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Le commissaire impliqué dans l'enquête sur les attentats contre Charlie Hebdo"se suicide" : black out dans les médias Article originel : Police Commissioner Involved in Charlie Hebdo Investigation “Commits Suicide”. Total News Blackout par Michel Chossudovsky, Global Research.ca Traduction SLT
Le commissaire de police, Helric Fredou, numéro deux du service régional de la police judiciaire de France, de Limoges (Haute-Vienne), "s'est suicidé dans la nuit de mercredi à jeudi au commissariat."
Le commissaire Helric Fredou faisait partie de l'équipe de police qui enquêtait sur les attaques terroristes ayant visé Charlie Hebdo.
Les terroristes présumés, Cherif et Saïd Kouachi, qui ont été abattus par la police le 9 janvier, ont passé leurs années de lycée dans la région de Limoges. Nul doute que cela faisait partie de l'objet de l'enquête de police menée par Fredou. Pourtant, la police et les médias affirment que ce même mercredi, il a participé à une réunion avec la famille de l'une des victimes de Charlie Hebdo.
Mercredi, dans le cadre de l'enquête sur l'attentat contre Charlie Hebdo, il a dépêché une équipe de fonctionnaires de police sous sa juridiction. Il aurait attendu le retour de son équipe pour un débriefing. Immédiatement après le débriefing, il préparait son rapport de police.
Selon les informations données par les médias, il s'est suicidé à environ 1 heures du matin, le jeudi, quelques heures après le débriefing de la police. Il a utilisé son arme de police, un SIG-Sauer pour "se tirer une balle dans la tête".
Au moment de sa mort, la police a prétendu qu'elle ne connaissait pas la raison de son suicide présumé. Cela apparaît dans leurs déclarations officielles aux médias : "Actuellement, nous ne savons pas pourquoi il a agit ainsi".
Cependant, une histoire ancienne semble avoir été évoquée simultanément, probablement des mêmes sources policières, qui ont ensuite déclaré à la presse que Fredou était «déprimé et surchargé de travail». Pour n'importe quel agent des forces de l'ordre en France, il semblerait plutôt étrange que cet agent se dérobe face au plus grand événement terroriste du siècle survenu en France (au XXIème siècle).
"Une autopsie a été pratiquée à l'Hôpital universitaire de Limoges," confirmant le suicide
Cette nouvelle a été quasiment occultée.
Les médias français ont décidé ou ont été chargés de ne pas couvrir l'incident. ces informations étaient-elles indignes d'être couvertes ? Voilà pour "Je suis Charlie" et "la liberté d'expression" dans le journalisme.
De même, les médias occidentaux, y compris la plupart des services de presse majeurs (AP, AFP, Reuters, Deutsche Welle, etc.) n'ont pas couvert la question.
Un article isolé du Parisien présente l'acte de suicide comme étant sans rapport avec l'enquête de Charlie Hebdo.
Bien que décrit comme étant dépressif et souffrant d'un épuisement professionnel, les rapports de police indiquent que le suicide de Helric Fredou était totalement inattendu.
En outre, il est à noter que, selon ces rapports, il s'est suicidé sur son lieu de travail, dans son bureau au commissariat.
S'est-il suicidé ? A-t-il été incité à le faire ?
Ou était-il un «policier honnête» exécuté sur ordre ...?
Son rapport a-t-il été publié ?
Ce sont des questions auxquelles les journalistes français devraient tenter de trouver des éléments de réponse. C'est ce qu'on appelle le journalisme d'investigation. Ou est-ce purement et simplement une censure des médias ?
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