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Revue de presse n°12. ONU et BDS; Collaboration US et Etat islamique ?; les USA soutiennent les dictatures; Chomsky et le néolibéralisme.

par SLT 30 Septembre 2017, 20:14 Revue de presse BDS ONU Israël USA Collaboration EI Terrorisme Syrie Chomsky Dictature Néolibéralisme Articles de Sam La Touch

Revue de presse du dimanche 24 septembre au samedi 30 septembre 2017

Voici les thématiques sélectionnées durant la semaine du 24.09.17 au 30.09.17 par SLT que vous ne retrouverez peu ou pas dans le P.A.F :

 

- Israël. L'ONU dénonce les entreprises collaborant avec les colonies israéliennes illégales, dans les pas du BDS ?
Sources : Washington Post, Maan News, Electronic Intifada, The Intercept, Haaretz. Times of Israel
- Deir Ezzor : Collaboration USA et Etat islamique ?
Sources : Almasdar News, Fars News Agency, Sputniknews, The Saker, Moon of Alabama
- les Etats-Unis soutiennent 73% des dictatures
Source : Truth Out
- Noam Chomsky : "Le néolibéralisme détruit la démocratie"
Source : Radio Open Source

Revue de presse n°12. ONU et BDS; Collaboration US et Etat islamique ?; les USA soutiennent les dictatures; Chomsky et le néolibéralisme.

Israël. L'ONU dénonce les entreprises collaborant avec les colonies israéliennes illégales, dans les pas du BDS ?

Alors que les gouvernements occidentaux entendent criminaliser le mouvement de boycott (BDS) des produits en provenance des colonies israéliennes illégales, l'ONU serait en passe de publier une liste des entreprises commerçant avec ces territoires illégaux.

The Intercept avait déjà dénoncé ces cas d'abus des lois françaises sur les "discours de haine" qui avaient abouti en 2015, à ce que la plus haute juridiction française confirme la condamnation pénale de 12 militants pro-palestiniens pour avoir porté des tee-shirts qui préconisaient un boycott d'Israël - En effet ce tee-shirt "Longue vie à la Palestine, boycott d'Israël", violait la loi française qui, selon le tribunal,"prévoit l'emprisonnement ou une amende pouvant aller jusqu' à 50 000 $ pour les parties qui "provoquent la discrimination, la haine ou la violence envers une personne ou un groupe de personnes en raison de leur origine, de leur appartenance ou non à un groupe ethnique, une nation, une race ou une certaine ". En mai 2016, c'était au tour du gouvernement conservateur du Canada de menacer de se servir des lois rigoureuses sur les discours de haine pour poursuivre les partisans du boycott israélien au motif que ce genre d'activisme est "le nouveau visage de l'antisémitisme". Comme Haaretz l'a rapporté à propos des poursuites judiciaires françaises : "Les militants pro-israéliens en Belgique voisine font pression pour une loi similaire à celle de Lellouche, espérant qu'elle pourrait aussi mettre à mal les activités du BDS dans ce pays". D'autres militants français ont été condamnés pour "discours de haine" pour avoir apposé des autocollants de boycott sur des légumes importés d'Israël. Aux Etats-Unis même si la liberté d'expression est encore largement préservée, il n'empêche que les pressions vont bon train pour interdire les partisans du mouvement des BDS.  Dans son discours de l'AIPAC de 2016, Hillary Clinton a cité le mouvement de boycott d'Israël comme preuve que "l'antisémitisme est en hausse partout dans le monde". Un groupe de députés bipartisans étatsuniens parraine actuellement une loi interdisant aux entreprises de participer au boycott international d'Israël, un projet de loi que l'American Civil Liberties Union a déclaré comme pouvant être utilisé pour criminaliser la défense des boycotts.

Mais voilà, que le Conseil des droits de l'homme de l'ONU a voté l'année dernière pour approuver la diffusion d'une liste d'entreprises commerçant avec les colonies israéliennes illégales, malgré les objections des États-Unis et d'Israël, qui décrivent la liste comme un prélude aux boycotts anti-israéliens, selon le Washington Post. : "L'administration Trump exhorte les Nations Unies à ne pas publier ce qu'elle appelle une "liste noire" de firmes internationales qui font des affaires dans les colonies israéliennes sur des terres revendiquées par les Palestiniens pour un futur État".

