Après Brigitte Bardot et Jean Roucas, c'est au tour de l'artiste et metteur en scène, Franck de Lapersonne, d'exprimer son soutien à Marine Le Pen lors d'un meeting samedi à Lyon. Lors des « Assises présidentielles » du Front national à Lyon, le 4 février 2016, il a dit avoir renoncé à soutenir Mélenchon pour soutenir Marine Le Pen aux élections présidentielles. Il a déclaré également :
« Je ne vois aucun relent identitaire (…) Il n’y a pas ici de relents d’exclusion ou de discrimination », a-t-il par ailleurs adressé aux militants qualifiés de « héros mythologiques ». Mais la phrase qui a déclenché les applaudissements les plus nourris est la suivante :
« Victor Hugo n’a pas appris l’arabe, et ça me fait plaisir de le savoir ».
Une phrase qui a été aussitôt acclamée par la foule frontiste qui a scandé en écho « On est chez nous ».
Il n'y avait vraiment aucun relent identitaire ni d'exclusion ou de discrimination dans les propos de cet artiste pro-Le Pen qui a joué un curé dans le film Case départ ?