Le président de la Turquie, Recep Tayyip Erdogan, a prôné l’implantation des zones tampons dans le Nord de la Syrie et le soutien aux terroristes dit modérés.
Le torchon brûle entre la Turquie et la Russie après la destruction par l’aviation turque d’un chasseur-bombardier russe dans l’espace aérien syrien. Le Premier ministre turc, Ahmed Davutoglu, a déclaré, mardi, lors d’un discours, que le gouvernement turc pourrait entreprendre des mesures de représailles contre Moscou, si nécessaire.
« Si nécessaire, nous allons adopter des embargos en représailles des actes de la Russie et cette question a été discutée lundi lors d’une session du gouvernement. Nous espérons pourtant pouvoir régler la tension sans être obligé de recourir à des mesures de représailles », a-t-il continué.
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