Selon Maan News, la liste de l'ONU des entreprises liées aux colonies de peuplement sera publiée malgré les pressions israéliennes et étatsuniennes : "En effet, selon un rapport publié mardi 19 septembre 2017 par la chaîne israélienne Channel 2, la liste complète sera publiée en décembre, et comprendra quelques-unes des plus grandes entreprises de l'industrie israélienne ainsi que les grandes entreprises étatsuniennes, a rapporté une traduction du rapport par Times of Israel".

Selon The Electronic Intifada, "après des décennies de dépossession palestinienne, d'occupation militaire israélienne et d'apartheid, l'ONU a pris sa première mesure concrète et pratique pour pointer la responsabilité des violations israéliennes continues des droits de l'homme palestiniens", a déclaré Omar Barghouti, l'un des fondateurs du mouvement de boycott, de désinvestissement et de sanctions (BDS). Mercredi 27.09.17, le journal israélien Haaretz a rapporté que le bureau des droits de l'homme de l'ONU a commencé à envoyer des lettres à quelque 150 entreprises dans le monde entier pour les avertir qu'elles pourraient être ajoutées à une base de données sur les entreprises qui font affaire avec des colonies israéliennes en Cisjordanie occupée, y compris Jérusalem-Est.

Cette semaine, Nickolay Mladenov, le haut responsable politique de l'ONU à Jérusalem, a déclaré au Conseil de sécurité de l'ONU que "les activités illégales de colonisation israéliennes se sont poursuivies à un rythme élevé", en violation flagrante des résolutions de l'ONU.

Il existe un consensus juridique croissant selon lequel le droit international exige des gouvernements qu'ils interdisent tout commerce avec les colonies maintenant il reste à savoir si l'ONU ne pliera pas sous les pressions étatsuno-israéliennes et des gouvernements occidentaux qui leur sont favorables.

Selon Electronic Intifada, "Les responsables israéliens ont admis que de nombreuses entreprises - bien qu'elles n'aient pas fourni de noms - ont déjà répondu à ces lettres en assurant le bureau des droits de l'homme de l'ONU qu'elles ne renouvelleraient pas leurs contrats en Israël et qu'elles n'en chercheraient pas de nouveaux". "Ces compagnies ne peuvent tout simplement pas faire la distinction entre Israël et les colonies et mettent fin à leurs opérations", a déclaré un haut responsable israélien à Haaretz. "Les entreprises étrangères n'investiront pas dans quelque chose responsable de problèmes politiques - ça pourrait faire boule de neige."

Le haut responsable israélien a confirmé ce qu'un haut diplomate de l'UE avait rapporté à ses collègues bruxellois. Dans une note de service écrite en juin, alors qu'il était ambassadeur de l'UE à Tel Aviv, Lars Faaborg-Andersen admettait que l'UE ne disposait d'aucun moyen fiable de distinguer les exportations des colonies de peuplement des autres marchandises israéliennes.

Les commentaires du responsable israélien font également écho aux conclusions d'un rapport secret de deux groupes de pression israéliens influents qui ont divulgué des informations à Electronic Intifada plus tôt cette année.


Selon Ali Abunimah, co-fondateur d'Electronic Intifada, l'intensité de la pression étatsunienne - et la longue histoire de soumission de la soi-disant communauté internationale envers Israël - signifie qu'on ne peut pas tenir pour acquis que les fonctionnaires de l'ONU ne capituleront pas. Il y a deux ans, le Secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, a cédé aux pressions israéliennes et étatsuniennes et a retiré Israël de la liste des violations graves des droits de l'enfant établie par l'ONU (Il en a été de même pour l'Arabie saoudite et ses violations des droits des enfants au Yemen). En mars, le successeur de M. Ban Antonio Guterres s'est incliné devant les pressions étatsuniennes et a supprimé un rapport selon lequel Israël pratiquait l'apartheid contre les Palestiniens.

 

 

Deir Ezzor : Collaboration USA et Etat islamique ?

De nombreux médias arabophones et russophones, évoquent la collaboration entre les forces spéciales étatsuniennes, les Forces démocratiques syriennes (FDS) et l'Etat islamique (EI).

Selon Fars News Agency, une agence de presse iranienne, un chef tribal de l'est de la Syrie a déclaré que des centaines de militants de l'Etat islamique (EI) ont rejoint les Forces démocratiques syriennes (FDS), alors que les tensions entre les troupes de l'armée syrienne et les FDS appuyées par les États-Unis dans la province de Deir Ezzor s'intensifient. Le journal arabophone al-Watan a cité le Cheikh Mohammad Amlah al-Daham, chef de la tribu al-Akidat, l'une des plus grandes tribus de Syrie, qui a déclaré que près de 500 hommes armés de l'EI qui avaient fui les champs de bataille ont rejoint les FDS dans la ville d'al-Shaddadi, dans le sud de Hasaka, au milieu des progrès rapides des troupes de l'armée syrienne à Deir Ezzor.

