Précédemment, la Maison Blanche a publié un rapport déclassifié alléguant que le président syrien Bachar Al-Assad avait ordonné et commandité l'attaque chimique sur des civils dans la ville tenue par les rebelles dans la province d'Idlib. Mais selon le professeur Theodore Postol du Massachussetts Institute of Technology (MIT), le rapport "ne contient absolument aucune preuve" pour le prouver.