout récemment, l'organe rothschildien The Economist a dépeint le président russe Poutine comme une pieuvre dangereuse.

Le Guardian plagie Goebbels - Propagande fasciste pour mieux salir la Russie (Moon of Alabama)

L'idée n'était pas du tout originale. La Russie est la cible privilégiée de cette comparaison dénigrante depuis plus d'un siècle.

Le Guardian, qui n'est pas moins russophobe que l'Economist, suit le mouvement à présent.

Le Guardian plagie Goebbels - Propagande fasciste pour mieux salir la Russie (Moon of Alabama)

Le dessin de Steve Bell dans le Guardian, tout comme la couverture de The Economist, fait preuve d'un manque de créativité et d'originalité. La caricature de l'araignée est une arnaque et une copie évidente d'une campagne nazie anti-russe :

Le Guardian plagie Goebbels - Propagande fasciste pour mieux salir la Russie (Moon of Alabama)

La description des archives des notes de l'affiche dit :

    Au début de 1935, les nazis ont déclenché une campagne anti-bolchévique qu'ils ont lancée avec une série d'expositions itinérantes sur les dangers du communisme mondial. Cette affiche provient de l'exposition faite dans la ville de Karlsruhe, la capitale du Land de Baden. Mais son imagerie se retrouve dans presque toutes les affiches de cette exposition.

    Ici, le bolchevisme est représenté comme une énorme araignée rouge, dont la tête est le crâne souriant familier surmonté de l'étoile rouge. Assis en Union soviétique, les pattes de l'araignée peuvent toujours menacer le monde entier.

 

La reprise du Guardian de la propagande nazie de Josef Goebbels a même copié l'étoile rouge associée à l'idéologie communiste. Comme c'est stupide - Poutine et la Russie d'aujourd'hui sont aussi capitalistes que possible.

Le plagiat d'autres pour fomenter le sentiment anti-russe est usuel dans les affaires du Guardian. Son écrivain anti-russe le plus fervent..., Luke Harding, a dû s'excuser publiquement d'avoir volé des passages entiers de l'Exil, un magazine russe en anglais édité par Mark Ames, Yasha Levine et Matt Taibbi. Pour bien rire, regardez cette interview de Real News sur le livre de Harding "Collusion" dans lequel Aaron Maté démonte Harding.

On peut se demander combien The Economist, The Guardian et d'autres médias, écrivains et dessinateurs anti-russes tirent du fonds de 160 millions de dollars que l'administration Obama a budgétisé pour "contrer une augmentation de la propagande russe". Prendre une telle somme d'argent ne serait pas inhabituel. Ce article du Guardian en 2015 sur un fonds de propagande anti-russe de l'Union européenne a été, par exemple, rédigé par la propagande Radio Free Europe/ Radio Liberty (RFE/RL) du gouvernement étatsunien. Un article de propagande du gouvernement étatsunien sur un fonds de propagande de l'UE finit par être publié sur le site du Guardian. Pourquoi pas ? Même le contenu original du Guardian s'aventure rarement hors de la ligne officielle.

Qui aurait pu financer la série d'espionnage anti-russe Strike Back qui est maintenant diffusée en direct à la télévision sous la forme du drame Skripal Novichok ?

L'énorme somme d'argent provenant des dizaines de caisses noires officielles et non officielles aide sans doute à créer beaucoup de bruit anti-russe. Mais pour tout cet argent des contribuables consacré à cette question, pouvons-nous avoir mieux qu'une campagne nazie réchauffée ?

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