2016 was not a good year for Saudi Arabia. Sharply lower oil prices sparked a d
2016 n'était pas une bonne année pour l'Arabie Saoudite. La chute brutale des prix du pétrole a suscité une crise financière domestique qui a forcé le pays à restructurer son économie. La lutte amère de l'Arabie Saoudite avec l'Iran pour l'hégémonie régionale l'a impliquée dans des guerres et des conflits politiques qu'elle n'a pas pu gagner, ne lui laissant aucune autre alternative, que d'admettre son échec ou de trouver un compromis. Si 2016 était une année mauvaise, 2017 menace d'être encore plus mauvaise.
L'Arabie Saoudite a quitté l'année 2016 avec un cessez-le-feu en Syrie et des perspectives pour des pourparlers de paix orchestrés par la Russie et la Turquie qui ont significativement affaibli des groupes rebelles soutenus par les Saoudiens et ont renforcé l'allié clé du Moyen-Orient de l'Iran, le président syrien Bachar Al-Assad. Le seul espoir de l'Arabie Saoudite d'influencer des événements en Syrie est si les rebelles, takfiris, qui ne font pas partie du cessez-le-feu, ou M. Al-Assad, le sabotent pour leurs propres raisons. Mais même alors, la libération d'Alep, le dernier obstacle urbain majeur des rebelles, menace de réduire la résistance anti-Assad à une insurrection en grande partie rurale...
Source :
- American Herald Tribune Think that 2016 was a tough year for Saudi Arabia? Wait till you see 2017