Jean-François Jalkh, remplaçant de Marine Le Pen, rattrapé par des déclarations négationnistes
Par Maxime Vaudano et Olivier Faye
Le Monde
L’homme, qui était pressenti pour prendre la présidence par intérim du FN, avait remis en question, en 2000, l’utilisation du gaz Zyklon B dans les camps d’extermination nazis.
Pressenti pour prendre la présidence par intérim du Front national jusqu’à la fin de la campagne présidentielle, Jean-François Jalkh a finalement renoncé à occuper ces fonctions. C’est Louis Aliot, le vice-président du FN et compagnon de Marine Le Pen, qui l’a annoncé vendredi 28 avril au micro de Jean-Jacques Bourdin, sur RMC. « Jean-François Jalkh a refusé sa mission de président par intérim, il veut se défendre et déposer plainte », a-t-il indiqué, ajoutant que le maire d’Hénin-Beaumont, Steeve Briois, prendrait la succession...