Enfin des images satellites russes révéleraient la présence de l'armée étatsunienne et de ses alliés des forces démocratiques syriennes (FDS) circulant librement dans les régions du gouvernorat de Deir Ezzor détenues par l'État islamique (EI). "Sans résistance de la part des militants de l'EI, les troupes des FDS se déplacent le long de la rive gauche de l'Euphrate vers la ville de Deir Ezzor ", a déclaré le ministère de la Défense russe cité par Almasdar News, journal du Liban.

"Il n' y a même pas de signes d'organisation d'un avant-poste de bataille ", a ajouté le ministère russe de la Défense. D'après Sputniknews, média pro-russe, les images montreraient des véhicules blindés étatsuniens et de l'équipement dans cette partie de Deir Ezzor détenue par l'EI durant la période allant du 8 au 12 septembre.

Les commandements militaires syrien et russe ont accusé les Etats-Unis et leurs alliés d'accaparement de terres dans le gouvernorat de Deir Ezzor, alors que selon eux, ils ne combattent pas réellement les forces de l'Etat islamique. "Plus récemment, les FDS ont pris le contrôle de l'usine à gaz de Taybeh le long de la rive orientale de l'Euphrate; cependant, des photos récentes révèlent que le site était intact, contrairement à la plupart des structures abandonnées par l'Etat islamique." selon AMN. Les États-Unis n'ont pas commenté ces accusations émanant de l'armée russe.

Selon The Saker, les Russes accusent aussi officiellement les Etatsuniens de collaborer activement avec l'Etat islamique (EI) :

    "Les unités des forces d'opérations spéciales étatsuniennes permettent aux unités des forces démocratiques syriennes (FDS) soutenues par les États-Unis d'avancer en douceur dans les formations de l'EI.  N'affrontant aucune résistance de la part des militants de l'EI, les unités FDS avancent le long de la rive gauche de l'Euphrate vers Deir-ez-Zor.  Les photos aériennes prises du 8 au 12 septembre sur les emplacements de l'EI ont permis d'enregistrer un grand nombre de véhicules étatsuniens Hummer en service dans les forces d'opérations spéciales (FOS) des Etats-Unis.  Les photos montrent clairement des unités des FOS étatsuniennes localisées dans des bastions qui avaient été occupées par les terroristes de l'EI. Bien qu'il n' y ait aucune preuve d'agression, de lutte ou d'attaque aérienne dirigée par les Etats-Unis pour chasser les militants.  Bien que les forteresses étatsuniennes soient situées dans les zones de l'EI, aucune patrouille de dépistage n' y a été organisée. Cela suggère que les troupes étatsuniennes se sentent en sécurité dans les régions sous contrôle terroriste."

Enfin AMN, a diffusé la vidéo d'un combattant de l'EI qui déclarait que les forces du groupe terroriste dans la région se voient interdire par leurs commandants d'attaquer les milices dirigées par les Kurdes et soutenues par les Etats-Unis :

"L'interviewé, Mohammed Moussa al-Shawwakh, déclare que son groupe, chargé de défendre la zone autour des champs de gaz Conoco, a reçu l'ordre de permettre aux forces kurdes d'entrer dans le site stratégique. L'ordre, dit-il, venait d'un émir régional de haut niveau (leader) appelé Abu Zaid. La confession du combattant de l'EI ajoute que les forces dirigées par les Kurdes ont également été autorisées à pénétrer dans d'autres champs de gaz et de pétrole de la région afin de réaliser des vidéos de propagande. Mohammed termine l'interview en disant qu'il sait de source sûre que les Etats-Unis tentent d'établir une alliance entre les forces kurdes et l'EI dans la province de Deir Ezzor afin de saper les efforts militaires dirigés par le gouvernement syrien pour libérer la région."

Enfin le 25 septembre, le ministre syrien des Affaires étrangères Walid Muallem a déclaré dans une interview accordée à la chaîne d'information libanaise Al-Mayadeen, que les États-Unis évacuaient les combattants de l'Etat islamique (EI) du gouvernorat de Deir Ezzor. Muallem a également déclaré que le gouvernement syrien dispose de preuves et de témoins oculaires pour étayer ces accusations.

    "Ils les gardent peut-être[les combattants de l'EI] pour les déployer ailleurs. ils[les États-Unis] continuent de croire que le terrorisme est un outil important pour faire valoir leurs intérêts. C'est une illusion, mais ils[les États-Unis] continuent d'utiliser le terrorisme pour faire respecter leurs intérêts ", a déclaré Muallem dans l'interview.

