Depuis l’attaque du 15 janvier 2016 à Ouagadougou, les noms de l’ex-chef d’État burkinabè Blaise Compaoré et du président de l’Assemblée nationale ivoirienne Guillaume Soro circulent avec insistance. Les soupçons prennent leur source dans le rôle sulfureux que la « galaxie Compaoré » a joué pendant ses 27 ans de règne.