Les autorités centrafricaines ont déploré samedi la décision du parquet de Paris de prononcer un non-lieu dans l'affaire des présumés abus sexuels commis par des soldats français de l'opération Sangaris entre 2013 et 2014 sur des enfants mineurs en Centrafrique.
"J'aurai pensé qu'on devrait aller un peu plus loin (...). On parle de cela comme s'il s'agissait de biens matériels, alors que ce sont des enfants centrafricains sur qui ont été commis des abus", a déclaré Ange Maxime Kazagui, ministre de la Communication et porte-parole du gouvernement à la radio d'Etat samedi...