Muallem a également révélé que l'EI avait reçu des informations sur l'emplacement du poste de commandement où le lieutenant-général russe Valery Asapov avait été tué par les bombardements de l'EI, selon South Front.

Selon Moon of Alabama, "un diplomate étatsunien chargé de cette tâche, Brett McGurk, a récemment rencontré des dignitaires tribaux de la région. Des photos de la réunion ont été publiées. Plusieurs personnes ont fait remarquer que les mêmes dignitaires avaient déjà prêté serment d'allégeance à l'Etat islamique (EI)".

Revue de presse n°12. ONU et BDS; Collaboration US et Etat islamique ?; les USA soutiennent les dictatures; Chomsky et le néolibéralisme.

Tout comme lors du "Anbar Awaking" ("réveil d'Anbar") dans sa guerre contre l'Irak, les Etats-Unis soudoient les extrêmistes locaux pour qu'ils changent temporairement de camp. Cela aidera les États-Unis à prétendre qu'ils ont vaincu l'EI. Mais dès que les paiements cesseront, les mêmes forces reviendront à leur ancien jeu.

Le criminel local Ahmad Abu Khawla, qui avait précédemment combattu pour l'EI, a été soudainement nommé commandant d'un nouveau "Deir Ezzor Military Council" ("Conseil militaire de Deir Ezzor"), créé sous le contrôle des forces spéciales étatsuniennes.

Alors cette collaboration entre le groupe terroriste de l'EI, les FDS et les forces spéciales US à Deir Ezzor, est-elle une info ou une intox ? En tous les cas les médias grand public occidentaux n'en pipent pas mot.

Les Etats-Unis soutiennent 73% des dictatures

Pendant des décennies, les médias mainstreams ont répété à maintes reprises  que les actes de guerre ordonnés par leurs présidents étaient largement motivés par la nécessité de contrer les actes d'agression ou d'oppression de soit-disant "dictateurs maléfiques". On nous a dit que nous devions envahir l'Irak parce que Saddam Hussein était un "dictateur diabolique". Nous avons dû bombarder la Libye parce que Mouammar Kadhafi était un "dictateur maléfique", désireux d'organiser un "bain de sang" sur son propre peuple. Aujourd'hui, bien sûr, on nous dit que nous devrions soutenir les djihadistes en Syrie parce que Bachar al-Assad est un "dictateur maléfique", et nous devrions à plusieurs reprises préparer la guerre nucléaire contre Kim Jong-un en Corée du Nord et Vladimir Poutine en Russie parce qu'ils sont eux aussi des "dictateurs maléfiques". Pourtant, selon Truth Out, les Etats-Unis fournissent une aide militaire à au moins 73 % des dictatures dans le monde. L'avocat, Rich Whitney, après avoir déterminé combien de gouvernements dans le monde pouvaient être considérés comme des dictatures selon les rapports annuels de Freedom in the World (largement favorable aux alliés des Etats-Unis) et consulté les rapports de livraison d'armes du Département de la Défense étatsunien pour la même année, a constaté que les Etats-Unis finançaient 73% des dictatures. 

Noam Chomsky : "Le néolibéralisme détruit la démocratie"

Selon Noam Chomsky, célèbre linguiste étatsunien, le néolibéralisme tue peu à peu la démocratie et le monde. En son nom, les élites des deux côtés du spectre politique ont miné nos biens communs sociaux, politiques et environnementaux. Dans une interview avec Christopher Lydon sur Radio Open Source, Chomsky considère que si vous regardez l'histoire récente depuis la Seconde Guerre mondiale, quelque chose de vraiment remarquable s'est produit. Selon lui, l'intelligence humaine a créé deux énormes menaces capables de mettre fin à notre existence : la bombe nucléaire utilisée par les Etats-Unis à Hiroshima et Nagasaki et la pollution industrielle détruisant l'écosystème et le climat. Pour Chomsky, si l'homme avait les moyens de contrôler ces menaces auparavant, l'arrivée du néolibéralisme entrave tout processus de régulation :

 
 Le "principe crucial (du néolibéralisme) porte atteinte aux mécanismes de solidarité sociale et d'entraide et à l'engagement populaire dans la définition des politiques... Nous détruisons ou du moins nous sapons les mécanismes de gouvernance par lesquels les gens, du moins en principe, peuvent participer à la démocratie dans la société. Ainsi, affaiblissez-les, ébranlez les syndicats, ainsi que les autres formes d'association... et transférez entre-temps les décisions à un pouvoir privé qui n'a pas de compte à rendre, le tout dans une rhétorique portant au pinacle la liberté... Le seul obstacle à la menace de destruction est un public engagé, un public informé et engagé qui agit de concert pour mettre au point des moyens de faire face à la menace et d'y réagir. Cela a été systématiquement affaibli, consciemment."

