Après l'affaire des assistants parlementaires du Modem, qui a entraîné la démission de François Bayrou, Marielle de Sarnez et de Sylvie Goulard, c'est au tour de Nicolas Hulot d'être dans l'œil du cyclone.
Le Canard Enchaîné s'est intéressé au CV du ministre de la Transition Ecologique et solidaire, plus particulièrement aux rémunérations qu'il a perçues grâce à sa Fondation, sé et sa société Eole Conseil. Des antécédents pour le moins embarrassants qui ont donné des sueurs froides à Emmanuel Macron.
Une petite mine d'or pour Hulot
En 1990, l'ex-animateur de l'émission Ushuaïa et chouchou des Français, avait créé une société, Eole Conseil. Celle-ci est alimentée par les royalties perçues sur les ventes des shampoings, gels douches et autres produits dérivés de le marque Ushuaïa, marque déposée du groupe TF1 mais dont la licence d'exploitation a été cédée à une quinzaine de grandes entreprises comme l'Oreal, Atol ou Lexibook...