Un rapport parlementaire affirme mercredi que des membres de la police fédérale américaine ont fait preuve de partialité envers Donald Trump en 2016, une accusation qui tombe à pic pour le président américain empêtré dans l'affaire de collusion présumée avec la Russie.
Selon ce rapport de la commission sénatoriale sur la Sécurité intérieure, près de 50.000 SMS échangés par deux membres du FBI enquêtant sur Hillary Clinton montrent une sympathie pour l'ex-candidate démocrate à la présidentielle face à la "menace" représentée par l'équipe de M. Trump, qui faisait l'objet d'une autre enquête, cette fois-ci à charge...