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Serment d’allégeance : Valls avait promis de soutenir Israël, « quoi qu’il arrive » (Panamza)

par Hicham Hamza 2 Août 2016, 11:38 Valls Israël Allegeance Colonialisme Sionisme France

INFO PANAMZA. En 2012, Manuel Valls s'était engagé auprès d'une radio communautaire juive à soutenir Israël, « quoi qu'il arrive ».

Le 10.08.2014 à 19h48

Il continue de faire profil bas sur le sujet.

Contrairement à François Hollande et Laurent Fabius, Manuel Valls n'a exprimé aucune condamnation explicite à propos des opérations militaires israéliennes. Après avoir initialement soutenu le gouvernement de Tel Aviv, le chef de l'État et le ministre des Affaires étrangères ont rétro-pédalé en usant finalement des termes « massacre » et « carnage » pour décrire les ravages causés dans la population palestinienne. 

Qu'en est-il du Premier ministre? Silence radio. Hormis une brève compassion humanitaire affichée, le 24 juillet, sur l'antenne de RTL, Manuel Valls s'est tenu en retrait.

Pour cause: l'homme n'a pas démérité sa réputation de partisan inconditionnel du régime colonial et ségrégationniste de Tel Aviv

Un élément-clé d'information demeure passé sous silence par les médias traditionnels: la déclamation -prononcée en 2012 lors d'un gala organisé par Radio J- de son « engagement absolu » envers Israël. Ces propos avaient été découverts et rapportés par Panamza le 11 septembre 2013. Alors ministre de l'Intérieur, Manuel Valls avait promis -au nom de la France- de soutenir l'État hébreu, « quoi qu'il arrive » .

Le contexte n'est pas anodin: trois semaines auparavant, à Toulouse, Benyamin Netanyahou avait fanfaronné devant François Hollande en transformant un hommage aux victimes de la sombre affaire Merah en meeting nationaliste et pré-électoral. Sans oublier l'évènement de ce mois de novembre 2012 qui venait de se terminer : "Pilier de défense", l'opération militaire israélienne à l'encontre des habitants de Gaza.

Découvrez par vous-même la ferveur stupéfiante d'un homme -Manuel Valls- censé incarner et défendre la souveraineté nationale -et non les intérêts d'un régime étranger, a fortiori hors-la-loi au regard du droit international.

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