La Russie a affirmé samedi que ses frappes aériennes en Syrie entamées mercredi avaient semé la "panique" chez le groupe Etat islamique (EI), en forçant 600 de ses membres à abandonner leurs positions.
"Nous avons réussi à réduire significativement le potentiel militaire des terroristes (...). La panique et la désertion ont commencé dans leurs rangs", a affirmé un haut responsable de l'état-major russe, le général Andreï Kartapolov. Selon lui, "environ 600" militants de l'EI "ont abandonné leurs positions et tentent de s'enfuir vers l'Europe".