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Le chef de l'Etat islamique aurait été à nouveau grièvement blessé par des frappes aériennes durant une attaque menée le 18 mars par des avions de la coalition dirigée par les Etatsuniens. Des blessures qui, dans un premier temps, auraient menacé la vie de Baghdadi, selon The Guardian qui souligne cependant que l'état de santé de l'islamiste se serait lentement amélioré.
Une information similaire avait été publiée en novembre 2014, selon laquelle, Abou Bakr al-Baghdadi aurait été "gravement" blessé dans un raid aérien étatsunien en Irak visant un convoi de véhicules militaires transportant prétendument un groupe d'officiers supérieurs de l'Etat islamique (EI).
Décidément, c'est à croire que Baghdadi à la baraka. Toutefois, La Presse, signale que le porte-parole du Pentagone a précisé que le chef de l'EI «n'était pas» une cible des frappes qui ont eu lieu à ce moment-là et qu'il ne pensait pas que le chef du groupe armé État islamique (EI), Abou Bakr al-Baghdadi, ait été blessé dans une frappe aérienne.
Pour mémoire : Abu Bakr Al-Baghdadi fut prisonnier à Guantanamo de 2004 à 2009. Au cours de cette période, la CIA et le Mossad l’auraient recruté pour fonder un groupe en mesure d’attirer des djihadistes de différents pays vers un endroit précis, et ainsi les tenir loin d’Israël. Pour Snowden, « la seule solution pour protéger l’État juif est de lui créer un ennemi à ses frontières, mais en le dirigeant contre les états islamiques qui s’opposent à sa présence. » Une opération secrète dénommée « Nid de frelons ».