L'opposant gabonais Jean Ping a affirmé jeudi que son QG était pris d'assaut par les forces de sécurité à Libreville, où l'Assemblée nationale a été incendiée, points culminants des violences dans la capitale gabonaise depuis l'annonce de la victoire du sortant Ali Bongo Ondimba à la présidentielle.
"Ils ont attaqué vers 01H00 (locale, 00H00 GMT). C'est la garde républicaine. Ils ont bombardé par hélicoptères puis ils ont attaqué au sol. Il y a 19 blessés dont certains très graves", a déclaré M. Ping à l'AFP, précisant qu'il n'était pas sur les lieux....