Selon Fars News Agency, agence de presse iranienne, la Ghouta Est serait contrôlée à 20% par l'armée syrienne après ses dernières avancées : "Des sources de terrain ont indiqué que l'armée syrienne avait réussi à nettoyer les terroristes des régions du sud-est de Ghouta-Est au cours de ses opérations nocturnes de la semaine dernière et qu'elle avait obtenu le contrôle des régions d'al-Nashabiyeh, d'Hawsh al-Salehiyeh et d'Otaya". Tandis que l'ONU est montée au créneau pour dénoncer les bombardements syriens inacceptables sur le quartier et les décès de civils mais ne semble pas s'inquiéter avec la même ampleur lorsqu'il s'agit des bombardements saoudiens des civils au Yémen ou à Afrin par la Turquie en Syrie. Indignation sélective ?
Selon l'AFP, agence de presse française, l'armée syrienne a repris "plus du quart de la Ghouta Orientale". Macron, Trump et May s'inquiètent au plus haut point de cette situation et accusent respectivement l'Iran et la Russie de l'évolution prise dans ce quartier de Damas aux mains des "rebelles" djihadistes et islamistes.