Il y a quelques temps nous avions rapporté une information au sujet de frappes de missiles Russes au cours desquelles 30 officiers israéliens, britanniques, turcs, saoudiens etc. avaient été tués. Cette information n’avait pas été confirmée à l’époque, elle n’avait pas été démentie non plus. Devant l’hystérie des pays occidentaux au Conseil de Sécurité de l’ONU causée par l’avancée foudroyante de l’armée arabe syrienne dans Alep Est, nous sommes en droit de nous demander si c’est uniquement la préservation des vies des djihadistes qui est en cause, surtout quand on sait (les preuves abondent) que les vies des arabes n’ont à leurs yeux qu’une valeur toute relative.
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Voici ce qu’en dit Ghaleb Kandil dans son article d’aujourd’hui :
« Que cherchent les pays occidentaux en faisant pression, au sein du Conseil de sécurité, pour faire adopter une résolution de cessation des combats à Alep et autour d’Alep ? Il est clair que l’un des objectifs non déclarés des pressions américano-franco-britanniques est de faire sortir des officiers du renseignement chargés de diriger les groupes terroristes dans leur combat contre l’Armée arabe syrienne.
Oui, des agents du renseignement des États-Unis, de la Grande-Bretagne, de la France et peut-être de l’Allemagne, sont présents dans Alep et ses environs en compagnie des gangs d’Al-Qaïda, avec pour mission de les superviser directement ; des Turcs, des Saoudiens et des Qataris participant certainement aux massacres et aux attaques destructrices de la ville ».