L'intense résistance populaire haïtienne à une autre élection présidentielle frauduleuse a fait échouer la volonté des États-Unis de planifier le remplacement du "gentil Mickey" Martelly par un autre laquais nommé "Banana man." L'interruption de la fraude rappelle que la Secrétaire d'État Clinton était une impérialiste qui a favorisé le trucage de l'élection présidentielle précédente en Haïti et a participé au pillage de ce pays, avec son complice et mari, Bill.
La nation insulaire d'Haïti est sur le point finalement d'éjecter le Président criminel Michel "le gentil Mickey" Martelly, l'interprète de dancing et le gangster qui a été imposé au peuple haïtien par les États-Unis par l'intimidation de la Secrétaire d'État de l'époque, Hillary Clinton, en 2011.
La présidence de Martelly parvient à son terme et il est constitutionnellement exigé qu'il parte le 7 février. Martelly et ses soutiens étatsuniens, français et canadiens avaient espéré utiliser le trucage des élections et forcer la tactique pour installer une marionnette politique, Jovenel "Banana man" Moise, dans le palais présidentiel. "Banana man" - qui veut transformer Haïti en république bananière au sens propre (exportatrice de bananes), entraînant un nouvel appauvrissement de ses petits cultivateurs - est entré d'abord dans une élection en octobre qui a été si manifestement volée que même l'élite haïtienne pourtant corrompue n'a pas pu approuver le résultat.
En fait, pratiquement personne dans la société haïtienne sauf "Bananaman" et "le gentil Mickey" et les dizaines des milliers d'Haïtiens qui ont été payés pour voter, à plusieurs reprises, dans différents bureaux de vote en octobre, n'a considéré l'élection comme valide...
Les Etats-Unis ont été contrariésde ne pas pouvoir organiser le remplacement fiable de leur fidèle marionnette, "le gentil Mickey." En plus, le discrédit des élections a donné une très mauvaise image à Hillary Clinton candidate au poste présidentiel aux Etats-Unis alors qu'elle prétend avoir apporté la stabilité en Haïti quand elle était au Département d'État. En fait, elle est complice de tous les assassinats des Haïtiens par le régime Martelly. La vérité est qu'Hillary et Bill étaient les Bonnie and Clyde d'Haïti, volant le pays pour l'avantage des entreprises étatsuniennes criminelles dont certaines étaient liées à leur propre fondation. Les équipes d'agents du FBI qui rassemblent et recoupent maintenant les courriers électroniques d'Hillary révélant des contributions à la Fondation des Clinton découvrent un filon de corruption qui pourrait encore être révélé avant le Jour des élections présidentielles aux États-Unis.
Si cela devait arriver, le peuple haïtien mériterait un peu de crédit pour avoir sauvé les États-Unis d'une autre période sous l'égide des Clinton, dans un processus pour sauver la souveraineté d'Haïti et le respect de soi. La résistance populaire furieuse des Haïtiens a forcé l'annulation de l'élection finale de dimanche; "le gentil Mickey" doit quitter ses fonctions dans moins de deux semaines; et les négociations en cours doivent permettre de former un gouvernement provisoire qui tiendrait des élections propres. La lutte est portée sur le fait que la majorité pauvre d'Haïti doit faire entendre sa voix au-dessus du grondement des occupants impérialiste étatsuniens et de leurs laquais haïtiens...
Source : - BAR The Clintons: We Came, We Stole, Haitians Died