 

Et Noam Chomsky se montre particulièrement pessimiste sur l'avenir de l'Humanité si le néolibéralisme continue de guider le monde : "Depuis la Seconde Guerre mondiale, nous avons créé deux moyens de destruction. Depuis l'ère néolibérale, nous avons démantelé la façon de les traiter. Ce sont nos entraves. C'est ce à quoi nous sommes confrontés, et si ce problème n'est pas résolu, nous en avons fini."

 

Articles traduits sur SLT cette semaine :
- Les États-Unis poussent à l'annulation de la "liste noire", établie par l'ONU, des firmes faisant des affaires dans les colonies israéliennes (Washington Post)
- Porto Rico. Un nouvel exemple de la manière dont les Etatsuniens connaissent peu leur propre pays (Washington Post)
- [Vidéo] Vidéo exclusive : Un combattant de l'Etat islamique admet qu'il est interdit à l'EI d'attaquer les forces kurdes à Deir Ezzor (Almasdar News)
- L'ONU fait un premier pas pour mettre fin à l'impunité d'Israël (Electronic Intifada)
- Par la grâce d'Israël - Le clan Barzani et "l'indépendance" kurde (Moon of Alabama)
- Google prévient que le gouvernement exige vos données privées plus que jamais auparavant (ZDNet)
- Des centaines d'hommes armés de l'EI rejoignent les FDS en Syrie orientale (FNA)
- Zarif déclare que l'Iran pourrait renoncer à un accord nucléaire si les Etats-Unis se retiraient (Press TV)
- Les Saoudiens menacent de représailles si l'enquête sur le Yémen réussissait à passer (Financial Tribune)
- Escalade très dangereuse en Syrie (The Saker)
- [Vidéo] Vue d'ensemble de la bataille pour Deir Ezzor au 28 septembre 2017 (Southfront)
- Abbas n'est pas Arafat. Il doit partir (American Herald Tribune)
- Le ministre syrien des Affaires étrangères accuse les États-Unis d'avoir évacué les combattants de l'EI de Deir Ezzor (Southfront)
- Des avions de combat israéliens ont bombardé des unités du Hezbollah dans la province de Quneitra en Syrie (Southfront)
- Un empire défaillant : la stratégie militaire russe et chinoise pour contenir les Etats-Unis (Strategic Culture Foundation)
- Le Venezuela fournit 10,4 tonnes d'aide au Mexique ravagé par un tremblement de terre (TeleSUR)
- [vidéo, photos] Les troupes russes ont établi un pont temporaire à travers l'Euphrate près de Deir Ezzor (Southfront)
- Les États-Unis fournissent une aide militaire à 73 % des dictatures dans le monde (Truth Out)
- Le président de la Bolivie, Evo Morales, rejette les sanctions de Trump à l'encontre du Venezuela (TeleSUR)
- Selon l'ONU, la guerre oblige les familles du Yémen à vivre dans des grottes (Middle East Monitor)
- Exclusif : Des images satellites révèlent que les forces étatsuniennes opèrent librement dans les zones de l'Etat islamique (AMN)
- Syrie - Le Commandement central des Etats-Unis déclare la guerre à la Russie (Moon of Alabama)
- Le mystère de la mort de Neruda bientôt révélé (TeleSUR)
- [Cartes, Vidéo] Vue d'ensemble de la bataille pour Deir Ezzor au 25 septembre 2017 (Southfront)
- L'Allemand Heckler et Koch arrête de vendre des armes à feu à l'Arabie Saoudite et à Israël, les considérant comme des pays corrompus (American Herald Tribune)
- Allocution du vice-Premier ministre syrien à l'Assemblée générale des Nations Unies (Vidéo)
- [Vidéo] La guerre de Trump contre les athlètes noirs (The Atlantic)
- [Vidéo] Les Vénézueliens marchent contre l'impérialisme (TeleSUR)
- Les FDS, soutenus par les Etats-Unis, affirment qu'ils ont pris le plus grand champ gazier de Syrie à l'EI (ABC News)
- Noam Chomsky : le néolibéralisme détruit notre démocratie (Radio Open Source)

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