Selon le média français « L'express », s'il y a un homme qui est affecté par le départ socialiste Landais, c'est bien l'ex président ivoirien Laurent Gbagbo aujourd'hui détenu à la Cour pénale Internationale (CPI) et de justifier.
« Mon jumeau blanc, c'est ainsi que le cofondateur du Front populaire ivoirien surnommait amicalement le député socialiste des Landes. Et pour cause: les deux hommes de gauche partagent la même date de naissance, en l'occurrence le 31 mai 1945 », a indiqué le media.
« D'autres affinités, plus idéologiques celles-là, ont contribué à les rapprocher. Dans les années 2000, lorsque la dérive autocratique de Gbagbo déchire le PS, l'ancien titulaire du perchoir du Palais-Bourbon fait partie de ses avocats les plus ardents rue de Solférino. S'opposant sur ce point au Premier secrétaire de l'époque, un certain François Hollande, qui juge alors l'ancien élève du petit séminaire de Gagnoa "infréquentable" ».
Une déclaration de l'ex chef d'Etat ivoirien à travers son porte-parole Justin Katinan Koné, ne devrait pas se faire attendre dans les heures qui suivent.